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Une attaque terroriste a eu lieu ce dimanche dans la région d’Ouled Manna, près de la frontière algérienne faisant quatre morts, dont un civil. Les terroristes ont dressé un faux-barrage avant de s’en prendre aux militaires. Un procédé qui rappelle celui utilisé par les groupes terroristes algériens.
Dimanche vers 01h00 du matin, une unité de la garde nationale s’est dirigée vers localité de Aouled Manaa à la suite des informations qui lui sont parvenues, indiquant que des individus ont bloqué la route et procédé à des opérations de vol, indique le ministère tunisien de l’Intérieur. «Dès l’arrivée de l’unité de la garde nationale, quatre terroristes ont ouvert le feu en direction des agents qui se trouvaient encore à l’intérieur de la voiture tuant les martyrs Abdelhamid Ghazouani et Fejri Boussaidi (adjudants), décédés sur place et blessant un officier et un autre agent de la garde nationale », précise le communiqué rendu public ce dimanche.
Selon la même source, l’arrivée des renforts a permis de découvrir que le même groupe terroriste avait arrêté auparavant une voiture dans laquelle se trouvait un officier de la protection civile, des citoyens et un agent des services pénitentiaires. Dès qu’ils ont pris connaissance de leur identité, les terroristes ont ouvert le feu en leur direction, tuant un gendarme et un citoyen et blessant les autres occupants de la voiture, ajoute le communiqué.
Signature d’éléments terroristes algériens
La Tunisie a connu depuis la révolution plusieurs actes terroristes attribués aux islamistes. 2013 a été l’année de la violence terroriste avec l’attentat perpétré contre une patrouille de l’armée qui s’est soldée par mort de 8 militaires à djebel Chaâmbi, l’assassinat des opposants politiques et l’attentat suicide de Sousse.
C’est la première fois qu’un groupe terroriste procède de la manière des faux-barrage. Un modus Operandi qui rappelle une triste séquence du cycle de violences qu’a connu l’Algérie dans les années 1990.
Des observateurs ont reconnu dans l’attaque de ce dimanche la signature d’éléments terroristes algériens. Des médias tunisiens ont d’ailleurs rapporté que parmi les terroristes figuraient des Algériens. Un témoin de l’attaque a affirmé à la chaîne TV TNN que le groupe terroriste comprend deux Algériens et deux Tunisiens. Un autre témoin cité par la chaîne radio Jawhara FM a indiqué avoir reconnu l’accent algérien.
Le ministère de l’Intérieur n’a pas encore confirmé l’identité des assaillants. Toutefois, au ledemain de l’attentat de mont Chaâmbi , il avait reconnu la participation d’éléments algériens dans cet ignoble acte terroriste.
Maghrebemergeant
Dimanche vers 01h00 du matin, une unité de la garde nationale s’est dirigée vers localité de Aouled Manaa à la suite des informations qui lui sont parvenues, indiquant que des individus ont bloqué la route et procédé à des opérations de vol, indique le ministère tunisien de l’Intérieur. «Dès l’arrivée de l’unité de la garde nationale, quatre terroristes ont ouvert le feu en direction des agents qui se trouvaient encore à l’intérieur de la voiture tuant les martyrs Abdelhamid Ghazouani et Fejri Boussaidi (adjudants), décédés sur place et blessant un officier et un autre agent de la garde nationale », précise le communiqué rendu public ce dimanche.
Selon la même source, l’arrivée des renforts a permis de découvrir que le même groupe terroriste avait arrêté auparavant une voiture dans laquelle se trouvait un officier de la protection civile, des citoyens et un agent des services pénitentiaires. Dès qu’ils ont pris connaissance de leur identité, les terroristes ont ouvert le feu en leur direction, tuant un gendarme et un citoyen et blessant les autres occupants de la voiture, ajoute le communiqué.
Signature d’éléments terroristes algériens
La Tunisie a connu depuis la révolution plusieurs actes terroristes attribués aux islamistes. 2013 a été l’année de la violence terroriste avec l’attentat perpétré contre une patrouille de l’armée qui s’est soldée par mort de 8 militaires à djebel Chaâmbi, l’assassinat des opposants politiques et l’attentat suicide de Sousse.
C’est la première fois qu’un groupe terroriste procède de la manière des faux-barrage. Un modus Operandi qui rappelle une triste séquence du cycle de violences qu’a connu l’Algérie dans les années 1990.
Des observateurs ont reconnu dans l’attaque de ce dimanche la signature d’éléments terroristes algériens. Des médias tunisiens ont d’ailleurs rapporté que parmi les terroristes figuraient des Algériens. Un témoin de l’attaque a affirmé à la chaîne TV TNN que le groupe terroriste comprend deux Algériens et deux Tunisiens. Un autre témoin cité par la chaîne radio Jawhara FM a indiqué avoir reconnu l’accent algérien.
Le ministère de l’Intérieur n’a pas encore confirmé l’identité des assaillants. Toutefois, au ledemain de l’attentat de mont Chaâmbi , il avait reconnu la participation d’éléments algériens dans cet ignoble acte terroriste.
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