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Plus de 10 millions d'assurés sociaux et d'ayants droit bénéficient d'une couverture sociale

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  • Plus de 10 millions d'assurés sociaux et d'ayants droit bénéficient d'une couverture sociale

    APS : jeudi, 20 février 2014 18:00


    Plus de 10 millions d'assurés sociaux et d'ayants droit bénéficient d'une couverture sociale Photo-APS

    ALGER - Plus de 10 millions d'assurés sociaux et d'ayants droit bénéficient actuellement d'une couverture sociale, a indiqué jeudi le ministre du travail et de la sécurité sociale, Mohamed Benmeradi.
    Dans une allocution au cours d'une rencontre avec les directeurs des agences et structures de la Caisse nationale d'assurances sociales (CNAS), le ministre a indiqué que les assurés sociaux bénéficient d'une couverture sociale dans le cadre de l'assurance sociale propre aux ouvriers salariés et au régime des non-salariés, "ce qui a permis de porter le taux de couverture à plus de 80% de l'ensemble de la population" a souligné le ministre.
    Le ministre a évoqué dans son intervention le programme de réformes arrêtées par le gouvernement en faveur de la modernisation du système de sécurité sociale, "réformes qui ont permis, a-t-il ajouté, d'améliorer les prestations, d'élargir le réseau de structures de proximité de la sécurité sociale et de promouvoir le système de paiement appelé communément tiers-payant", évaluant le nombre de structures disponibles à 1500 alors qu'il ne dépassait 859 structures", a-t-il fait observer.
    "Le processus de modernisation a entrainé également l'élargissement de l'utilisation de l'outil informatique, les réseaux de connexion interne, outre l'introduction en 2007 de la carte électronique ou de la carte chiffa en faveur de l'assuré", a-t-il encore rappelé.
    M. Benmeradi a évalué à 9 millions le nombre de personnes en possession de la carte chiffa, d'où l'augmentation à 30 millions du nombre global des assurés sociaux et des ayants droit.
    Le ministre a également rappelé toutes les mesures prises pour sauvegarder les équilibres financiers du système de sécurité sociale, garantir sa pérennité et préserver ses fondamentaux actuels, et ce, à travers la réforme des moyens de recouvrement des cotisations sociales et des mécanismes de financement, ainsi que l'introduction de nouveaux produits autres que les cotisations.
    Le ministre a mis par ailleurs l'accent sur l'importance de la caisse nationale de prévoyance de la retraite financée par le prélèvement d'un qota des revenus fiscaux pétroliers en guise de garantie pour la retraite des générations montantes, et sur la caisse nationale de sécurité sociale financée par les revenus de certains impôts et prélèvements.
    Evoquant le système de remboursement de médicaments, le ministre a souligné que tous les assurés sociaux en possession de la carte chiffa et les ayants droit bénéficiaient depuis 2011 du système du tiers-payant et recevaient leurs médicaments auprès de plus de 10.000 officines ayant conclu des conventions avec la sécurité sociale.
    Il a ajouté que l'opération d'actualisation de la nomenclature des médicaments à remplacer s'effectue régulièrement en vertu d'un arrêté ministériel conjoint, relevant que le nombre de produits remplacés est passé au cours de la période 2000-2013 de 897 à 1377 médicaments. "Les dépenses induites par l'opération de substitution des médicaments sont passées de 20 milliards DA en 2000 à 158 MDS en 2013.
    Avant de conclure M. Benmeradi a indiqué que la sécurité sociale contribuait au financement forfaitaire des établissements de santé publics, notamment en ce qui concerne la médecine gratuite dont le budget est défini par la Loi de finances et estimé pour l'année 2014 à 57,81 milliards DA.

  • #2
    Quoi 10 millions seulement sont couverts en Algérie ?

    1/4 seulement de la population !!!

    je ne comprends pas et dans le texte ils disent 80%

    wallah mfhemt walou !

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    • #3
      ...moi non plus !
      " C’est la rivière qui apporte dans son cours l’espoir aux chercheurs d’or…Elle n’attends jamais de ces derniers qu’ils en remettent dans le sien" (r.b)

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      • #4
        bonsoir

        je pense qu'il s'agit d'une erreur , la Cnas couvre bien 80 % des assurés sociaux et leurs ayant-droit ce qui représente 30 % de la population et non 10 , grâce à l'amélioration qu'elle a apporté à son offre de soins.
        du chaos naissent les étoiles - Charlie Chaplin

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        • #5
          Bonsoir Swan

          C'est peu je trouve !!! je pensais que l'Algérie avait calqué son système sur le sytème francais
          Dernière modification par Aloha, 20 février 2014, 19h44.

