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Si une personne pouvait nous changer
L’histoire que je vais vous raconter est celle de ma cousine dont le nom restera inconnu et se passe vers juillet 2010.
Miss X (c’est comme ça qu’on va l’appeler) à toujours été une gentille fille, vous savez le genre qui fait ce qu’on lui dit sans poser de questions (bien sure elle avait une opinion sur tout c’est juste qu’elle la gardait pour elle,), qui n’aime pas la violence (malgré le fait qu’elle soit colérique et nerveuse) et qui, surtout, ne se révolte que rarement. Mais tout ça c’était avant, avant LE jour fatidique.
Pendent le mois de juillet 2010 Miss X a rencontré un gars, il s’appelait Nazim, il était beau, grand, drôle, sympa et tout ce qui va avec. Bien sure il n’avait pas que des bon cotés il lui arrivait d’être vraiment mean, ou lourd ou quoi, mais n’empêche elle l’aimait, elle l’aimait comme une dingue et c’était réciproque. Elle l’aimait malgré le fait qu’il était accros à toutes sortes de drogues et qu’il préférait de loin une bouteille de Whiskey à un verre de café. D’ailleurs elle n’a pas tardé à le suivre, bien sure il était contre, bien sure il refusait de la voire se détruire comme il le faisait, bien sure il pensait qu’elle valait mieux que tout sa, mais ma cousine est quelqu’un de têtue et quand elle à quelque chose en tête négocier ne sert strictement à rien. Durant tout le mois elle passait ses soirées avec lui et ses potes, ils buvaient, fumaient des joins, jouaient aux cartes, quelque fois Nazim et son groupe jouaient quelque chose mais il ne se passait jamais rien de spéciale; du moins pas avant ce soir là ...
Ce soir là Miss X avait décidé de ne pas rentré avec son homme, elle voulait rester avec sa cousine, s’amuser un peu plus. Au moment de rentré sa cousine, qui avait la voiture de sa mère, décide de la ramener. Après 20 minutes de trajet la voiture s’arrête quelque part sur une route déserte; le fait est que, même si elles empruntaient cette route jours et nuit, elles étaient trop loin de chez Miss X pour y aller a pied et aussi trop loin de là où elles faisaient la fête pour y retourner et trouver quelqu’un pour les ramener. Elles décident alors d’appeler le frère de Nazim, il avait dans les 25 ans et se débrouillait plutôt bien en mécanique. Logiquement (ou pas), Nazim qui était rentré chez lui décide de venir avec son frère, il faisait nuit, les filles n’étaient pas dans la zone la plus sécurisée de la terre, mais surtout Miss X avait une imagination débordant et son habilité à s’inventer les scénarios les plus
improbables de la terre ne l’aidait pas vraiment dans ce genre de situations. Vous savez pour désigner ce qui c’est passé se soir là ma cousine utilise une citation qui représente bien l’ironie de cette situation: «Les dieux s’amusent parfois de la plus étrange façon». Car, quoi de plus ironique, que de perdre celui qu’on aime dans un accident de voiture alors qu’il s’apprêtait à nous rejoindre?
Alors qu’ils étaient a moins de 50m des filles la voiture des deux garçons à été «literally hit by a truck». Miss X a passé le mois qui suit allongé sur son lit, elle ne sortait pas de sa chambre, ne se nourrissait que rarement,en bref c’était une épave, elle se laissait mourir à petit feu.
Au bout de deux semaines sa famille avait abandonné l’idée de retrouver leurs «cute little girl», à la place maintenant ils avaient une espèce de fantôme, bien sure c’était encore le corps de leurs fille, mais les réactions étaient ... légèrement différentes; là où l’ancienne elle aurait dit oui sans poser de question, celle qu’elle était devenue demandait toujours une raison; elle avait aussi appris a se révolter, le truc c’est qu’elle hurlait sur les gens lors des rares moment qu’elle passait en dehors de sa chambre. Donc au bout d’un moment plus personne n’essayait de l’aider: elle refusait catégoriquement.
Les gens, lorsqu’ils parlent d’elle maintenant, ne voient que le mal qu’elle a put faire autour d’elle depuis, les gens se disent que tout est de la faute de Nazim, certains pensent qu’elle n’aurait jamais autant changé sans lui, d’autre disent que cela serait arrivé tôt ou tard. Ils ont tous raison quelque part, le seul problème c’est qu’au milieu de tous ces commérages, personne ne pense à ce qu’elle a put ressentir, à la peine qu’elle a put éprouver. Vous voyez, cette peine, cette douleur imaginaires qui vous donne envie de vous arraché le cœur, quand vos poumons vous brulent et que votre cœur bat si fort que vous avez cette horrible impression qu’il va sortir de votre poitrine vous attendez alors la libération mais elle ne vient jamais car votre cœur ne va pas sortir tout seul de votre poitrine ; il y a aussi cette immonde sensation, comme si vous étiez entrain de couler, de vous noyé, mais que, tout comme pour votre cœur, sa n’en fini jamais, comme si votre peine était infinie. A tout les coups personne n’en parles, personne n’a vécu sa dans notre famille, la mort est quelque chose de banal pour eux, et ceux qui partent sont vite oublier.
