«Que signifie un quatrième mandant devant la stabilité de l’Algérie ? Pour vous dire, le temps est venu pour qu’il quitte le navire au risque de le faire chavirer. Bouteflika doit impérativement partir et son clan avec, car la situation est grave et l’Algérie a besoin d’hommes intègres pour la sortir de cette anarchie.»
«Je suis radicalement opposée à la reconduction de Bouteflika pour un autre mandat. Déjà, le troisième était de trop et est émaillé d’une foultitude de scandales liés à la corruption notamment.»
«S’il croit que l’Algérie appartient au clan Bouteflika, alors il fait fausse route. L’histoire retiendra qu’il est au service de personnes au détriment de la stabilité du pays».Et de réitérer son engagement, elle persiste et signe : « Si Bouteflika se porte candidat, je sors dans la rue».
Djamila Bouhired, militante du FLN ( Front de Libération Nationale) durant la guerre de libération nationale, capturée et torturée par les forces coloniales en 1957, a échappé à la peine capitale grâce à la campagne médiatique menée par Jacques Vergès. Finalement graciée et libérée en 1962, cette icône de la révolution algérienne ne cesse de nourrir l’idéal patriotique algérien. Aujourd’hui âgée de 75 ans, Djamila Bouhired est d’autant plus admirée pour sa discrétion et son retrait des cercles du pouvoir.
El-Watan
«Je suis radicalement opposée à la reconduction de Bouteflika pour un autre mandat. Déjà, le troisième était de trop et est émaillé d’une foultitude de scandales liés à la corruption notamment.»
«S’il croit que l’Algérie appartient au clan Bouteflika, alors il fait fausse route. L’histoire retiendra qu’il est au service de personnes au détriment de la stabilité du pays».Et de réitérer son engagement, elle persiste et signe : « Si Bouteflika se porte candidat, je sors dans la rue».
Djamila Bouhired, militante du FLN ( Front de Libération Nationale) durant la guerre de libération nationale, capturée et torturée par les forces coloniales en 1957, a échappé à la peine capitale grâce à la campagne médiatique menée par Jacques Vergès. Finalement graciée et libérée en 1962, cette icône de la révolution algérienne ne cesse de nourrir l’idéal patriotique algérien. Aujourd’hui âgée de 75 ans, Djamila Bouhired est d’autant plus admirée pour sa discrétion et son retrait des cercles du pouvoir.
El-Watan
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