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          • #6
            peut -être que ceux qui habitent des endroit retirés n' ont pas connaissance du système.
            du chaos naissent les étoiles - Charlie Chaplin

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            • #7
              Cela veut tout simplement dire qu'il n'y a que 30% qui peuvent se soigner
              C'est une honte pour mon pays et moi qui cranais ici
              en disant qu'en Algérie tout le monde peut se soigner gratuitement
              et je pense que lorsque j'avais quitté le pays c'était le cas !

              la honte la plus totale je vais aller dormir !

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              • #8
                non plus que 30 %

                80 % de la population algérienne a une couverture sociale

                bon 20 % n'en a pas et ça fait beaucoup.
                du chaos naissent les étoiles - Charlie Chaplin

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                • #9
                  M. Benmeradi a évalué à 9 millions le nombre de personnes en possession de la carte chiffa, d'où l'augmentation à 30 millions du nombre global des assurés sociaux et des ayants droit.

                  On dirait que c'est écrit en chinois ou je ne sais quoi.
                  Vive le Polisario ! ....... Haba man haba, wa kariha man kariha

                  Commentaire


                  • #10
                    Cela veut tout simplement dire qu'il n'y a que 30% qui peuvent se soigner
                    C'est une honte pour mon pays et moi qui cranais ici
                    en disant qu'en Algérie tout le monde peut se soigner gratuitement
                    et je pense que lorsque j'avais quitté le pays c'était le cas !

                    la honte la plus totale je vais aller dormir !
                    En te réveillant, tu liras ceci et tu auras moins honte :
                    M. Benmeradi a évalué à 9 millions le nombre de personnes en possession de la carte chiffa, d'où l'augmentation à 30 millions du nombre global des assurés sociaux et des ayants droit.
                    Quoi 10 millions seulement sont couverts en Algérie ?
                    Pas couverts. Assurés. Leur ayant droits (descendants, veuves, ...) sont couverts de facto.

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                    • #11
                      quand bien même il y a que que 1% qui ne peut pas se soigner c'est suffisant pour répandre une épidémie ou d'être le foyer de maladie qui peut détruire un pays !

                      Je crois qu'ils pissent dans des violons !

                      20% c'est énorme je comprends pourquoi il y a des Harraga des personnes qui se suicident en se brulant devant tout le monde

                      Et je comprends même pourquoi certains veulent garder le pouvoir de ne rien faire pour le pays ...

                      C'est terrible !

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                      • #12
                        Pfffff !

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                        • #13
                          Il a le même effet sur moi...... en un mot, laguani.
                          Vive le Polisario ! ....... Haba man haba, wa kariha man kariha

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                          • #14
                            Dernière tentative

                            Algérie : plus de 85% de la population bénéficie de la couverture sociale



                            Plus de 85% de la population algérienne bénéficie, 50 ans après l’indépendance, d’une couverture de la sécurité sociale, soit plus de 31 millions sur les 37 millions d’habitants que compte le pays.
                            Selon le ministère du travail, de l’emploi et de la sécurité sociale, l’Algérie compte, en effet, plus de 9,47 millions d’assurés sociaux ainsi que leurs ayant droit (plus de 31 millions au total) qui sont couverts par la sécurité sociale.

                            Le chiffre global des assurés comprend 5 millions d’assurés salariés et actifs et 2,42 millions retraités, selon des indications du directeur général de la sécurité sociale au ministère, M. Djaouad Bourkaib.

                            Parmi le nombre global des retraités assurés sociaux (2,42 millions), la sécurité sociale a recensé 2,21 millions du régime salarié pris en charge par la Caisse nationale de retraite (CNR), et 217.000 du régime non salariés qui sont pris en charge par la Caisse nationale des assurés-sociaux non salariés (CASNOS).

                            « De grandes amélioration ont été enregistrées notamment la tendance à la généralisation de la protection sociale par son extension à de larges catégories de la population et la simplification des procédures pour l’ouverture des droits », indique un document du ministère.

                            Au lendemain de l’indépendance, et à l’instar de tous les secteurs d’activités, la sécurité sociale avait subi des dégâts considérables. Tous les organismes de sécurité sociale avaient fait l’objet d’attentats criminels commis par la colonisation avant son départ, lit-on dans le même document.

