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Sellal à Tissemssilt, Changement de discours et moins de chitta.

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  • Sellal à Tissemssilt, Changement de discours et moins de chitta.

    SELLAL ÉVOQUE LA PRÉSIDENTIELLE À TISSEMSILT
    "Les candidats doivent préserver la stabilité du pays"

    M.Sellal n'ignore certainement pas tous les risques et dangers que cette échéance encourt à cause de l'irresponsabilité de certains responsables politiques, invités indirectement à la retenue.
    La visite de travail effectuée, hier, par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, dans la wilaya de Tissemsilt, n'a pas été empreinte de l'ambiance du 4e mandat comme l'ont été ses dernières visites. Son discours devant les représentants de la société civile de la wilaya, le plus court depuis quelques mois, n'est pas fait uniquement de louanges à l'égard des «réalisations» de Bouteflika.

    Intervenant à la veille de l'élection présidentielle du 17 avril prochain, le Premier ministre a préféré plutôt axer sur ce scrutin. «Notre pays s'apprête à organiser l'élection présidentielle le 17 avril prochain. La réussite de ce rendez-vous est l'affaire de tous et un devoir de tout Algérien jaloux de son pays», a-t-il interpellé. M.Sellal n'ignore certainement pas tous les risques et dangers que cette échéance encourt, à cause de l'irresponsabilité de certains responsables politiques, invités indirectement à la retenue. Dans ce contexte, l'orateur a appelé les candidats à l'élection présidentielle à respecter les règles de la démocratie et «préserver l'unité et la stabilité du pays». «Nous n'accepterons jamais de revenir en arrière (allusion à la décennie noire, Ndlr) et pour cela nous nous battrons jusqu'à la dernière goutte de notre sang», a-t-il relevé, estimant qu'il n'y a plus de place pour de nouveaux troubles dans le pays. En revanche, le Premier ministre a affirmé que le gouvernement veillera à mettre en place tous les moyens et à réunir toutes les conditions pour la réussite de l'élection. Il a ajouté que le gouvernement est prêt à écouter les doléances de tous les candidats, en vue de les satisfaire dans le cadre de ce que permettent les lois de la République. Mais des partis politiques comme le RCD et le MSP ont déjà décidé de boycotter l'élection, estimant que le jeu est fermé et accusant le système politique d'avoir préparé un scrutin à sa convenance, destiné uniquement à faire passer son choix. Dans son intervention, le Premier ministre est revenu brièvement sur le retour de la paix et de la stabilité après les années de terrorisme, «grâce à la politique de la Réconciliation nationale».
    La tripartite aura lieu le 23 février
    Il a expliqué que l'objectif du programme quinquennal est de rattraper le retard causé par la décennie noire en matière notamment d'infrastructures de base et de la construction d'une économie compétitive et hors hydrocarbures. «Les réalisations sont une réalité que ne niera que l'ingrat», a-t-il dit, précisant que le gouvernement est déterminé à poursuivre l'application du programme présidentiel.
    L'orateur a regretté le fait que «dans le sillage du développement qu'a connu le pays, plusieurs phénomènes sont apparus». Le plus dangereux est, selon lui, la corruption qui gangrène le pays, ces dernières années. M.Sellal explique que la lutte contre ce phénomène est une condition essentielle pour que l'Etat gagne la confiance des citoyens. Au moment où le secrétaire général du FLN accuse la justice d'avoir été instrumentalisée dans certains scandales de corruption, le Premier ministre a appelé à respecter la mission de la justice en la matière. Selon M.Sellal qui fait probablement allusion aux déclarations de Amar Saâdani, le travail de la justice doit être respecté «loin des campagnes qui mènent à des dérives et dépassements». Il ajoute que la lutte contre la corruption, comme la bureaucratie, est l'affaire de toute la société. «Il est du devoir de tous de contribuer à ancrer la culture de la transparence et de l'intégrité. Ce sont les mentalités qui doivent changer avant les lois», a-t-il soutenu. Sur un autre plan, le Premier ministre a annoncé la tenue de la tripartite entre le gouvernement, le patronat et la Centrale syndicale le 23 février prochain. La rencontre sera consacrée au volet social et étudiera les décisions prises lors de la dernière tripartite économique.

    L'Expression.

