Tweet
La Suède est ouverte à l'approfondissement de ses connaissances sur la question du Sahara, a déclaré, mercredi, le président du Parlement suédois, Per Westerberg, en visite au Maroc.
La Suède est ouverte à l'approfondissement de ses connaissances sur la question du Sahara, ainsi que sur la position et la revendication marocaines, a déclaré, mercredi, le président du Parlement suédois, Per Westerberg, lors d'une conférence de presse qui a couronné ses entretiens avec Karim Ghellab et Mohamed Cheikh Biadillah, les présidents des Chambres des représentants et des conseillers. La première cause nationale a dominé ces entretiens où ont été abordées les questions de la situation au Maghreb, la tension algéro-marocaine et l'insécurité dans la région sahélo-saharienne.
"Le Maroc répond à tous les critères pour jouir de la meilleure coopération avec l'Union européenne, y compris une intégration. Le royaume renforce sa démocratie et respecte les droits de l'homme", a souligné le responsable suédois. "La position officielle de la Suède sur le Sahara est déterminée par son gouvernement. Elle rejoint les efforts de l'ONU et l'Union européenne pour trouver une solution politique à cette question", a déclaré Per Westererg.
En réponse à une question de Le360, le président du Parlement suédois a indiqué qu'il apprécierait énormément une visite d'une délégation qui comprendrait des journalistes et des ONG marocaines pour enrichir à Stockholm le débat sur l'intégrité territoriale du royaume. Per Westererg a remis à cette occasion à Ghellab et Biadillah un traité officiel daté de 250 ans en vertu duquel la Suède demandait au Maroc de l'aider à protéger sa flotte commerciale longeant le littoral marocain contre la piraterie et les corsaires. "Nous vous avons défendu contre la piraterie".
Cette piraterie existe de même quand il s'agit des attaques de nos adversaires contre le Sahara et notre intégrité territoriale. Il faut que la société suédoise comprenne que le Maroc est victime d'un conflit artificiel. "Comme nous avons défendu des causes par le passé et le ferons toujours, la Suède et sa société doivent faire la part des choses", a déclaré Mohamed Biadillah.
Le360
La Suède est ouverte à l'approfondissement de ses connaissances sur la question du Sahara, ainsi que sur la position et la revendication marocaines, a déclaré, mercredi, le président du Parlement suédois, Per Westerberg, lors d'une conférence de presse qui a couronné ses entretiens avec Karim Ghellab et Mohamed Cheikh Biadillah, les présidents des Chambres des représentants et des conseillers. La première cause nationale a dominé ces entretiens où ont été abordées les questions de la situation au Maghreb, la tension algéro-marocaine et l'insécurité dans la région sahélo-saharienne.
"Le Maroc répond à tous les critères pour jouir de la meilleure coopération avec l'Union européenne, y compris une intégration. Le royaume renforce sa démocratie et respecte les droits de l'homme", a souligné le responsable suédois. "La position officielle de la Suède sur le Sahara est déterminée par son gouvernement. Elle rejoint les efforts de l'ONU et l'Union européenne pour trouver une solution politique à cette question", a déclaré Per Westererg.
En réponse à une question de Le360, le président du Parlement suédois a indiqué qu'il apprécierait énormément une visite d'une délégation qui comprendrait des journalistes et des ONG marocaines pour enrichir à Stockholm le débat sur l'intégrité territoriale du royaume. Per Westererg a remis à cette occasion à Ghellab et Biadillah un traité officiel daté de 250 ans en vertu duquel la Suède demandait au Maroc de l'aider à protéger sa flotte commerciale longeant le littoral marocain contre la piraterie et les corsaires. "Nous vous avons défendu contre la piraterie".
Cette piraterie existe de même quand il s'agit des attaques de nos adversaires contre le Sahara et notre intégrité territoriale. Il faut que la société suédoise comprenne que le Maroc est victime d'un conflit artificiel. "Comme nous avons défendu des causes par le passé et le ferons toujours, la Suède et sa société doivent faire la part des choses", a déclaré Mohamed Biadillah.
Le360
VOILA!!!!
.??
Commentaire