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Garantir les meilleures conditions pour l’accueil de 1,7 million d’étudiants à l’horizon 2016 (Mebarki)

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  • Garantir les meilleures conditions pour l’accueil de 1,7 million d’étudiants à l’horizon 2016 (Mebarki)

    APS: eudi 30 janvier 2014 17 : 43
    ALGER - Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Mohamed Mebarki, a affirmé jeudi à Alger que le programme d’action du secteur à court et moyen termes visait à garantir de meilleures conditions pour l’accueil du nombre attendu d’étudiants, estimé à 1,7 million, à l’horizon 2016.

    Exposant le programme d’action sectoriel à court et moyen termes devant les membres de la commission de l’éducation, de l’enseignement supérieur, de la recherche scientifique et des affaires religieuses de l’Assemblée populaire nationale (APN), M. Mebarki a dit que ce programme visait à renforcer les capacités du système de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, dans ses aspects structurels et ceux liés à l’organisation, à la gestion et à la gouvernance en vue d’assurer les meilleures conditions pour l’accueil du nombre attendu d’étudiants, soit 1,7 million, à l’horizon 2016.
    Il vise également à engager le système de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique dans une nouvelle ère qualitative "qui réponde aux exigences d’une formation de qualité aux normes internationales", a-t-il dit.
    Ce programme concerne le développement et la réforme du secteur ainsi que des mesures de soutien en général, a affirmé le ministre, soulignant que le processus de développement tendait à soutenir et à étendre le réseau universitaire, conformément au plan d’orientation sectoriel pour l’élaboration d’une carte universitaire à l’horizon 2025.
    Cette démarche englobe le développement des infrastructures pédagogiques et de recherches ainsi que des infrastructures des œuvres sociales inscrites dans le programme quinquennal de soutien à la croissance 2010-2014, qui englobe l’étude et la réalisation de 322.000 places pédagogiques, 161.500 lits et 13 centres de recherches.
    Concernant le soutien de l’encadrement pédagogique et scientifique, "une attention particulière est accordée à la formation des formateurs, à travers la relance de la formation en doctorat, la poursuite de la mise en œuvre du programme de formation à l’étranger au profit des enseignants qui sont en voie de finaliser leur thèse de doctorat et au profit des étudiants lauréats, outre l’implication des compétences scientifiques algériennes établies à l’étranger dans l’effort national de formation et de recherche et la prise en charge de l’équivalence des diplômes pour ceux qui désirent revenir en Algérie", a-t-il expliqué.
    Quant au développement de la recherche scientifique et technologique, il s’agit de l’élaboration d’une loi d’orientation et d’un cadre régissant les programmes et les activités de recherches, de façon à permettre au secteur d’"élaborer, de mettre en place et d’actualiser les programmes nationaux de recherche, à travers l’organisation", a indiqué le ministre.
    Le programme d’action du secteur englobe également la réforme de l’enseignement supérieur. A cet effet, M. Mebarki a précisé que son ministère entamera la deuxième phase du processus de réforme qui sera consacrée à la finalisation de la mise en place d’un système de garantie de la qualité dans le domaine de la recherche scientifique, à travers l’amélioration continue de la qualité de l’enseignement, l’approfondissement de la culture de l’évaluation et la consécration de l’ouverture de l’université sur son environnement national et international.
    Le secteur continuera sur sa lancée pour l’amélioration de la lisibilité des diplômes universitaires et la mise en place d’une base commune des références et des connaissances selon chaque domaine de formation, en vue d’imprégner davantage de cohésion aux offres de formation analogues et de faciliter les mouvements des étudiants entre les filières de formation et les établissements universitaires, a-t-il dit.
    La stratégie de réforme comprend également la relance du système de formation de l’élite et le développement du caractère professionnel de l’enseignement supérieur, a-t-il ajouté.
    Par ailleurs, le secteur de l’enseignement supérieur poursuit le processus de réforme des œuvres sociales afin de "rationaliser la gestion, d’améliorer la qualité des prestations prodiguées aux étudiants, de renforcer les activités scientifiques, culturelles et sportives, en vue d’assurer un meilleur cadre d’instruction et de vie pour l’étudiant", a-t-il souligné.
    Le ministre a évoqué le soutien de la gouvernance visant à améliorer le service public de l’enseignement supérieur, les compétences de gestion, l’activation des instances consultatives et des instances de permanence aux différents niveaux de l’organisation universitaire, insistant sur la "nécessité de réviser les cadres légaux régissant l’enseignement supérieur et la recherche scientifique, notamment en ce qui concerne l’amendement de la loi 11-98 portant loi programme sur la recherche scientifique et le développement technologique et l’amendement de la loi 05-99 portant loi d’orientation de l’enseignement supérieur".
    Dernière modification par Aloha, 30 janvier 2014, 19h02.

