Un homme qui pleur n’est pas un « vrais », ou plutôt une homme qui ne pleure pas n’est pas totalement homme ? Il est établi que l’éducation des hommes, en particulier en Algérie, tend à les « rendre forts », notamment en les endurcissant et les rendre moins sensibles. Le « dressage » consiste entre autres à les former pour ne pas laisser couler leurs larmes. On réserve cela aux filles considérées (ou on s’efforce de les considérée) plus fragiles, pour qu’elles restent obéissantes, féminines, … Dans le système de valeur les pleures effémineraient les mâles.
Pourtant, les hommes sont aussi pourvus de sensibilité et même de fragilité à certains égards.
Au regard de certaines femmes un homme sensible a beaucoup de charme, les larmes font même craquer certaines. Certaines femmes sont plus attirées par la masculinité affirmée par les non pleures alors que pour d’autres c’est bien le contraire. Quel est le vrais du faut, ou placer le curseur ?
Pourtant, les hommes sont aussi pourvus de sensibilité et même de fragilité à certains égards.
Au regard de certaines femmes un homme sensible a beaucoup de charme, les larmes font même craquer certaines. Certaines femmes sont plus attirées par la masculinité affirmée par les non pleures alors que pour d’autres c’est bien le contraire. Quel est le vrais du faut, ou placer le curseur ?
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