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Samir Bouakouir: pour un débat national sur le rôle de l’armée et du DRS

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  • Samir Bouakouir: pour un débat national sur le rôle de l’armée et du DRS

    Samir Bouakouir plaide pour un débat national sur le rôle de l’armée et du DRS

    L’ex-dirigeant du FFS, Samir Bouakouir, a appelé ce mardi 4 février à un débat national sur le rôle de l’armée et des services de renseignements. « La place et le rôle de l'armée, des services de renseignements et, plus largement, les questions de sécurité nationale doivent faire l'objet d'un débat national », a déclaré M. Bouakouir dans un communiqué, en réaction aux déclarations du chef du FLN Amar Saâdani sur le chef du DRS, le général Mohamed Medienne dit Toufik.

    Pour Bouakouir, les déclarations faites par Saâdani dans l’interview publiée lundi en exclusivité sur TSA constituent une facette de la lutte des clans au sommet de l’État à la vielle de la présidentielle d’avril prochain. « Le secrétaire général du FLN, parti au pouvoir, vient de s'attaquer ouvertement au DRS et à son chef.

    À l'évidence, les accusations de ce responsable politique s'inscrivent dans le cadre des luttes de clans à la veille de l'échéance présidentielle », écrit Bouakouir en exprimant des doutes sur la démarche de Saâdani. « Difficile en effet d'accorder à cette démarche quelques vertus démocratiques tant la promotion politique du SG du FLN a emprunté les voies sinueuses et obscures d'un système fondé sur le clientélisme et la cooptation », affirme l’ex-dirigeant du FFS.

    M. Bouakouir remarque toutefois que l’essentiel est dans le contenu des déclarations de Saâdani sur le rôle du DRS en Algérie. « Mais, pour autant, suffit-il de discréditer le personnage comme le fait la presse privée et nombre de chroniqueurs et éditorialistes, prompts à délivrer des brevets de démocratie, pour réduire la portée de ses propos et surtout leur justesse ? », s’interroge-t-il.

    M. Bouakouir estime que « le contexte national et régional ne plaide pas pour des procès en sorcellerie qui, plutôt que d'alimenter le débat public, ajoutent un peu plus de confusion, alimentent les tendances antinationales et fragilisent encore plus le pays. »

    Il affirme toutefois que « continuer à éluder et ne pas traiter les problématiques centrales qui n'ont pas permis au pays de se doter d'un État digne de ce nom et d'institutions stables et pérennes revient à condamner notre pays à reproduire la crise et à poursuivre une longue agonie. »

    TSA

  • #2
    quant la poule aura des dents! l'Algérie débattra du rôle de l'armée
    Éclairer les nations encore obscures.

    Commentaire

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