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Faire une fausse déclaration aux forces de l’ordre pour se sortir d’une impasse est une fabulation de certaines personnes où, dans la plupart des cas, les services de sécurité ne tardent pas à découvrir le pot aux roses, et c’est ainsi que les «victimes» deviennent coupables.
Tel est pris qui croyait prendre, serait-on tenté de dire par cet extrait de La Fontaine qui résume bien le fait que l’on finit souvent par se faire prendre à son propre piège.
Deux compères, originaires de la commune de Hassi Mamèche se sont présentés aux services de la Sûreté de daïra de leur localité, pour faire part du vol du véhicule de l’un d’eux, porté disparu depuis la veille, alors qu’il était garé devant le domicile de son propriétaire.
Une déposition sur la base de laquelle furent mises en branle les recherches, avant d’être aussitôt abandonnées, dès lors que les policiers découvrent la vérité infirmant le vol.
Effectivement, il s’avéra que la soirée indiquée, vers les coups de 22 heures, les deux plaignants, interceptés par les éléments de la brigade locale de la gendarmerie, avaient pris la fuite en abandonnant sur place la voiture en question, une Clio en l’occurrence.
En état d’ébriété avancé, ils avaient eu peur d’être pris en flagrant délit d’ivresse ! Ils pensaient qu’il n’y avait pas meilleur subterfuge de récupérer le véhicule, que de se soustraire de la prise des gendarmes.
Inculpés pour fausse déclaration, ils ont été déférés ce mardi, devant le procureur de la République près le tribunal de Mostaganem qui a jugé de les faire citer à comparaître en citation directe.
A. B.- Le Soir
Tel est pris qui croyait prendre, serait-on tenté de dire par cet extrait de La Fontaine qui résume bien le fait que l’on finit souvent par se faire prendre à son propre piège.
Deux compères, originaires de la commune de Hassi Mamèche se sont présentés aux services de la Sûreté de daïra de leur localité, pour faire part du vol du véhicule de l’un d’eux, porté disparu depuis la veille, alors qu’il était garé devant le domicile de son propriétaire.
Une déposition sur la base de laquelle furent mises en branle les recherches, avant d’être aussitôt abandonnées, dès lors que les policiers découvrent la vérité infirmant le vol.
Effectivement, il s’avéra que la soirée indiquée, vers les coups de 22 heures, les deux plaignants, interceptés par les éléments de la brigade locale de la gendarmerie, avaient pris la fuite en abandonnant sur place la voiture en question, une Clio en l’occurrence.
En état d’ébriété avancé, ils avaient eu peur d’être pris en flagrant délit d’ivresse ! Ils pensaient qu’il n’y avait pas meilleur subterfuge de récupérer le véhicule, que de se soustraire de la prise des gendarmes.
Inculpés pour fausse déclaration, ils ont été déférés ce mardi, devant le procureur de la République près le tribunal de Mostaganem qui a jugé de les faire citer à comparaître en citation directe.
A. B.- Le Soir
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