Effectué par des experts de la société canadienne Best Théra Promix, le démantèlement des sources radioactives de l’ancienne installation du centre anticancer est en cours, nous apprend le directeur du centre hospitalo-universitaire, Ibn Badis de Constantine, Abdesselam Rouabah.
Cette opération s’étalera sur 15 jours, en attendant l’arrivée des conteneurs spécifiques pour le rapatriement de ces sources.
Notre interlocuteur déclare: «C’est une phase extrêmement délicate qui suppose des mesures sécuritaires draconiennes en raison des risques potentiels de fuite de la radioactivité de cette source, le cobalt, en l’occurrence. Cette technologie date de plusieurs décennies, ce qui l’a rend inefficace, notamment avec le nombre sans cesse croissant des malades.
Ces installations, vétustes, comportent des risques de fuite de radioactivité et il était temps d’opter pour la technologie des accélérateurs, plus efficiente et moins contraignante du point de vue risque».
Pour le directeur du CHUC, c’est le bout du tunnel d’une opération qui a, certes, accusé un retard de deux années, mais la spécificité de sa dangerosité et l’apport d’experts étrangers, outre, le transport d’une matière radioactive, ont été, les principales raisons de ce retard.
N. B. elwatan 02.02.14
Cette opération s’étalera sur 15 jours, en attendant l’arrivée des conteneurs spécifiques pour le rapatriement de ces sources.
Notre interlocuteur déclare: «C’est une phase extrêmement délicate qui suppose des mesures sécuritaires draconiennes en raison des risques potentiels de fuite de la radioactivité de cette source, le cobalt, en l’occurrence. Cette technologie date de plusieurs décennies, ce qui l’a rend inefficace, notamment avec le nombre sans cesse croissant des malades.
Ces installations, vétustes, comportent des risques de fuite de radioactivité et il était temps d’opter pour la technologie des accélérateurs, plus efficiente et moins contraignante du point de vue risque».
Pour le directeur du CHUC, c’est le bout du tunnel d’une opération qui a, certes, accusé un retard de deux années, mais la spécificité de sa dangerosité et l’apport d’experts étrangers, outre, le transport d’une matière radioactive, ont été, les principales raisons de ce retard.
N. B. elwatan 02.02.14
Commentaire