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En Algérie, ce samedi matin trois militaires et deux civils ont été tués à un faux barrage à Chabet el-Ameur par des islamistes du GSPC. Cela fait toujours aussi mal d'apprendre celà et Que Dieu les accueille dans son vaste Paradis. Mourir assassiné lâchement en plein ramadhan au nom de qui et de quoi?
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Trois militaires du contingent et deux civils ont été assassinés samedi matin par des islamistes armés à un faux barrage dressé dans la localité de Chabet el-Ameur, dans le département de Boumerdès (50km à l'est d'Alger), a-t-on appris de sources sécuritaires.
Ces militaires prenaient le bus pour se rendre dans leur cantonnement qui se trouve au lieu-dit Boudoukham quand les membres du groupe armé, une vingtaine selon les témoignages des autres voyageurs, ont ordonné au chauffeur de s'arrêter. Visiblement informé de la présence de ces militaires, pourtant habillés en civil, le chef du groupe armé est monté dans le bus, leur ordonnant de descendre.
Deux militaires ont obéi et ont été exécutés sur la chaussée, tandis que le troisième a tenté de faire usage de son arme avant d'être abattu dans le bus par le chef du groupe armé qui a également tué, au moment de sa riposte, un lycéen et un travailleur assis derrière le militaire.
Par ailleurs, toujours dans le département de Boumerdès, qui reste l'un des derniers bastions du Groupe salafiste pour la prédiction et le combat (GSPC), un émir, auteur de plusieurs rapts, et son bras droit ont été abattus jeudi par les forces de sécurité dans une embuscade dans la localité de Djerrah sur la commune d'Aumale.
Mercredi soir à Kadiria, dans le département de Bouira (110km à l'est d'Alger), des membres des forces de sécurité ont été la cible d'une bombe artisanale qui a explosé au passage de leur véhicule, blessant quatre militaires et quatre policiers.
Ces attentats visant particulièrement les forces de sécurité interviennent alors que le délai de grâce accordé aux islamistes armés pour se rendre,dans le cadre de "Charte pour la paix et la réconciliation nationale" a expiré le 30 septembre. La semaine dernière, le président algérien Abdelaziz Bouteflika, à qui revient la paternité de cette Charte, avait assuré que les terroristes qui refuseraient de se rendre seraient combattus et ne bénéficieraient plus des dispositions d'amnistie prévues.
Par AP
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Trois militaires du contingent et deux civils ont été assassinés samedi matin par des islamistes armés à un faux barrage dressé dans la localité de Chabet el-Ameur, dans le département de Boumerdès (50km à l'est d'Alger), a-t-on appris de sources sécuritaires.
Ces militaires prenaient le bus pour se rendre dans leur cantonnement qui se trouve au lieu-dit Boudoukham quand les membres du groupe armé, une vingtaine selon les témoignages des autres voyageurs, ont ordonné au chauffeur de s'arrêter. Visiblement informé de la présence de ces militaires, pourtant habillés en civil, le chef du groupe armé est monté dans le bus, leur ordonnant de descendre.
Deux militaires ont obéi et ont été exécutés sur la chaussée, tandis que le troisième a tenté de faire usage de son arme avant d'être abattu dans le bus par le chef du groupe armé qui a également tué, au moment de sa riposte, un lycéen et un travailleur assis derrière le militaire.
Par ailleurs, toujours dans le département de Boumerdès, qui reste l'un des derniers bastions du Groupe salafiste pour la prédiction et le combat (GSPC), un émir, auteur de plusieurs rapts, et son bras droit ont été abattus jeudi par les forces de sécurité dans une embuscade dans la localité de Djerrah sur la commune d'Aumale.
Mercredi soir à Kadiria, dans le département de Bouira (110km à l'est d'Alger), des membres des forces de sécurité ont été la cible d'une bombe artisanale qui a explosé au passage de leur véhicule, blessant quatre militaires et quatre policiers.
Ces attentats visant particulièrement les forces de sécurité interviennent alors que le délai de grâce accordé aux islamistes armés pour se rendre,dans le cadre de "Charte pour la paix et la réconciliation nationale" a expiré le 30 septembre. La semaine dernière, le président algérien Abdelaziz Bouteflika, à qui revient la paternité de cette Charte, avait assuré que les terroristes qui refuseraient de se rendre seraient combattus et ne bénéficieraient plus des dispositions d'amnistie prévues.
Par AP
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