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  • Urgent : Ali yahia Abdenour, Taleb Ibrahimi et Benyelles contre un quatrième mandat de Bouteflika

    Le front anti quatrième mandat de Bouteflika s'élargit. Trois personnalités politiques viennent de rendre public une déclaration dans laquelle ils disent non au 4eme mandat.

    Dans un communiqué rendu public ce lundi, Ali Yahia Abdenour, Ahmed Taleb Ibrahimi et Rachid Benyelles disent non "à une quatrième candidature de M.Bouteflika" et appellent " les forcessaines du pays - et notamment celles attachées à la justice et çà la moralisation de la vie politique- à exprimer leur refus par tous les moyens pacifiques qu'ils jugent utiles (...)" et au cas ou la candidature de Bouteflika est maintenu "de boycotter massivement l'élection".



    Les trois signataires, après un rappel de toutes les étapes vécues par le pays depuis 1999, considère que "l'Algérie, depuis l'indépendance n'a jamais connu de conditions aussi favorables pour son développement au cours des quinze dernières années, sa regression politique, économique, culturelle et ethique n'aura malheureusement, jamaisété aussi grande qu'au cours de cette même période".



    Ali Yahia Abdenour, Taleb Ibrahimi et Rachid Benyelles estime que cette "déchéance est l'oeuvre de la coterie au pouvoir qui pousse maintenat l'arrogance jusqu'a vouloir imposer un quatrième mandat dans un climat délétère aggravé par une situation explosive dans le sud du pays et des déclarations irresponsables faites hélas au nom du FLN".


    "Aussi et devant le viol qu'il s'apprete à faire subir une nouvelle fois à notre peuple, nous, signataires de cette décalration, considérons qu'il est de notre devoir, devant dieu et le peuple algérien, de dénoncer publiquement et solennellement, ses dérives politiques et morales inacceptables, sa gestion desastreuse des affaires de l'Etat et son immobilisme face au développement du régionalisme, du communautarisme et des forces centrifuges qui menacent le pays d'éclatement", écrivent Ali Yahia Abdenour, Taleb Ibrahimi et Rachid Benyelles.

    Elwatan.com

  • #2
    Le front anti quatrième mandat de Bouteflika s'élargit. Trois personnalités politiques viennent de rendre public une déclaration dans laquelle ils disent non au 4eme mandat.
    C'est la constitution qui devait dire non, en principe !

    Commentaire


    • #3
      c'est la quasi totalité du peuple ALGERIEN qui est contre
      SAHARA OCCIDENTAL LIBRE & INDÉPENDANT

      VIVA POLISARIO

      Commentaire


      • #4
        Nous avons l’article 88 de la constitution, il suffit de l’appliquer

        Art. 88 - Lorsque le Président de la République, pour cause de maladie grave et durable, se trouve dans l'impossibilité totale d'exercer ses fonctions, le Conseil Constitutionnel, se réunit de plein droit, et après avoir vérifié la réalité de cet empêchement par tous moyens appropriés, propose, à l'unanimité, au Parlement de déclarer l'état d'empêchement.
        Le Parlement siégeant en chambres réunies déclare l'état d'empêchement du Président de la République, à la majorité des deux tiers (2/3) de ses membres et charge de l'intérim du Chef de l'Etat, pour une période maximale de quarante cinq (45) jours, le Président du Conseil de la Nation, qui exerce ses prérogatives dans le respect des dispositions de l'article 90 de la Constitution.
        En cas de continuation de l'empêchement à l'expiration du délai de quarante cinq (45) jours, il est procédé à une déclaration de vacance par démission de plein droit, selon la procédure visée aux aliénas ci-dessus et selon les dispositions des alinéas suivants du présent article.
        En cas de démission ou de décès du Président de la République, le Conseil Constitutionnel se réunit de plein droit et constate la vacance définitive de la Présidence de la République.
        Il communique immédiatement l'acte de déclaration de vacance définitive au Parlement qui se réunit de plein droit.
        Le Président du Conseil de la Nation assume la charge de Chef de l'Etat pour une durée maximale de soixante (60) jours, au cours de laquelle des élections présidentielles sont organisées.
        Le Chef de l'Etat, ainsi désigné, ne peut être candidat à la Présidence de la République.
        En cas de conjonction de la démission ou du décès du Président de la République et de la vacance de la Présidence du Conseil de la Nation, pour quelque cause que ce soit, le Conseil Constitutionnel, se réunit de plein droit et constate à l'unanimité la vacance définitive de la Présidence de la République et l'empêchement du Président du Conseil de la Nation.
        Dans ce cas, le Président du Conseil Constitutionnel assume la charge de Chef de l'Etat dans les conditions fixées aux alinéas précédents du présent article et à l'article 90 de la Constitution.
        Il ne peut être candidat à la Présidence de la République.

