Bonne opération des forces de sécurité à Ammal dans la wilaya de Boumerdès tristement connue pour ses nombreux maquis longtemps contrôlés par les terroristes.
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Il serait le “cerveau” des derniers rapts dans la région - L’“émir” kidnappeur de Boumerdès abattu
L’“émir” Abderahmane de Djerrah, de son vrai nom Boudhib Djamel, ne sévira plus. Il a été abattu avec l’un de ses compagnons non encore identifié, avant-hier par les forces combinées de sécurité dans la commune de Ammal, 25 km à l’est de Boumerdès.
Les deux terroristes sont tombés aux environs de 14h dans une embuscade tendue par les forces combinées de sécurité dans la zone montagneuse et difficile d’accès de Djerrah. Selon nos sources, ils ont refusé de se rendre et ont tenté de tirer sur les éléments des forces de sécurité venus les convaincre de déposer les armes. Ces derniers n’avaient d’autre choix que de riposter tuant sur le coup les deux terroristes.
Deux armes de type kalachnikov et deux PA ont été récupérés sur les cadavres des deux terroristes. Des téléphones portables, des documents subversifs et d’importantes sommes d’argent ont également été découverts dans la cache de l’“émir” et son acolyte. Selon nos sources, l’“émir” Abderahmane, qui est originaire de Béni Amrane, avait pris le maquis en 1995 et était chargé par le GSPC de l’organisation des rapts des commerçants et des membres de leur famille. La plupart des opérations de kidnapping, qui ont eu lieu ces quatre dernières années dans la wilaya de Boumerdès, portaient sa signature.
La plupart de ses victimes étaient obligées de lui verser par l’intermédiaire de leurs parents des sommes faramineuses pour leur libération. Outre les commerçants de la région, de nombreux entrepreneurs de la wilaya de Boumerdès sont tombés également dans ses filets. Plusieurs éléments de son groupe sont connus pour les faux barrages et les opérations de racket qu’ils organisent dans les différents axes routiers des localités de Béni Amrane, Ammal, Souk El-Had, Thénia et à l’est de Bouira.
Abderahmane dit aussi “l’émir de Djerrah” est ainsi devenu un pourvoyeur de fonds du GSPC à tel point qu’il est advenu, grâce à cette mission, un élément important de la zone 2 du GSPC. pour rappel, l’un de ses compagnons, l’“émir” Abou Mohamed, de son vrai nom Mayouz Mohamed, spécialiste dans la fabrication des explosifs et qui est natif de Bordj El-Bahri, a été abattu il y a un peu plus de trois mois par les forces de sécurité presque au même endroit. La mort de ces deux terroristes intervient deux jours après l’attentat de Naciria qui a fait deux blessés parmi les policiers.
Le déploiement discret mais efficace des forces de sécurité dans la plupart des villes de la wilaya de Boumerdès et au niveau de certains axes routiers semble être bien accueilli par les citoyens qui circulent la nuit en toute quiétude. Autre initiative louable prise par le commandement de groupement de la gendarmerie nationale de Boumerdès, c’est l’installation d’un barrage fixe sur la route dite des Citronniers de Corso, reliant Boumerdès à Alger et la réalisation de l’éclairage public au niveau de la RN5 sur le tronçon de Thénia.
source : liberté
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Il serait le “cerveau” des derniers rapts dans la région - L’“émir” kidnappeur de Boumerdès abattu
L’“émir” Abderahmane de Djerrah, de son vrai nom Boudhib Djamel, ne sévira plus. Il a été abattu avec l’un de ses compagnons non encore identifié, avant-hier par les forces combinées de sécurité dans la commune de Ammal, 25 km à l’est de Boumerdès.
Les deux terroristes sont tombés aux environs de 14h dans une embuscade tendue par les forces combinées de sécurité dans la zone montagneuse et difficile d’accès de Djerrah. Selon nos sources, ils ont refusé de se rendre et ont tenté de tirer sur les éléments des forces de sécurité venus les convaincre de déposer les armes. Ces derniers n’avaient d’autre choix que de riposter tuant sur le coup les deux terroristes.
Deux armes de type kalachnikov et deux PA ont été récupérés sur les cadavres des deux terroristes. Des téléphones portables, des documents subversifs et d’importantes sommes d’argent ont également été découverts dans la cache de l’“émir” et son acolyte. Selon nos sources, l’“émir” Abderahmane, qui est originaire de Béni Amrane, avait pris le maquis en 1995 et était chargé par le GSPC de l’organisation des rapts des commerçants et des membres de leur famille. La plupart des opérations de kidnapping, qui ont eu lieu ces quatre dernières années dans la wilaya de Boumerdès, portaient sa signature.
La plupart de ses victimes étaient obligées de lui verser par l’intermédiaire de leurs parents des sommes faramineuses pour leur libération. Outre les commerçants de la région, de nombreux entrepreneurs de la wilaya de Boumerdès sont tombés également dans ses filets. Plusieurs éléments de son groupe sont connus pour les faux barrages et les opérations de racket qu’ils organisent dans les différents axes routiers des localités de Béni Amrane, Ammal, Souk El-Had, Thénia et à l’est de Bouira.
Abderahmane dit aussi “l’émir de Djerrah” est ainsi devenu un pourvoyeur de fonds du GSPC à tel point qu’il est advenu, grâce à cette mission, un élément important de la zone 2 du GSPC. pour rappel, l’un de ses compagnons, l’“émir” Abou Mohamed, de son vrai nom Mayouz Mohamed, spécialiste dans la fabrication des explosifs et qui est natif de Bordj El-Bahri, a été abattu il y a un peu plus de trois mois par les forces de sécurité presque au même endroit. La mort de ces deux terroristes intervient deux jours après l’attentat de Naciria qui a fait deux blessés parmi les policiers.
Le déploiement discret mais efficace des forces de sécurité dans la plupart des villes de la wilaya de Boumerdès et au niveau de certains axes routiers semble être bien accueilli par les citoyens qui circulent la nuit en toute quiétude. Autre initiative louable prise par le commandement de groupement de la gendarmerie nationale de Boumerdès, c’est l’installation d’un barrage fixe sur la route dite des Citronniers de Corso, reliant Boumerdès à Alger et la réalisation de l’éclairage public au niveau de la RN5 sur le tronçon de Thénia.
source : liberté
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