Je me sens si seule dans ce lit pourtant si grand
Mon nouveau linceul, mon ami, sans toi mon amant,
Je vis avec mon ennemie, cette solitude te bénissant
D'être loin d'ici, loin de mon corps bouillonnant...
Mes désirs s'accumulent, mêlant passion et envie
De toi, de nous sans recul, je rêve cette nuit
Que tu m'enlaces, que tu m'embrasses dans ce même lit
Que tu m'empoignes avec force, et que mes "non" soient des "oui"...
Ardemment je désire ta peau, ton corps contre le mien
Que tu viennes au chaud, enflammer le creux de mes reins
En y déposant tes baisers penauds, pour me faire tant de bien
Délaisse pour moi ces lambeaux, fais moi découvrir ces plaisirs aériens...
Couvre-moi de ta chair si douce, respire mes recoins qui te réclament
Au diable la timidité qui t'émousse, n'oublie pas que je suis une femme
Qui brûle d'envie pour toi, de tes doigts, refroidis moi de ces flammes
Les mêmes qui me poussent, qui s'acharnent, qui te veulent qui te blâment...
Caresse-moi de tes mains imposantes, habiles et prodigieuses
Embrase mon corps de ta voix vibrante, de ton odeur adipeuse
Je n'en peux plus, je meurs, je crève de ma jalousie cancéreuse
Je te veux de suite, prends moi maintenant, je suis toute orageuse !
Tant d'autres te veulent, te convoitent, et te volent à mon insu
Elles crient ton nom, tu m'exploites, et m'abandonnes avec ma vertu
Tu accours, tel Narcisse, croyant qu'elles seront encore plus dévêtues
Mais n'oublie pas que tu n'es que Morphée, et que ce soir je réclame mon dû !
je l'avais écrit déjà...mais ce soir je l'appelle à nouveau ce p'tit con
Mon nouveau linceul, mon ami, sans toi mon amant,
Je vis avec mon ennemie, cette solitude te bénissant
D'être loin d'ici, loin de mon corps bouillonnant...
Mes désirs s'accumulent, mêlant passion et envie
De toi, de nous sans recul, je rêve cette nuit
Que tu m'enlaces, que tu m'embrasses dans ce même lit
Que tu m'empoignes avec force, et que mes "non" soient des "oui"...
Ardemment je désire ta peau, ton corps contre le mien
Que tu viennes au chaud, enflammer le creux de mes reins
En y déposant tes baisers penauds, pour me faire tant de bien
Délaisse pour moi ces lambeaux, fais moi découvrir ces plaisirs aériens...
Couvre-moi de ta chair si douce, respire mes recoins qui te réclament
Au diable la timidité qui t'émousse, n'oublie pas que je suis une femme
Qui brûle d'envie pour toi, de tes doigts, refroidis moi de ces flammes
Les mêmes qui me poussent, qui s'acharnent, qui te veulent qui te blâment...
Caresse-moi de tes mains imposantes, habiles et prodigieuses
Embrase mon corps de ta voix vibrante, de ton odeur adipeuse
Je n'en peux plus, je meurs, je crève de ma jalousie cancéreuse
Je te veux de suite, prends moi maintenant, je suis toute orageuse !
Tant d'autres te veulent, te convoitent, et te volent à mon insu
Elles crient ton nom, tu m'exploites, et m'abandonnes avec ma vertu
Tu accours, tel Narcisse, croyant qu'elles seront encore plus dévêtues
Mais n'oublie pas que tu n'es que Morphée, et que ce soir je réclame mon dû !
je l'avais écrit déjà...mais ce soir je l'appelle à nouveau ce p'tit con