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        • #5
          Art. 88

          en gros les anti "4" ont une très belle carte en main a jouer

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          • #6
            Déclaration Tripartite de M.M. Ahmed Taleb-Ibrahimi, Ali-Yahia Abdennour et Rachid Benyellès.

            Non à un quatrième mandat


            Après avoir bafoué la Constitution qui limitait le nombre de législatures à deux mandats, voilà que le clan au pouvoir veut reconduire M. Bouteflika -arrivé illégitimement au pouvoir en 1999- pour un 4ème mandat consécutif. C’est une négation de la République et du sacro-saint principe de l’alternance au pouvoir, une offense à la mémoire de ceux de nos compatriotes qui ont sacrifié leur vie pour l’indépendance du pays et une marque de mépris pour les citoyens que nous sommes. Sauf réaction significative de la société civile et politique, M. Bouteflika sera maintenu à la tête de l’Etat au titre d’une parodie d’élection identique à toutes celles que nous avons connu dans le passé, et ce, malgré son âge avancé, son état de santé déplorable et le bilan fort contestable des quinze dernières années. Un bilan d’autant plus inexcusable que l’Algérie aura connu au cours de cette période, une conjoncture exceptionnellement favorable, celle d’une paix civile retrouvée grâce à la population qui a rejeté et l’extrémisme et l’éradication, celle d’une pluviométrie providentielle et celle d’une embellie extraordinaire des cours du pétrole. Les recettes pétrolières colossales perçues durant cette période ont été dilapidées à l’exception d’une partie bloquée en bons de trésor, pour le seul bénéfice de l’économie américaine.


            Au lieu d’utiliser la manne tombée du ciel pour bâtir une économie de substitution à l’économie rentière des hydrocarbures et propulser l’Algérie au rang des pays émergeants, le régime de M. Bouteflika a choisi d’engager le pays sur la voie qui lui permet de rester au pouvoir en achetant la paix sociale avec l’argent du pétrole. Pour ce faire, il a inondé le marché de produits d’importation et passé des contrats faramineux avec des entreprises étrangères de travaux et de prestation de service, à la grande satisfaction d’une faune d’affairistes de tous acabits et de tous bords. Des contrats qui ont donné systématiquement lieu à des commissions exorbitantes au profit des contractants nationaux et de leurs intermédiaires à travers le monde. Des fortunes colossales se sont ainsi bâties sur le vol et la prévarication au détriment du Trésor algérien.


            Le pillage des recettes provenant de l’exportation des hydrocarbures au cours de ces années funestes pour l’intérêt du pays, a été accompagné par une surexploitation criminelle de nos gisements pétroliers pourtant bien connus pour la modestie de leurs réserves en comparaison avec celles des Etas pétroliers de la région. Une surexploitation qui a accéléré le processus d’épuisement déjà largement entamé, ce qui expose la nouvelle génération d’Algériens à de graves problèmes de ressources.


            Peu de projets productifs ont vu le jour durant les quinze dernières années et le peu qui restait encore de l’ancien appareil de production a été démantelé pour laisser place nette aux barons de l’importation qui ont fait des Algériens une population d’assistés ayant perdu le sens de l’entreprise, ne produisant plus rienet attendant tout de l’extérieur, et vivotant dans un Etat en queue de classement dans tous les rapports publiés périodiquement par les institutions internationales.


            Un Etat déliquescent caractérisé par une administration budgétivore et incompétente, une bureaucratie étouffante, des services publics défaillants, une économie dominée par les activités informelles, la spéculation, la fraude, l’évasion fiscale et monétaire. Un Etat hors normes, profondément gangréné par la corruption (aggravée par l’impunité), et totalement déconsidéré aux plans régional et international. Un Etat incapable de protéger sa population contre les tonnes de kif qu’un pays voisin, connu pour sa politique expansionniste et son bellicisme à l’égard de l’Algérie, déverse quotidiennement sur nous, sans que le pouvoir en place ne réagisse. C’est une véritable «guerre de l’opium» que ce pays mène contre nous, une guerre qui fait des ravages dans la jeunesse algérienne et menace la République dans son intégrité territoriale.


