À CEUX QUI DETRUISENT L'ALGERIE !
Quel crime ai-je commis pour que vous vous permettiez à me retirer
Toute liberté de vivre en paix sur la terre où je suis né ?
Quand allez vous cesser de me créer des ennemis
Dans mon pays et même parmi ma fratrie ?
Qui êtes- vous pour décider qui va me diriger
Et qui va choisir ce que je dois dire et penser ?
Des richesses de cette terre que vous n’avez pas libéré
Vous vous êtes servis sans compter et sans l'avoir mérité
Vous avez pris d'elle ce qui est bon et vous l’avez donné
À ceux et celles qui vivent dans le luxe illimité
Et vous avez délaissé des millions qui vivent dans la pauvreté
Tout en les traitant d'une façon dénuée de toute humanité
Sortez de votre tour protégée par des soldats chichement-payés
Ouvrez bien vos yeux et regardez ce que ce vous avez fait
De tout ce peuple que vous considérez atteint d'immaturité
Regarder-le, il ne cherche qu'à vivre libre et en paix
Regarder son visage si triste et par la hogra marqué
Par cette attente douloureuse, méchante et indéterminée
Oui, il sait que vous avez permis et même ordonné et exigé
Qu'il soit interdit de s'opposer, de se révolter et de manifester
Que ses filles soient violées et pousser à se prostituer
Que ses fils soient torturés, exécutés et pousser à s'exiler
Que des familles soient obligées de s'éparpiller et de s'éclater
Que sa terre soit utilisée comme une prison dont on ne peut s'échapper
Quel crime nous avons commis hormis celui de vous dire ça suffit
Ça suffit , cette manière de considérer nos vies
Comme un moyen pour nous de montrer que vous êtes puissant et fort
Que vous avez toujours raison et jamais, jamais une seule fois tort
Que vous méritez la noblesse, la gloire et les honneurs
Et nous et nos semblables l'humiliation, le mépris et la terreur ?
De quel droit continuez- vous à pomper et à vendre notre pétrole
Sans rendre des comptes à ce peuple misérable, son unique propriétaire ?
De quel droit vous continuez à nous faire jouer ce mauvais rôle
Qui consiste à ne rien dire, à vous applaudir et à nous taire ?
Détourner les yeux pour vous laisser continuer à tout détruire
Pour vous permettre de satisfaire vos désirs les plus viles et les plus pervers
Combien de neurones avez vous assassiné ou laisser pourrir ?
Combien de mains vous avez coupé ou rendu inutiles incapable de faire et écrire ?
Combien de cœurs avez vous rendu tristes , terrorisés et rendus plus dur qu'une pierre ?
Combien de pieds vous avez cassé, rendus impuissants à se délacer à courir pour vous fuir ?
Combien de jeunes doués dans des domaines divers avez vous castré et interdit de mûrir ?
Combien de vieux sages et expérimentés avez vous réduit à désirer mourir que de vous entendre mentir ?
Sachez encore une fois que cette terre est bénie et qu'elle ne sera jamais votre propriété
Sachez encore une fois que sur elle, aucune trace de vos pas maudits ne sera marquée
Sachez-le bien nos héros n'étaient pas et ne seront jamais vous, ni de votre race: les suceurs de notre pays
Et sachez qu'ils sont dans nos mémoires en lettres d'or tous et toutes inscrits
Sachez aussi que tout ce que vous avez volé et tous les crimes que vous avez commis n'ont alimenté que votre perversité
Sachez enfin que l'Algérie son identité, sa diversité et ses valeurs que nos ancêtres nous ont légué resteront vivants pour l'éternité !
Quel crime ai-je commis pour que vous vous permettiez à me retirer
Toute liberté de vivre en paix sur la terre où je suis né ?
Quand allez vous cesser de me créer des ennemis
Dans mon pays et même parmi ma fratrie ?
Qui êtes- vous pour décider qui va me diriger
Et qui va choisir ce que je dois dire et penser ?
Des richesses de cette terre que vous n’avez pas libéré
Vous vous êtes servis sans compter et sans l'avoir mérité
Vous avez pris d'elle ce qui est bon et vous l’avez donné
À ceux et celles qui vivent dans le luxe illimité
Et vous avez délaissé des millions qui vivent dans la pauvreté
Tout en les traitant d'une façon dénuée de toute humanité
Sortez de votre tour protégée par des soldats chichement-payés
Ouvrez bien vos yeux et regardez ce que ce vous avez fait
De tout ce peuple que vous considérez atteint d'immaturité
Regarder-le, il ne cherche qu'à vivre libre et en paix
Regarder son visage si triste et par la hogra marqué
Par cette attente douloureuse, méchante et indéterminée
Oui, il sait que vous avez permis et même ordonné et exigé
Qu'il soit interdit de s'opposer, de se révolter et de manifester
Que ses filles soient violées et pousser à se prostituer
Que ses fils soient torturés, exécutés et pousser à s'exiler
Que des familles soient obligées de s'éparpiller et de s'éclater
Que sa terre soit utilisée comme une prison dont on ne peut s'échapper
Quel crime nous avons commis hormis celui de vous dire ça suffit
Ça suffit , cette manière de considérer nos vies
Comme un moyen pour nous de montrer que vous êtes puissant et fort
Que vous avez toujours raison et jamais, jamais une seule fois tort
Que vous méritez la noblesse, la gloire et les honneurs
Et nous et nos semblables l'humiliation, le mépris et la terreur ?
De quel droit continuez- vous à pomper et à vendre notre pétrole
Sans rendre des comptes à ce peuple misérable, son unique propriétaire ?
De quel droit vous continuez à nous faire jouer ce mauvais rôle
Qui consiste à ne rien dire, à vous applaudir et à nous taire ?
Détourner les yeux pour vous laisser continuer à tout détruire
Pour vous permettre de satisfaire vos désirs les plus viles et les plus pervers
Combien de neurones avez vous assassiné ou laisser pourrir ?
Combien de mains vous avez coupé ou rendu inutiles incapable de faire et écrire ?
Combien de cœurs avez vous rendu tristes , terrorisés et rendus plus dur qu'une pierre ?
Combien de pieds vous avez cassé, rendus impuissants à se délacer à courir pour vous fuir ?
Combien de jeunes doués dans des domaines divers avez vous castré et interdit de mûrir ?
Combien de vieux sages et expérimentés avez vous réduit à désirer mourir que de vous entendre mentir ?
Sachez encore une fois que cette terre est bénie et qu'elle ne sera jamais votre propriété
Sachez encore une fois que sur elle, aucune trace de vos pas maudits ne sera marquée
Sachez-le bien nos héros n'étaient pas et ne seront jamais vous, ni de votre race: les suceurs de notre pays
Et sachez qu'ils sont dans nos mémoires en lettres d'or tous et toutes inscrits
Sachez aussi que tout ce que vous avez volé et tous les crimes que vous avez commis n'ont alimenté que votre perversité
Sachez enfin que l'Algérie son identité, sa diversité et ses valeurs que nos ancêtres nous ont légué resteront vivants pour l'éternité !
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