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Les employeurs québécois hésitent à embaucher des immigrants

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  • Les employeurs québécois hésitent à embaucher des immigrants

    Selon Bernard Drainville, le ministre responsable des Institutions démocratiques et de la Participation citoyenne et Président du Comité ministériel de l'identité dans le gouvernement indépendantiste du parti quebecois de Pauline Marois; les immigrants sont défavorisés au Québec en matière d'employabilité, à cause de leurs noms de groupe ethnique.
    Pour appuyer son Projet de loi n°60 ( Charte affirmant les valeurs de laïcité et de neutralité religieuse de l’État ainsi que d’égalité entre les femmes et les hommes et encadrant les demandes d’accommodement ).
    En d'autres termes, Drainville, invite les musulmans en particulier à se débarrasser du foulards (Qui tuent...SIC), et de renoncer aux accommodements, s'il veulent se faire embaucher.
    Le ministre ne fait qu'admettre qu'il y a bel et bien du racisme dans la province francophone; pour lui et ses employeurs, tous les Aicha et Mohamed sont des religieux; ils portent tous le hijab, sont tous des barbus et qui revendiquent des accommodement...
    _________________________________________________
    Les employeurs québécois hésitent à embaucher des immigrants, ce à quoi va remédier la charte des valeurs, selon le ministre Bernard Drainville.

    «On a des témoignages d’entrepreneurs, d’employeurs qui nous disent : On voit arriver des CV et on les met aux poubelles parce qu’on craint de se retrouver avec une demande d’accommodement. Comme les règles sont pas claires, on ne leur donne pas de chance», a raconté jeudi le pilote du projet de loi 60.
    Le ministre des Institutions démocratiques est convaincu que sa charte va améliorer le sort des immigrants qui cherchent du travail. «Avec les règles qu’on propose dans la charte, ça va être beaucoup plus rassurant pour les employeurs et je pense qu’ils vont être beaucoup plus intéressés à donner leur chance à des néo-Québécois, notamment des néo-Québécois qui arrivent du Maghreb», a-t-il plaidé.

    Le CPQ contre la charte
    Cette vision tranche avec celle du Conseil du patronat du Québec, qui estime au contraire que le projet de loi 60 aura «des impacts néfastes sur l’image du Québec et son climat d’affaires», notamment en raison d’une clause étendant l’interdiction du port de signes religieux à tous les sous-contractants du gouvernement. Attendu en commission parlementaire jeudi après-midi, le CPQ réclame rien de moins que le retrait pur et simple du projet de charte péquiste.
    Le ministre Drainville accuse les représentants des patrons de se livrer à une malheureuse «campagne de peur» comme ils l’avaient fait lors du débat sur la Loi 101 à l’époque.
    Comme ce fut le cas de la Charte de la langue française, le projet de loi 60 va «aider l’économie», insiste-t-il. «La charte, elle va être un facteur d’apaisement, de cohésion, de stabilité et les milieux d’affaires, c’est la première chose qu’ils cherchent la stabilité, ils cherchent la paix sociale !».

  • #2
    Eh oui!
    C'est dans la culture des islamo-terroristes, ils veulent le beurre, l'argent du beurre et la fille du crémier!
    "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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