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Réseau routier : Des fosses à voitures…

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  • Réseau routier : Des fosses à voitures…

    Au fait, les responsables empruntent-ils les mêmes routes défoncées que le commun des automobilistes, et font-ils semblants de ne rien voir ni ne rien sentir ? C’est à croire qu’ils utilisent des objets volants pour se déplacer…


    Désignée pour la rénovation des conduites d’eau ou de gaz, des entreprises ne respectent pas certaines clauses du cahier des charges. Faute de suivi du maître d’ouvrage, ces manquements occasionnent des désagréments aux citoyens et aux usagers de la route. Une telle situation provoque des conflits, porte de graves préjudices au parc roulant ; les automobilistes trouvent parfois du mal à traverser des chemins transformés en champs de patates. Pour étayer de tels propos, il suffit de faire un tour du côté du boulevard Aribi Mokhtar et aux 1006 Logements, plus précisément au niveau de la route jouxtant le CEM El Razi où la conduite est presque impossible d’autant plus que la chaussée est impraticable, la société qui a été chargée de la rénovation de la conduite d’eau potable n’a pas jugé utile de remettre en l’état la chaussée, présentant des trous énormes. Lesquels sont à l’origine de nombreux accidents et dégâts matériels.

    Tombés dans ces «pièges» qui n’offusquent pas les responsables concernés, des véhicules fortement endommagés ont été repêchés par des camions spécialisés dans le remorquage. «Qui va payer les frais du camion remorqueur, de la pièce détachée et de la réparation ?» s’interroge un groupe de citoyens des 1006 Logements, qui dénoncent : «L’entreprise qui n’a pas terminé son travail a non seulement occasionné des désagréments aux habitants de la cité, mais perturbé la circulation routière et généré des bagarres entre des automobilistes dont certains ont carrément bousillé les carters de leur véhicule. On s’explique mal la manière de faire des chargés de suivi de ces chantiers qui ne sont achevés qu’à moitié. Les autorités sont une nouvelle fois interpellées pour sommer l’entreprise à terminer son travail et respecter ses engagements», diront nos interlocuteurs.

    La situation est presque identique au niveau de la route de la coopérative Es Saâda, où l’on a injecté pas moins de 200 millions de dinars. La direction des ressources en eau qui avait promis (voir El Watan du 19 décembre 2013) de prendre en charge le problème des travaux inachevés n’a malheureusement pas honoré ses engagements.
    Dans le but de connaître la position de la direction précitée et du P/APC de Sétif d’autant plus que ce point noir se trouve à l’intérieur de l’agglomération, nos contacts n’ont pas abouti.

    Kamel Beniaiche- El Watan

  • #2

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    • #3
      @barthez

      Normal !

      Pas de chance ! Il n'a pas senti le piège tendu !

      Sérieusement. Ce genre d'accident sont dû à des glissements de terrain, qui arrivent subitement suite à de fortes pluies. Et c'est la nature et la géologie du terrain qui peuvent favoriser ce genre de glissement.

      C'est arrivé pas loin de chez moi il y a 2 ans, sur route nationale qui existait depuis l'indépendance. C'est pour dire !
      Maintenant, comment les éviter ? les prédire ? Aucune idée.

      Par contre, il y a de nouvelles routes qui ont été faite sans respecter les normes et les règles de l'art, et/ou bâclées, et on en voit le résultat à l'issue de la première pluie.

      Ce genre de travaux sur les chaussées se doivent être couvert par la garantie décennale par les entreprises qui les ont réalisé. Et ceci en plus des pénalités inhérentes qu'ils doivent payer pour les malfaçons dont ils sont l'origine.

      Malheureusement, ce n'est pas du tout le cas actuellement.

      A l'heure actuel, les entreprises privées s'occupent d'exécuter les projets qui leur sont confiés. Encaissent l'argent. Puis vaquent à leurs autres occupations. Ils s'en foutent éperdument des malfaçons éventuelles, et de ce qui va se passer après ! ! !

      Si les autorités n'exigent pas ce genre de garantie dans les contrats, toutes les entreprises auront tendance à mal faire leur travail, afin d'augmenter leur marge.

      La première erreur vient donc des autorités locales.

      Sa responsabilité est donc entièrement engagée.

      Deuxième problème :

      Ils n'y a pas toujours de synchronisation entre les différents opérateurs qui interviennent sur la chaussée (Mairie (voiries, trottoirs), gestion des eaux usées, sonelgaz, reseau de distribution d'eau, ..., ainsi que les sociétés prestatrices dont ils font appel,et les particuliers qui se permettent d'intervenir sur cette chaussée).

      Ce qui fait que les jours qui suivent un nouveau revêtement d'une chaussée, d'autres sociétés viennent encore creuser pour endommager tout le travail fait précédemment !

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      • #4
        Dommage pour la Alto .. elle avait la taille adéquate ! bonne pour la casse

        Le propriétaire devrait la vendre à Air Algerie .. i'dirouha ca'la ta3 kash boieng

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