                            La carte chiffa

                            D’autre part, M. Bourkaib évoque la réorganisation du système algérien de sécurité sociale qui a été lancé depuis l’indépendance et conduit à l’adoption d’une série de mesures.

                            Ce système a été selon lui amélioré, adapté et complété, en passant d’un certains nombre « de régimes spéciaux » a un système de « régime unique » d’une façon progressive de 1962 à 1983.

                            En 1983, le système de la sécurité sociale a bénéficié d’un programme de refonte sur le plan réglementaire et organisationnel avec la promulgation d’importants textes notamment les lois sur l’assurance sociale, sur de la retraite, les maladies professionnelles, relève-t-il.

                            Le système, ajoute M. Bourkib, a par la suite bénéficié d’une grande politique de réforme depuis l’année 2000 par la mise en œuvre de multiples actions visant l’amélioration de la qualité des prestations, de grandes modernisation et la préservation des équilibres financiers qui représentent le garant de la pérennité du système.

                            Par ailleurs, afin de rapprocher les services de la sécurité sociale des assurés sociaux, un plan d’action visant le développement des structures de proximité a été mis en œuvre par l’ensemble des caisses.

                            Le nombre des infrastructures de toutes les Caisse relevant de la sécurité sociale est passé de 852 en 1999 à 1.431 infrastructures en 2011, soit 579 nouvelles infrastructures créées durant la dernière décennie.

                            Des cellules d’écoute et de communication permanentes ont été également créées au niveau de différentes Caisses de la sécurité sociale, pour assurer un accueil quotidien du citoyen, l’orienter et l’accompagner s’il exprime des préoccupations, indique-t-il.

                            Le système du tiers payant institué par la législation de sécurité sociale (éviter à l’assuré le paiement direct des frais de soins de santé) a été développé et généralisé aux produits pharmaceutiques, aux consultations et aux actes médicaux essentiels à travers le dispositif de conventionnement.

                            La carte Chiffa

                            Par ailleurs, une opération de conventionnement s’est intervenue avec des centres privés d’hémodialyse en appui aux prestations des services des structures publiques de santé, qui a grandement contribué au rapprochement de la dialyse des insuffisants rénaux qui doivent subir 3 séances de 3 à 4 heures par semaines.

                            Sur un autre plan, un document du ministère montre que les effectifs des organismes de sécurité sociale ont connu une évolution significative depuis l’indépendance, soulignant que leur nombre est passé de 2000 agents en 1963 à 27.791 agents en 2000 et à 34.864 agents en 2011.

                            De plus, un vaste plan de formation destiné au personnel a été mis en œuvre et a concerné ces dernières années près de 20.000 agents relevant des différents organismes de sécurité sociale, et a porté notamment sur l’utilisation des nouvelles technologies.

                            Depuis 2000, près de 1.450 structures de proximité relevant des différents organismes de sécurité sociale ont été réaménagées et modernisées. Quant au nombre de structures de sécurité sociale reliées par réseaux informatiques est passé de 300 en 2000 à plus de 815 en 2012.

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                            • #15
                              Avoir la carte d'assuré social est une chose. Se faire soigner et se faire rembourser est une autre chose.

                              Au pays des voleurs, ne pas se faire voler est une prouesse.

                              Un jour, ma mère est allée pour se faire rembourser quelques 1000 da sur plus de 6000 da de soins dentaires. Au guichet de la CNAS, on lui réclame un chèque pour , soit-disant, la rembourser par virement postal. Ma mère, dans sa grande naïveté, remet au guichetier son carnet de chèques CCP ( et oui, de force, on avait obligé les veuves à ouvrir des CCP pour y recevoir leur pension ) pour se servir. C'est une aubaine, pour le guichetier voleur. Il a piqué deux chèques.

                              Avec la photocopie de la carte d'identité incluse dans le dossier CNAS et une complicité au niveau de la poste CHIKHI de TIZI-OUZOU, le voleur avait encaissé, sur le compte de ma mère , une coquette somme de 200 000 da ( 2* 100 000 ).

                              Une somme à jamais perdue pour ma mère malgré toutes les démarches entreprises.

                              A la poste, on soutient, que c'est elle qui avait encaissé les deux chèques alors que ma mère ne s'est jamais déplacée à Tizi-ouzou pour retirer de l'argent. Elle a toujours utilisé les services postaux de notre commune.

                              P.

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