            Alors que l’Algérie, depuis l’Indépendance, n’a jamais connu de conditions aussi favorables pour son développement qu’au cours des quinze dernières années, sa régression politique, économique, culturelle et éthique n’aura malheureusement, jamais été aussi grande qu’au cours de cette même période. Cette déchéance est l’œuvre de la côterie au pouvoir qui pousse maintenant l’arrogance jusqu’à vouloir imposer un quatrième mandat dans un climat délétère aggravé par une situation explosive dans le sud du pays et des déclarations irresponsables faites hélas au nom du FLN.


            Aussi, et devant le viol qu’il s’apprête à faire subir une nouvelle fois à notre peuple, nous, signataires de cette Déclaration, considérons qu’il est de notre devoir, devant Dieu et le peuple algérien, de dénoncer publiquement et solennellement, ses dérives politiques et morales inacceptables, sa gestion désastreuse des affaires de l’Etat et son immobilisme face au développement du régionalisme, du communautarisme et des forces centrifuges qui menacent le pays d’éclatement.


            Nous signataires de la présente Déclaration, disons non à une quatrième candidature de M. Bouteflika et appelons toutes les forces saines du pays- et notamment celles attachées à la justice sociale et à la moralisation de la vie politique- à exprimer leur refus par tous les moyens pacifiques qu’ils jugent utiles: prises de position individuelles et collectives, recueils de signatures, pétitions, déclarations, appels, etc., comme nous leurs demandons, en cas de maintien de cette candidature, de boycotter massivement le simulacre d’élections que le pouvoir en place projette de tenir. La prochaine échéance électorale doit être l’occasion d’exiger une refondation des institutions afin que la situation que l’Algérie a connue durant les quinze dernières années ne se reproduise plus jamais et pour que la candidature à la magistrature suprême ne soit dorénavant permise qu’aux seuls dirigeants dans la force de l’âge, en pleine possession de leurs capacités physiques et intellectuelles, et cela, à l’exemple de tous les pays qui comptent dans le monde.

            Alger le 10 février 2014

            Abdennour ALI YAHIA Ahmed TALEB-IBRAHIMI Rachid BENYELLES

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            • #7
              Exellente initiative.
              J'avais appeler sur ce forum même des personalité politique, des anciens militaires, des intellectuelles, ...etc à intervenir et à donné leur mot sur cette mascarade du 4 ème mendat. Hamdoulah ca commence à bouger .

              Bouhired, Mechati, Ibrahimi, Ben yelles, Ali yahia abdenour..( initiative de Adhimi, Rahabi, arezqui )..
              Il faut faire un bloc face à cette mascarade .

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              • #8
                Urgent : Ali yahia Abdenour, Taleb Ibrahimi et Benyelles contre un quatrième mandat de Bouteflika
                Ca va partir dans la poubelle de l'histoire. L'histoire retiendra qu'ils sont tous des couillons pour avoir traité du secondaire à la place de l'essentiel.

                Vive Saâdani yal khawa

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                • #9
                  votrefrere a dit:
                  Exellente initiative.
                  J'avais appeler sur ce forum même des personalité politique, des anciens militaires, des intellectuelles, ...etc à intervenir et à donné leur mot sur cette mascarade du 4 ème mendat. Hamdoulah ca commence à bouger .
                  Si Boutef annonce officiellement qu'il ne présentera pas, je suis sûr qu'il y aura des youyous partout en Algérie. Il n'en sortira que grandit, et avec le minium de dégats, même si çà sera très en retard.

                  Mais bon !

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                  • #10
                    @Sidmark,

                    J'en suis convaincu, oullah yaalam...
                    Othmane BENZAGHOU

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                    • #11
                      Bouteflika pour un 4ème et un 5ème mandat, c'est certain vu le niveau de compétence de la communauté des nations à prendre en charges les problèmes mondiaux, il est le plus expérimenté pour se joindre à eux.

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                      • #12
                        Même le gouvernement (ministres) actuel de bouteflika doivent dire NON à un 4e mandat pour le bien de Bouteflika (qui doit se décharger et se reposer) et de l'Algérie entière.

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