  • #2
    SELLAL comme tous les fonctionnaires de sa génération et quelques universitaires qui ont été chargés de hautes responsabilités de l'Etat sont des agents du DRS chargés d'appliquer dans l'administration les directives des services militaires.

    BOUTEFLIKA lui même retenu par TOUFIK pour présider s'est retrouvé dans une présidence piégée avec possibilité de choisir des ministres triés par les mêmes décideurs. Les rapports humains entre le Président et un ministre sont plus ou moins chaleureux et la comédie aidant pousse à croire que les intrigants sont des "hommes" du grand malade , alors qu'ils ne sont là que pour le contrôler. SELLAL en est l'exemple . SAIDANI ayant jeté un gros pavé sur la scène internationale c'est tout le clan BOUTEFLIKA qui risque d'être emporté . Le Premier Ministre prend ses précautions. Il n'est homme de personne si ce n'est de l'Algérie des ...vainqueurs, les éternels militaires.

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    • #3
      Envoyé par KHORE
      BOUTEFLIKA lui même retenu par TOUFIK pour présider s'est retrouvé dans une présidence piégée avec possibilité de choisir des ministres triés par les mêmes décideurs.
      Messkine...... sinon, il faut être un rkhiss pour accepter (voire choisir) un tel rôle, ne trouve-tu pas ?
      Vive le Polisario ! ....... Haba man haba, wa kariha man kariha

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      • #4
        BOUTEFLIKA avec ses défauts ne mérite pas le rkhiss. Révolutionnaire de première heure il a joué, grâce à un sponsor et ses qualités propres un rôle important chapoté par BOUMEDIENE. A la mort de son protecteur ses frères d'armes l'écartèrent tout en ne ménageant pas son sponsor et ses amis. Accusé du détournement des reliquats de trésorerie des Ambassades traduit en justice, repêché par CHADLI il a du entamer un long chemin de croix qui l'a aigri . TOUFIK le rappela pour trois raisons. Il était docile, avait une sérieuse casserole et était bon orateur. Les Algériens allaient enfin oublier les piètres discoureurs qu'ils avaient connus.

        BOUTEFLIKA après avoir refusé , sachant qu'avec MEDIENE il avait un os, finit par accepter sur promesses d'être seul maître à bord . Ivre de vengeance , ayant goûté au pouvoir de longues années , il allait progressivement faire le ménage et s'imposer comme un Président à part entière qui discutait d'égal à égal avec les militaires dans un partage des tâches nationales et des affaires. Devenu addicte au pouvoir il modifia la constitution sans réaction des militaires. Le pays en plein passage du socialisme d'état à l'économie de marché allait permettre aux initiés et aux pistonnés tant de la Présidence que des Militaires de devenir les milliardaires qui auront à diriger pour les siècles l'Algérie.
        Tout allait bien entre les deux clans jusqu'à la maladie qui fit du Président un homme peu fiable, trop proche des Français et qui voulait mourir aux commandes après avoir désigné un dauphin en accord avec ses soignants étrangers .Situation risquée pour les intérêts des militaires que la récente attaque de SAIDANI vint confirmer. Comme dit, le drebki est politiquement mort . Prochainement le Comité Central se réunira et le dégommera le laissant répondre devant la justice des graves accusations proférées contre MEDIENE . BOUTEFLIKA s'il se représente ne vivra pas jusqu'à la date des élections.

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        • #5
          Envoyé par KHORE
          BOUTEFLIKA avec ses défauts ne mérite pas le rkhiss. Révolutionnaire de première heure il a joué, grâce à un sponsor et ses qualités propres un rôle important chapoté par BOUMEDIENE.
          ...
          Il me semble que tu passes sous silence certains passages dérangeants de la vie de BOUTESRIKA.

          Les français savent avec quoi ils le tiennent. Lui sait également mais se tait.

          Alors entre " rkhiss " et traître, quel est l'adjectif qui lui sied le mieux ?

          P.

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          • #6
            Azul Pangeen

            Révolutionnaire de première heure il a joué, grâce à un sponsor et ses qualités propres un rôle important chapoté par BOUMEDIENE.
            Certains intervenants ont le don du comique, Boumediène serait le premier à rire si devant lui quelqu'un avait dit que Bouteflika était "révolutionnaire de 1ère heure. Il est mort donc n'importe qui peut s'en revendiquer. Sauf que sa vraie garde rapprochée est connue des Vrais Moudjahidins, des militants et des services du monde entier.
            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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