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Les quelques 42 846 accidents de la circulation survenus en 2013 ont coûté aux pouvoirs publics 100 milliards de dinars, a déclaré ce dimanche à Alger, Amar Ghoul, ministre des transports.
Lors d’une journée d’étude portant sur la politique de la sécurité routière, le ministre a fait remarquer que les efforts jusqu’ici consentis par les parties concernées n’ont pas réussir à mettre un terme à cette catastrophe. Avec 42 846 accidents enregistrés, 4540 morts et 69 582 blessés en 2013, l’Algérie figure, toujours parmi les premières places mondiales.
Ce bilan se justifie, entre autres, selon le ministre, par l’explosion continue du parc automobile national. Chaque année entre 650 000 et 700 000 nouveaux véhiculent sont enregistrés. Ainsi le parc qui est estimé actuellement à 8 millions de véhicules (dont 45% de poids lourds) risque de passer en 2020-2025 à plus de 20 millions de véhicules.
Pour alléger ce bilan, le ministre parle de la nécessité d’introduire des solutions radicales en s’appuyant sur les nouvelles technologies de communications, de la conjugaison des efforts des efforts de toutes les parties concernées.
Ghoul préconise également le développement des voies ferrées électrifiées de manière à répondre aux besoins exprimés en transport des personnes et des marchandises. L’objectif est, selon le même responsable, de parvenir à la réalisation de 12 500 km de rail.
Aussi, est prise la décision de réévaluer et revoir l’organisation du centre national de la prévention routière, lequel devra être présent au niveau des circonscriptions administratives et des communes de manière à faire un travail de proximité.
Mina Adel- El Watan
Lors d’une journée d’étude portant sur la politique de la sécurité routière, le ministre a fait remarquer que les efforts jusqu’ici consentis par les parties concernées n’ont pas réussir à mettre un terme à cette catastrophe. Avec 42 846 accidents enregistrés, 4540 morts et 69 582 blessés en 2013, l’Algérie figure, toujours parmi les premières places mondiales.
Ce bilan se justifie, entre autres, selon le ministre, par l’explosion continue du parc automobile national. Chaque année entre 650 000 et 700 000 nouveaux véhiculent sont enregistrés. Ainsi le parc qui est estimé actuellement à 8 millions de véhicules (dont 45% de poids lourds) risque de passer en 2020-2025 à plus de 20 millions de véhicules.
Pour alléger ce bilan, le ministre parle de la nécessité d’introduire des solutions radicales en s’appuyant sur les nouvelles technologies de communications, de la conjugaison des efforts des efforts de toutes les parties concernées.
Ghoul préconise également le développement des voies ferrées électrifiées de manière à répondre aux besoins exprimés en transport des personnes et des marchandises. L’objectif est, selon le même responsable, de parvenir à la réalisation de 12 500 km de rail.
Aussi, est prise la décision de réévaluer et revoir l’organisation du centre national de la prévention routière, lequel devra être présent au niveau des circonscriptions administratives et des communes de manière à faire un travail de proximité.
Mina Adel- El Watan