  • #2
    Le ministre a évoqué le soutien de la gouvernance visant à améliorer le service public de l’enseignement supérieur, les compétences de gestion
    Monsieur le ministre, aucun programme ne peut réussir avec des hommes dépourvus de compétences managériales et d’honnêteté intellectuelle parachutés à la tête des universités et grandes écoles. Les recteurs et doyens doivent être élus par leurs pairs ou à défaut justifiant de bons CV si vous voulez avoir une élite capable d'accompagner les réformes et tirer vers le haut des classements l'université Algérienne.

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    • #3
      Bonsoir Aloha

      Je dis qu'il y aura une progression de 3 millions à l'Horizon 2030
      ❤️ ❤️ Two souls with but a single thought ❤️ Two hearts that beat as one❤️ ❤️

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      • #4
        Déjà, soyez content d'avoir une école gratuite. C'est aussi aux gens d'y mettre du leur pour améliorer les choses au lieu de toujours critiquer gratuitement. Il ne faut pas être attentiste.
        Qu'est-ce qui vous empêche de construire une école privée ?

        Le public c'est difficile car il faut s'occuper de tout le monde sans distinction de revenu et de niveau.

        Le vrai problème c'est que tout le monde n'a pas vocation à être BAC +5. Mais, en Algérie, on a pris la mentalité des Français où le diplôme dépasse l'objectif. "Passe ton BAC d'abord même si le BAC ne sert à rien".

        Et comme dit l'autre, "un pays de bacheliers est un pays de chômeurs".
        Dernière modification par Louny, 30 janvier 2014, 19h17.

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        • #5
          je n'ai pas bien compris cet article Notament les lignes que j'ai soulignées ... Parce que moi on me fait balader depuis 4ans pour rentrer faire quelque chose pour mon pays alors je ne comprends pas trop le vrai du faux !

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          • #6
            L'éducation ce n'est plus comme avant. Le monde change.

            Avoir le BAC ne te donne pas un emploi. Être BAC +100, ça ne sert à rien s'il n'y a pas de dynamique et d'entreprises de haut niveau.

            Un BAC +5 ou +8 en France a des entreprises nationales pour travailler. En Algérie, que va faire un BAC +5 ?

            C'est le travail qui donne le travail. Le diplôme donne seulement une opportunité d'emploi.
            S'il n'y a pas de travail, il n'y a pas de travail.

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            • #7
              Déjà, soyez content d'avoir une école gratuite
              On est pas content, ce n'est pas de la charité. L'école publique, est l'affaire de l'état, c'est l'argent du peuple et il faut bien le dépenser dans une formation de qualité en réunissant toutes les conditions et moyens pour la réussite.

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              • #8
                Aloha, dans un PNR ou un CNEPRU vous pouvez contribuez avec des collègues et être rémunéré.

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                • #9
                  On est pas content, ce n'est pas de la charité. L'école publique, est l'affaire de l'état, c'est l'argent du peuple et il faut bien le dépenser dans une formation de qualité en réunissant toutes les conditions et moyens pour la réussite.
                  Déjà, il faut régler le problème de la langue. Il n'y a pas de langue et vous voulez devenir je ne sais pas quoi.

