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Présence militaire au sud (vidéo)

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  • Présence militaire au sud (vidéo)

    Je suis tombé sur un petit reportage au sujet de la présence militaire au fin fond du sud algérien.
    Je suis surtout impressionné par la qualité du matériel médical mis à la disposition de la population locale. C'est mieux que ce qu'on a au nord.

    TAHYA EL DJAZAIR.

  • #2
    comparer aux hôpitaux algérien val de crasse, il ya une grande différence
    Éclairer les nations encore obscures.

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    • #3
      hôpital Mustapha Bacha deuxieme hopital de France en 1962.

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      • #4
        A croire les mafieux, c’est encore BOUTEFLIKA et son gros Gaid Salah qui a doté le Sud du pays de structures hospitalières pour aider les populations. Le matériel neuf que l’on voit est digne du film de propagande qui vante l’ANP des DAF. Les hôpitaux « ultra modernes» importés au prix fort sans aucun contrôle et dans des marchés de gré à gré conclut par le MDN – secret d’état impose ne sont là que dans le cadre d’importation massives destinée plus à cumuler les commissions qu’à servir le citoyen.

        Sous BOUMEDIENE, la médecine militaire, malgré des moyens limités servait sans distinction toutes les wilayas du pays grâce au zoning, au service militaire puis au service civil. Les médecins étaient obligés d’effectuer deux années au sein de l’armée ou dans les structures publiques, dans les coins les plus reculés du pays. BOUMEDIENE enterré , ses successeurs enterrèrent progressivement son programme généreux de santé , par les dérogations accordés à leurs enfants qui échappaient au service national puis l’adoption de lois qui modifièrent progressivement la pratique de la médecine en fonction de l’avancement des études des rejetons des généraux. Les premiers doctoraux en médecine obtenus, la médecine privée fut encouragée et les cabinets explosèrent dans les grandes villes. Quand les enfants devinrent spécialistes les cliniques qui étaient interdites par le socialisme furent de nouveau autorisées. Les nantis furent dispensés de service national pour faire fructifier leurs biens réduisant le nombre de praticiens qui exerçait dans la zone déshéritée. Les députés furieux d’avoir à passer par les militaires pour étendre à leurs progéniture les mêmes dispenses votèrent la suppression du service civil – conscrits servant dans des structures civiles- Les jeunes praticiens de toutes spécialités confondus qui exerçaient dans les hôpitaux de l’Algérie profonde rentrèrent chez eux laissant les malades en détresse dans des structures vides on ne travaillaient, pour certaines villes que les coopérants étrangers.

        Les hôpitaux de toile que l’on voit inaugurés par Gaid Salah sont des unités de campagne de l’armée servis par du personnel de carrière, installés en fonction de la tension qui existe dans la région et dont le personnel, fort peu nombreux, un médecin pour dix ambulances, soigne les civils pour ne pas perdre la main.
        Dernière modification par KHORE, 16 février 2014, 21h53.

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        • #5
          hôpital Mustapha Bacha deuxieme hopital de France en 1962.
          soyons justes à l'encontre des médecins algériens qui ne sont pas fils de dignitaires
          Mustapha Bacha était le deuxième Centre Hospitalier de France grâce à l'apport des praticiens français , une population à la pathologie lourde disponible en quantité et à l'exercice de grands noms de la Médecine militaire française qui ont , à l'image de leurs aînés des campagnes napoléoniennes ont donné à la medecine française de l'époque une aura internationale. LAVERAN en particuier a travaillé à Constantine.

          une fois l'indépendance acquise , l'hôpital qui avait vu des praticiens militants de l'OAS deshonnorer leur profession, s'est transformé en coquille vide.
          Son redémarrage a été laborieux grâce à quelques rares praticiens français qui restèrent fidèles à leurs patients et l'arrivée de coopérants de pays communistes.

          L'état où il se trouve actuellement est secondaire à plusieurs facteurs. Le plus ordinaire est le suremploi dans le cadre d'une médecine algérienne devenue pour les militaires maîtres du pays , plus source de gains que de service à la population . Eux ont pour les petits bobaux, les patrons algérois à leur disposition , ensuite leur Hôpital Central des Armées, Mohammed Seghir NEKKACHE et au moindre doute l'avion qui les transporte aux Val de Grâce toujours tenu par les médecins militaires qui firent la gloire de la médecine coloniale.

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          • #6
            Respect à ces médecins et à notre armée.
            My will is strong,it's my won't that is weak.

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