L’Algérie occupe la 121ème place dans le classement mondial de la liberté de la presse 2014 publié par l’ONG Reporters sans frontières. Elle gagne ainsi quatre places par rapport à 2013 et une seule place par rapport à 2012 et à 2011. Au plan arabe, l’Algérie vient derrière la Mauritanie (60), le Liban (106), le Qatar (113) et les Emirats arabes unis (118).
En revanche, elle devance la Tunisie voisine (133), le Maroc (136), la Libye (137) et l’Égypte (159).
Pour la quatrième année consécutive, la Palme d’or de la liberté de la presse revient à la Finlande (1ère) suivie des Pays-Bas et de la Norvège. En queue de peloton, « trou noir » de la liberté de la presse dans le monde, on retrouve le Turkménistan, la Corée du Nord et l’Erythrée.
Selon RSF,le « classement de certains pays, y compris des démocraties, est largement affecté, cette année, par une interprétation trop large et abusive du concept de la protection de la sécurité nationale. Par ailleurs, le classement reflète l’impact négatif des conflits armés sur la liberté de l’information et ses acteurs ».
Le classement mondial de la liberté de la presse de RSF s’articule autour de sept indicateurs : le niveau des exactions, l’étendue du pluralisme, l’indépendance des médias, l’environnement et l’autocensure, le cadre légal, la transparence et les infrastructures. « Il place les gouvernements face à leurs responsabilités en permettant à la société civile de se saisir d’une mesure objective et fournit aux instances internationales un indicateur de bonne gouvernance pour orienter leurs décisions », observe Christophe Deloire, secrétaire général de Reporters sans frontières.
TSA
En revanche, elle devance la Tunisie voisine (133), le Maroc (136), la Libye (137) et l’Égypte (159).
Pour la quatrième année consécutive, la Palme d’or de la liberté de la presse revient à la Finlande (1ère) suivie des Pays-Bas et de la Norvège. En queue de peloton, « trou noir » de la liberté de la presse dans le monde, on retrouve le Turkménistan, la Corée du Nord et l’Erythrée.
Selon RSF,le « classement de certains pays, y compris des démocraties, est largement affecté, cette année, par une interprétation trop large et abusive du concept de la protection de la sécurité nationale. Par ailleurs, le classement reflète l’impact négatif des conflits armés sur la liberté de l’information et ses acteurs ».
Le classement mondial de la liberté de la presse de RSF s’articule autour de sept indicateurs : le niveau des exactions, l’étendue du pluralisme, l’indépendance des médias, l’environnement et l’autocensure, le cadre légal, la transparence et les infrastructures. « Il place les gouvernements face à leurs responsabilités en permettant à la société civile de se saisir d’une mesure objective et fournit aux instances internationales un indicateur de bonne gouvernance pour orienter leurs décisions », observe Christophe Deloire, secrétaire général de Reporters sans frontières.
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