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Babès invité de la radio communautaire Pastel de Roubaix (Lille)

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  • Babès invité de la radio communautaire Pastel de Roubaix (Lille)

    (APS) samedi 1er février 2014 09 : 43
    LILLE (France) - Le président du Conseil national économique et social (CNES), Mohamed-Seghir Babès, a été vendredi l’invité de la radio communautaire Pastel de Roubaix, près de Lille (Nord-France), à travers laquelle il a explicité sa mission exploratoire auprès de la communauté nationale à l’étranger, étrennée le 17 janvier à Toulouse.

    A travers cette mission, a-t-il dit, il y a un certain nombre de choses à "acter ensemble. Cette communauté, qui a capitalisé et sédimenté des expériences dans le pays d’accueil, est également installée dans la Mémoire du pays des origines", a affirmé M. Babès pour qui il y a des choses "extraordinaires" à faire à travers les "éléments clés" de la diaspora.
    Tout en s’excusant d’avoir "occupé par inadvertance" un moment de musique Rock consacré initialement aux auditeurs, il a souhaité que l’audimat de cette radio, créée en 1980 par des immigrés algériens, pourrait tirer des "motifs de satisfaction" en se disant qu’il y aurait des choses à faire pour "notre avenir commun, qui n’est pas exempt aussi d’ouverture sur la musique".
    "Sans prendre en compte les enjeux économiques, on serait en train de vendre du discours. La réalité des choses, celle du monde d’aujourd’hui où l’on s’attache à créer de la richesse, passe par l’économique", a affirmé M. Babès, qui a rappelé que ce volet est l’une des passerelles essentielles sur lesquelles s’appuie sa mission.
    Selon une note de cadrage, cette mission cible trois "grappes élitaires" : les compétences universitaires, la sphère productive de biens et de services, et, enfin, celle impliquée dans la prise de responsabilité au niveau des démembrements territoriaux et/ou spécialisés, susceptibles de susciter et de nourrir des initiatives partenariales ressortissant au champ de la coopération décentralisée.
    Cette coopération a été d’ailleurs le point focal des discussions qu’avait eues dans la matinée M. Babès avec successivement le président du Conseil Général du Nord, Patrick Kanner, le président de la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) de Lille, Philippe Vasseur, et l’ex-président du Conseil général de France Nord et ex-président du groupe d’amitié France-Algérie à l’Assemblée française, Bernard Derosier.
    Samedi, il rencontrera des compétences nationales établies à Lille, avant dernière étape de sa tournée en France, entamée le 17 janvier à Toulouse, une mission émanant d’une volonté des pouvoirs publics d’arrimer les compétences nationales à la stratégie de développement national.
    M. Babès achèvera dimanche à Paris la première phase de sa mission qui devrait concerner, d’ici octobre prochain, les régions Europe, les Amériques et les pays arabes.

  • #2
    Bon discours ! mais mais mais il y a un nombre incalculable d'imposteurs qui vont prendre les idées et pensent que c'est ce qui leur faut c'est tout

    d'ailleurs c'est ce que vous faites vous même ... habaltouna
    afficher des discours et la réalité est tout autre lorsque les personnes s'organisent pour venir faire bouger les choses ... En Algérie tout le monde se méfie de tout le monde

    Un auto blocage décoré par de l'affichage

    vive la ghaïta wa essalem
    les marocains dansent c'est très beau !
    Dernière modification par Aloha, 01 février 2014, 11h50.

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    • #3
      ma mission auprès de la communauté algérienne installée à l’étranger est portée par le politico-institutionnel

      Si vous voulez encore danser un peu


      (APS) samedi 1er février 2014 16 : 39
      LILLE (France) - Le président du Conseil national économique et social (CNES), Mohamed-Seghir Babès, a affirmé samedi à Lille que sa mission, auprès de la communauté algérienne installée à l’étranger, menée "certes" par une structure consultative, est "portée par le politico-institutionnel" avec la volonté d’inscrire dans la durée les rapports avec la "diaspora" algérienne.