Miss X (c’est comme ça qu’on va l’appeler) à toujours été une gentille fille, vous savez le genre qui fait ce qu’on lui dit sans poser de questions (bien sure elle avait une opinion sur tout c’est juste qu’elle la gardait pour elle,), qui n’aime pas la violence (malgré le fait qu’elle soit colérique et nerveuse) et qui, surtout, ne se révolte que rarement. Mais tout ça c’était avant, avant LE jour fatidique.
Pendent le mois de juillet 2010 Miss X a rencontré un gars, il s’appelait Nazim, il était beau, grand, drôle, sympa et tout ce qui va avec. Bien sure il n’avait pas que des bon cotés il lui arrivait d’être vraiment mean, ou lourd ou quoi, mais n’empêche elle l’aimait, elle l’aimait comme une dingue et c’était réciproque. Elle l’aimait malgré le fait qu’il était accros à toutes sortes de drogues et qu’il préférait de loin une bouteille de Whiskey à un verre de café. D’ailleurs elle n’a pas tardé à le suivre, bien sure il était contre, bien sure il refusait de la voire se détruire comme il le faisait, bien sure il pensait qu’elle valait mieux que tout sa, mais ma cousine est quelqu’un de têtue et quand elle à quelque chose en tête négocier ne sert strictement à rien. Durant tout le mois elle passait ses soirées avec lui et ses potes, ils buvaient, fumaient des joins, jouaient aux cartes, quelque fois Nazim et son groupe jouaient quelque chose mais il ne se passait jamais rien de spéciale; du moins pas avant ce soir là ...
Ce soir là Miss X avait décidé de ne pas rentré avec son homme, elle voulait rester avec sa cousine, s’amuser un peu plus. Au moment de rentré sa cousine, qui avait la voiture de sa mère, décide de la ramener. Après 20 minutes de trajet la voiture s’arrête quelque part sur une route déserte; le fait est que, même si elles empruntaient cette route jours et nuit, elles étaient trop loin de chez Miss X pour y aller a pied et aussi trop loin de là où elles faisaient la fête pour y retourner et trouver quelqu’un pour les ramener. Elles décident alors d’appeler le frère de Nazim, il avait dans les 25 ans et se débrouillait plutôt bien en mécanique. Logiquement (ou pas), Nazim qui était rentré chez lui décide de venir avec son frère, il faisait nuit, les filles n’étaient pas dans la zone la plus sécurisée de la terre, mais surtout Miss X avait une imagination débordant et son habilité à s’inventer les scénarios les plus
improbables de la terre ne l’aidait pas vraiment dans ce genre de situations. Vous savez pour désigner ce qui c’est passé se soir là ma cousine utilise une citation qui représente bien l’ironie de cette situation: «Les dieux s’amusent parfois de la plus étrange façon». Car, quoi de plus ironique, que de perdre celui qu’on aime dans un accident de voiture alors qu’il s’apprêtait à nous rejoindre?
Alors qu’ils étaient a moins de 50m des filles la voiture des deux garçons à été «literally hit by a truck». Miss X a passé le mois qui suit allongé sur son lit, elle ne sortait pas de sa chambre, ne se nourrissait que rarement,en bref c’était une épave, elle se laissait mourir à petit feu.
Au bout de deux semaines sa famille avait abandonné l’idée de retrouver leurs «cute little girl», à la place maintenant ils avaient une espèce de fantôme, bien sure c’était encore le corps de leurs fille, mais les réactions étaient ... légèrement différentes; là où l’ancienne elle aurait dit oui sans poser de question, celle qu’elle était devenue demandait toujours une raison; elle avait aussi appris a se révolter, le truc c’est qu’elle hurlait sur les gens lors des rares moment qu’elle passait en dehors de sa chambre. Donc au bout d’un moment plus personne n’essayait de l’aider: elle refusait catégoriquement.
Les gens, lorsqu’ils parlent d’elle maintenant, ne voient que le mal qu’elle a put faire autour d’elle depuis, les gens se disent que tout est de la faute de Nazim, certains pensent qu’elle n’aurait jamais autant changé sans lui, d’autre disent que cela serait arrivé tôt ou tard. Ils ont tous raison quelque part, le seul problème c’est qu’au milieu de tous ces commérages, personne ne pense à ce qu’elle a put ressentir, à la peine qu’elle a put éprouver. Vous voyez, cette peine, cette douleur imaginaires qui vous donne envie de vous arraché le cœur, quand vos poumons vous brulent et que votre cœur bat si fort que vous avez cette horrible impression qu’il va sortir de votre poitrine vous attendez alors la libération mais elle ne vient jamais car votre cœur ne va pas sortir tout seul de votre poitrine ; il y a aussi cette immonde sensation, comme si vous étiez entrain de couler, de vous noyé, mais que, tout comme pour votre cœur, sa n’en fini jamais, comme si votre peine était infinie. A tout les coups personne n’en parles, personne n’a vécu sa dans notre famille, la mort est quelque chose de banal pour eux, et ceux qui partent sont vite oublier.
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