Satellites marocains : Intox
Une intox diffusée par un portail économique parisien fait le tour des sites et des journaux makhzéniens. Selon La Tribune, qui prend ses informations de « sources concordantes », Airbus Space Systems et Thales Alenia Space auraient signé l’an dernier un contrat portant sur la vente de deux satellites d’observation au Maroc.
Pourtant, c’est de la pure intox parisiano-makhzénienne diffusée par ce seul journal en faillite. Journal qui n’existe désormais plus en version papier depuis 2012.
La Tribune bientôt placée en redressement judiciaire, veut convaincre qui le veut bien que le Maroc va se faire une place parmi les grands de l’espace. A la rigueur, on pourrait même croire à cette intox s’il s’agissait de paraboles pour la réception de certaines données des satellites héliosynchrones français.
Mais ce n’est pas le cas, à Toulouse, aucune lame de ferraille ni cellule photovoltaïque de panneaux solaires n’ont été vendues ni cédées au Commandeur des cieux de l’Empire chérifien. On verra, car à Kourou, l’agenda des fusées Ariane et la programmation des lancements sont rendus public.
« Un contrat confidentiel », dit-on ! Alors qu’aucune société connue spécialisée dans le domaine spatial ne confirme l’info à ce journal.
Ce n’est pas avec ces mirages « top-secrets » que l’économie française va se redresser et que le Makhzen va faire peur à ses voisins.
En fait, on attend toujours un scoop « top secret » qui nous annonce la vente des Rafales au Brésil et à l’Inde.
demainonline
Une intox diffusée par un portail économique parisien fait le tour des sites et des journaux makhzéniens. Selon La Tribune, qui prend ses informations de « sources concordantes », Airbus Space Systems et Thales Alenia Space auraient signé l’an dernier un contrat portant sur la vente de deux satellites d’observation au Maroc.
Pourtant, c’est de la pure intox parisiano-makhzénienne diffusée par ce seul journal en faillite. Journal qui n’existe désormais plus en version papier depuis 2012.
La Tribune bientôt placée en redressement judiciaire, veut convaincre qui le veut bien que le Maroc va se faire une place parmi les grands de l’espace. A la rigueur, on pourrait même croire à cette intox s’il s’agissait de paraboles pour la réception de certaines données des satellites héliosynchrones français.
Mais ce n’est pas le cas, à Toulouse, aucune lame de ferraille ni cellule photovoltaïque de panneaux solaires n’ont été vendues ni cédées au Commandeur des cieux de l’Empire chérifien. On verra, car à Kourou, l’agenda des fusées Ariane et la programmation des lancements sont rendus public.
« Un contrat confidentiel », dit-on ! Alors qu’aucune société connue spécialisée dans le domaine spatial ne confirme l’info à ce journal.
Ce n’est pas avec ces mirages « top-secrets » que l’économie française va se redresser et que le Makhzen va faire peur à ses voisins.
En fait, on attend toujours un scoop « top secret » qui nous annonce la vente des Rafales au Brésil et à l’Inde.
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