Le jeune Amirouche Mebrek, kidnappé, le 24 janvier et retrouvé assassiné, mercredi, a été enterré, ce vendredi, 31 janvier, en présence d’une foule nombreuse.
Le jeune Amirouche Mebrek, kidnappé, le 24 janvier et retrouvé assassiné, mercredi, a été enterré, ce vendredi, 31 janvier, en présence d’une foule nombreuse.
La victime a été inhumée dans la douleur et la consternation, au cimetière de son village natal Oumaden, dans la commune de Beni Zmenzer, à 15 kilomètres au sud de Tizi Ouzou.
Dans la foule, nous avons remarqué la présence des maires de Beni Zmenzer et d’Agouni Gueghrane ainsi que le président de l’APW de Tizi Ouzou et d’autres élus de la région.
Les funérailles se sont déroulées aussi dans une atmosphère très lourde dans une colline qui s'est avérée trop petite pour contenir une marée humaine venue rendre un ultime hommage à ce jeune homme de 38 ans, assassiné pas ses ravisseurs.
Des moments pleins d'émotion surtout lorsque le cercueil de la victime a quitté le domicile mortuaire.
La cellule de crise installée au lendemain du rapt d’Amirouche Mebrek, a appelé à une grève générale, une action qui a été massivement suivie par tous les commerçants, notamment au chef-lieu de la commune.
Hafid Azzouzi
El Watan
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Le jeune Amirouche Mebrek, kidnappé, le 24 janvier et retrouvé assassiné, mercredi, a été enterré, ce vendredi, 31 janvier, en présence d’une foule nombreuse.
La victime a été inhumée dans la douleur et la consternation, au cimetière de son village natal Oumaden, dans la commune de Beni Zmenzer, à 15 kilomètres au sud de Tizi Ouzou.
Dans la foule, nous avons remarqué la présence des maires de Beni Zmenzer et d’Agouni Gueghrane ainsi que le président de l’APW de Tizi Ouzou et d’autres élus de la région.
Les funérailles se sont déroulées aussi dans une atmosphère très lourde dans une colline qui s'est avérée trop petite pour contenir une marée humaine venue rendre un ultime hommage à ce jeune homme de 38 ans, assassiné pas ses ravisseurs.
Des moments pleins d'émotion surtout lorsque le cercueil de la victime a quitté le domicile mortuaire.
La cellule de crise installée au lendemain du rapt d’Amirouche Mebrek, a appelé à une grève générale, une action qui a été massivement suivie par tous les commerçants, notamment au chef-lieu de la commune.
Hafid Azzouzi
El Watan
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