                  Vous êtes attentistes. Vous attendez les choses. Pour moi, l'école publique doit seulement apprendre à lire, à compter, la citoyenneté et l'esprit critique.
                  Pour moi, l'école publique n'a pas pour vocation de fournir du travail aux gens.

                  L'école publique fournit juste la base pour que chacun puisse faire ce qu'il veut.

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                  • #10
                    Allah ye3tik essaha Bledna sur l'éducation publique

                    lorsque l'ignorance atteint irréversible dans une société on entend des choses comme ça

                    Déjà, soyez content d'avoir une école gratuite. C'est aussi aux gens d'y mettre du leur pour améliorer les choses au lieu de toujours critiquer gratuitement. Il ne faut pas être attentiste.
                    Qu'est-ce qui vous empêche de construire une école privée ?
                    Louny as tu réfléchi avant de noter ça ?

                    c'est très simple le pays a négligé l'éducation, le sens critique, le savoir et plein d'autre choses a un moment et ils le pays l'a payé 10 ans de barbarie

                    donc c'est très simple si le pays continue à promouvoir le discours vide la propagande et la réalité est autre chose c'est cuit cette fois irréversiblement !

                    Nous pourrons discuter là dessus louny si tu veux

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                    • #11
                      c'est très simple le pays a négligé l'éducation, le sens critique, le savoir et plein d'autre choses a un moment et ils le pays l'a payé 10 ans de barbarie
                      Je ne suis pas du tout d'accord. Je dirais que le pays était quasiment entièrement analphabète et que donner une éducation à tout le monde alors qu'il n'y a même pas d'enseignants c'est très très compliqué. Où vas-tu trouver des centaines de milliers d'enseignants dans un pays analphabètes ?

                      Vous pensez que c'est facile. Si c'est facile, pourquoi tous les pays de la planète ne l'ont pas déjà fait ?

                      Et si on rajoute le problème de la langue, c'est encore plus compliqué.

                      L'éducation, c'est juste un moyen pour faire ce que tu veux, ça ne ramène pas un travail.

                      En fait, on ne sait pas ce que vous voulez. Vous voulez être la Finlande mais vous ne savez pas pourquoi et vous n'avez pas son histoire.

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                      • #12
                        Aloha
                        lorsque l'ignorance atteint irréversible dans une société on entend des choses comme ça
                        entendre quoi? Je ne comprends pas le sens de la phrase.

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                        • #13
                          Et si on rajoute le problème de la langue, c'est encore plus compliqué.
                          De quelle langue tu parles, sait tu que le français est la langue des analphabètes scientifiques?

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                          • #14
                            De quelle langue tu parles, sait tu que le français est la langue des analphabètes scientifiques?
                            Bientôt en Algérie, on va avoir trois langues avec trois alphabets différents !
                            Prépare-toi bien parce que ça va être chaud.

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                            • #15
                              Aloha, dans un PNR ou un CNEPRU vous pouvez contribuez avec des collègues et être rémunéré.
                              oui je l'ai fait et je m'occupe d'une grosse partie d'un PNR et dans un domaine important pour notre pays ... au diable la rémunération puisque je vie ici pour l'instant

                              non Bledna je veux rentrer installer des choses pour notre pays pour la science et pour les jeunes et pour les chercheurs c'est capital pour moi et ce n'est pas des pensées de charité ni le salaire ni la difficulté ni les réponses surréalistes que j'ai reçus ni rien qui vont me faire reculer ... et les imposteurs que je rencontre, je peux les former, je peux , les aider à faire ce qu'ils ont envie de faire dans les règles de l'art , je peux les hisser car souvent c'est la peur qui les rend fermé. Si par contre ils ne veulent pas et leur but est d'écraser les autres et par ricochet mon pays que et bien ils auront affaire à moi ... et crois moi aussi puissant qu'ils le pensent ils auront affaire à moi !

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