Abdelamelk Sellal s’est, enfin, exprimé sur le débat soulevé aussi bien par des partis politiques que par des militaires à la retraite autour du rôle du DRS et plus globalement de l’Armée nationale. Ce samedi 15 février, en déplacement à Mila, le Premier ministre a emboîté le pas au président de la République et fixé des lignes rouges à ne pas dépasser.
« Nous allons vers des élections présidentielles (...), néanmoins, il existe des lignes rouges à ne pas franchir et des acquis à ne pas remettre en cause, car, il y va de notre devenir et de celui de nos enfants », a averti M. Sellal dans son allocution devant les représentants de « la société civile ». Abdelmalek Sellal qui n’a pas cité explicitement l’objet de cette mise en garde, se démarque donc des critiques qui ont visé le chef du DRS puis celui de l’état-major. Mais à travers sa positon, il confirme, implicitement, le lien entre la présidentielle et ce débat qui anime la scène politique depuis près de 15 jours.
« Qu’il y ait des divergences politiques, cela ne pose pas de problèmes, mais, que l’on ne s’aventure pas à jouer avec les acquis du peuple algérien », a poursuivi le Premier ministre qui s’est exprimé au nom du gouvernement. Amar Saâdani, qui réunit les Mouhafedhs demain dimanche, devrait rencontrer la presse. Il aura l’occasion de s’exprimer de nouveau sur le dossier.
Aujourd’hui, le Premier ministre a assuré que l’État algérien ne « reviendra pas sur ses acquis». Il a rappelé « les acquis » des quinze dernières années en matière de sécurité et de stabilité. « Nous ne renouerons pas avec le passé », a-t-il dit, avant de noter qu’il serait inconcevable que l’on dénie les réalisations du président Abdelaziz Bouteflika dans ce domaine.
Enfin, pour ceux qui revendiquent un "Printemps arabe" en Algérie, M. Sellal a estimé que « tous les jours de l’Algérie sont semblables à un printemps de stabilité, d’entente, de cohésion, de savoir et de progrès ».
TSA
15.02.14
« Nous allons vers des élections présidentielles (...), néanmoins, il existe des lignes rouges à ne pas franchir et des acquis à ne pas remettre en cause, car, il y va de notre devenir et de celui de nos enfants », a averti M. Sellal dans son allocution devant les représentants de « la société civile ». Abdelmalek Sellal qui n’a pas cité explicitement l’objet de cette mise en garde, se démarque donc des critiques qui ont visé le chef du DRS puis celui de l’état-major. Mais à travers sa positon, il confirme, implicitement, le lien entre la présidentielle et ce débat qui anime la scène politique depuis près de 15 jours.
« Qu’il y ait des divergences politiques, cela ne pose pas de problèmes, mais, que l’on ne s’aventure pas à jouer avec les acquis du peuple algérien », a poursuivi le Premier ministre qui s’est exprimé au nom du gouvernement. Amar Saâdani, qui réunit les Mouhafedhs demain dimanche, devrait rencontrer la presse. Il aura l’occasion de s’exprimer de nouveau sur le dossier.
Aujourd’hui, le Premier ministre a assuré que l’État algérien ne « reviendra pas sur ses acquis». Il a rappelé « les acquis » des quinze dernières années en matière de sécurité et de stabilité. « Nous ne renouerons pas avec le passé », a-t-il dit, avant de noter qu’il serait inconcevable que l’on dénie les réalisations du président Abdelaziz Bouteflika dans ce domaine.
Enfin, pour ceux qui revendiquent un "Printemps arabe" en Algérie, M. Sellal a estimé que « tous les jours de l’Algérie sont semblables à un printemps de stabilité, d’entente, de cohésion, de savoir et de progrès ».
TSA
15.02.14
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