      "La strate politico-institutionnelle accompagne fortement cette mission.
      C’est de nature, à priori, à bonifier la capacité d’agir des agrégats qui se constituent autour d’un intérêt" pour le pays, a-t-il rétorqué à des compétences nationales établies dans le Nord de la France, qui appréhendaient la création, à travers cette mission exploratoire, d’une "structure" qui embrigaderait toute initiative à l’endroit du pays d’origine.
      "Gare à la bureaucratisation du processus (à) et à l’appropriation à la base des premières initiatives de coopération envers le pays d’origine", a-t-il averti, signalant que l’institutionnalisation "autorisée et souhaitée" signifie "accompagner, aider la coopération et la placer dans un tout institutionnel qui n’est pas de type bureaucratique bête et méchant, mais un institutionnel plein de vertus".
      Pour M. Babès, le rôle de l’Etat est d’accompagner toute initiative d’intérêt avéré. "L’Etat qui veut tout faire et régenter n’est pas un Etat", a-t-il précisé, signalant l’importance d’accorder respect et égard à toute "action autonome et ses acteurs" visant le même intérêt.
      Dans une démarche participative, le Président du CNES, qui était interpellé par la salle sur la volonté des compétences nationales dans le Nord de la France à devenir partie-prenante dans ce processus, s’est engagé à élaborer une recommandation devant permettre, selon un format à convenir, "d’impliquer la diaspora" dans la structure du CNES pour qu’elle puisse "porter la parole de la communauté".
      Au début de sa mission exploratoire auprès de la communauté nationale à l’étranger, M. Babès avait plaidé, depuis Marseille, pour "plus d’institutionnalisation" des relations entre la "diaspora" algérienne et le pays d’origine.
      S’exprimant devant un panel de compétences nationales établies dans le sud de la France, il avait relevé que les initiatives prises par des membres de la communauté envers le pays d’origine, aussi bénéfiques soient-elles, sont "plus individuelles qu’institutionnelles".
      Avec cette rencontre des compétences nationales dans le nord de la France, M. Babès achevait son étape lilloise durant laquelle il s’était entretenu vendredi successivement avec le président du Conseil Général du Nord, Patrick Kanner, le président de la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) de Lille, Philippe Vasseur, et le l’ex-président du Conseil général de France Nord et ex-président du groupe d’amitié France-Algérie à l’Assemblée française, Bernard Derosier.
      Lors de ces entretiens, il a été notamment question du développement d’un partenariat "gagnant-gagnant" entre la région Nord et la partie algérienne, et de "dépasser" le stade des relations purement commerciales, vers des relations d’échanges de savoir-faire dans les domaines universitaire et technologique.
      M. Babès se trouve en France dans le cadre d’une mission exploratoire de la communauté nationale à l’étranger, entamée le 17 janvier à Toulouse, et qui émane d’une volonté des pouvoirs publics d’arrimer les compétences nationales à la stratégie de développement national.
      Après Toulouse, Marseille, Strasbourg, Lyon et Lille, il se rendra dimanche à Paris où il doit clôturer la première étape de sa mission qui devrait concerner, d’ici fin 2014, les régions Europe, les Amériques et les pays arabes.

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      • #4
        il aurait bien fait de faire ça en faisant la tournée des responsables du pays :ministère après ministère, institution après institution, université après université, faculté après faculté et probablement général après général car même les institutions militaires si elles pensent qu'elles peuvent faire l'économie du savoir et du savoir faire de ces algériens qui ont passé des années à hisser le nom de l'Algérie chaque moment qu'on leur demandait : de quel origine êtes vous dans le monde ? moi j'ai eu même droit à mon drapeau algérien planté avec le drapeau américain un jour invité par un professeur américain (qu'est ce que ça m'avait touché c'était rien pourtant c'était son épouse qui avait eu l'idée) c'était en 1996 ... ils font une grave erreur

        Monsieur propre les algériens de la diaspora sont très bons ils n'ont pas besoin que tu vienne leur raconter le même disque !

        il vaut mieux sincèrement que tu face ce travail pédagogique et rassurant chez nous en Algérie car ceux qui sont labas qui souvent par peur par ignorance, par manque de visibilité ou tout simplement parce qu’ils pensent qu'ils vont être écartés et remplacé par d'autres ... alors que ce n'est absolument pas le but ni l'objectif

        Terbah khouya le pays gagne aussi car c'est vraiment ça qu'il faut faire

        mais bon

        Dernière modification par Aloha, 01 février 2014, 18h42.

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        • #5
          • Monsieur propre les algériens de la diaspora sont très bons ils n'ont pas besoin que tu vienne leur raconter le même disque !


          • il vaut mieux sincèrement que tu face ce travail pédagogique et rassurant chez nous en Algérie car ceux qui sont labas qui souvent par peur par ignorance, par manque de visibilité ou tout simplement parce qu’ils pensent qu'ils vont être écartés et remplacé pard'autres ..
          Franchement, est ce que tu te rends compte, des fois, de ce que tu écris ?

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          • #6
            Je me rends parfaitement compte Jawzia
            et j'ai des preuves de quatre ans de suivi gentil, compréhensif, et tout ce que tu veux tenant compte du temps algérien et je pense que si t'explique ce que certains ont osé faire tu tombes de haut ! tu sais! il n'y a pas que des scientifiques avec l’éthique attendue dans les facultés des sciences chez nous

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            • #7
              ce que tu as souligné ce sont les explications compréhensives que je trouve pour excuser parce que je suis gentil avec les miens ...

              En tant qu'algérien les paniers de crabes je connais et je suis capable de les identifier en deux secondes ... ici en France je les démonte et je trace mon chemin ...

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              • #8
                Aloha,

                Le jour où un ami m'avait invité à faire un tour du côté d'Argenteuil, ma structure mentale m'interdisait de conclure "Tiens, la diaspora est dans ce état lamentable !! "

                Mais bon !!! Y en a qui en sont encore à "ici" et "là bas". C'est désuet.

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                • #9
                  c'est désuet et je le veux vraiment que ça le soit ... mais mais ...

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                  • #10
                    Passe une bonne soirée Jawzia !

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