Abdellah Djaballah, président du parti El Adala : « L’annonce de la candidature (de Bouteflika) a été faite par le Premier ministre. Ce qui constitue un précédent et une preuve tangible qui confirme qu’Abdelaziz Bouteflika est malade. Je me pose la question : comment prétendre gérer le pays lorsqu'on n’est pas en mesure d’enregistrer une déclaration de deux minutes à la télévision ? J’invite tous les candidats à se retirer de la course pour la présidentielle. C’est une élection qui doit être rejetée par tous les Algériens, partis politiques, société civile et médias. »
Djelloul Djoudi, responsable de la communication au PT : « Au sein du parti, nous sommes pour la liberté de candidatures. Nous l'avons déjà dit. Pour nous, l'essentiel est que toutes les conditions soient réunies pour des élections libres et transparentes et que le choix du peuple algérien soit respecté ».
Général Yala, candidat à la présidentielle : « Je ne suis pas étonné par le fait que Abdelaziz Bouteflika se représente le 17 avril pour briguer un nouveau mandat. J’ai eu la confirmation depuis quatre semaines. Mais je pense qu’il va finir pas se désister à la dernière minute au profit d’un candidat qu’il a lui-même choisi et il mettra à sa disposition toute la machine électorale. Le vrai problème tourne autour de l’avenir de ce pays. Comment va faire l’Algérie dans quelques mois, le jour ou elle ne pourra plus payer ses importations ? ».
Lotfi Boumghar, directeur de communication du candidat Ali Benflis : « Nous ne considérons pas les propos d’Abdelmalek Sellal comme étant une déclaration officielle de candidature. Parce qu’un tel acte ne peut se faire par procuration. C'est étonnant que cette annonce soit faite par le président de la Commission de préparation de l’élection présidentielle, qui est censé rester neutre dans le cas de ce scrutin. La position de Benflis sera connue après l’annonce officielle de la candidature par le président Bouteflika ».
Farouk Abousiradj, chargé des affaires politiques au MSP : « Quand nous avons décidé de boycotter l'élection présidentielle, notre diagnostic de la situation était précis. Nous avons dit que l'élection était fermée et ne représente aucunement un défi politique. Nous n'avons pas lié la décision du boycott à la candidature du Président. Sa décision de se représenter ne fait que renforcer la décision du boycott ».
Nouara Djaafar, cadre du RND : « Nous avons accueilli cette annonce avec beaucoup de satisfaction. Le secrétaire général du parti a renouvelé aujourd'hui l'appel du RND au président de la République pour se représenter afin de garantir la stabilité du pays ».
Mohamed Hadibi, chargé de communication du Mouvement Ennahda : « Concernant la forme, le président Bouteflika n'a pas annoncé personnellement sa candidature. C'est lui qui devait le faire et non le Premier ministre Sellal. Mais sur le fond, le président Bouteflika a annoncé sa candidature à vie le jour où il a violé la Constitution en 2008 (suppression de la limitation des mandats présidentiels). Et puis sa candidature ne change pas grand chose sur la scène (politique), c'est le système qui prend les décisions ».
Amar Saâdani, secrétaire général du FLN : « On n’est pas surpris par cette annonce. Au FLN, nous avons toujours dit que le Président est candidat à la présidentielle, c'est notre candidat et nous n'avons pas d'autres commentaires à faire »
Mohcine Belabès, président du RCD : « Il y a eu déjà des ministres et des chefs de partis qui ont annoncé la candidature de Bouteflika à la présidentielle. Tant que Bouteflika ne l’a pas annoncé lui-même, ce n’est pas une information. De toute façon, avec ou sans Bouteflika, nous boycottons ces élections parce qu’il y aura une fraude massive comme durant les précédentes élections. Le pouvoir refuse la mise en place d’une commission indépendante de contrôle des élections et les règles sont toujours les mêmes. »
Moussa Touati, président du Front national algérien : « Après cette annonce, on souhaite voir le président sur le terrain pour mener sa propre campagne électorale. Serait-il en mesure de le faire? La Constitution révisée par ce même président lui permet de briguer un quatrième mandat. Je n’ai pas l’intention de me retirer de cette course électorale »
Sofiane Sakhri, porte-parole de Jil Jadid : « Le candidat, Sofiane Djilali, annoncera son retrait vendredi prochain, lors d'une réunion du conseil national du parti. Notre position est claire. Nous sommes contre le quatrième mandat et on ne peut pas continuer la course si le président se présente. Car il est clair aussi qu'il va gagner grâce à la fraude électorale. On ne vit plus un processus électoral normal, l'Algérie est en train de vivre un coup d'État »
TAJ : « Tajamou amal Al Djazair félicite le peuple algérien à l'occasion de l'annonce de la candidature du président de la République (...) », indique le parti du ministre du Transport, Amar Ghoul. Dans son communiqué, TAJ renouvelle son appel aux Algériens et en particulier aux candidats, aux hommes politiques, la société civile et aux médias pour faire de la présidentielle 2014 "une fête démocratique".
Source: TSA
Djelloul Djoudi, responsable de la communication au PT : « Au sein du parti, nous sommes pour la liberté de candidatures. Nous l'avons déjà dit. Pour nous, l'essentiel est que toutes les conditions soient réunies pour des élections libres et transparentes et que le choix du peuple algérien soit respecté ».
Général Yala, candidat à la présidentielle : « Je ne suis pas étonné par le fait que Abdelaziz Bouteflika se représente le 17 avril pour briguer un nouveau mandat. J’ai eu la confirmation depuis quatre semaines. Mais je pense qu’il va finir pas se désister à la dernière minute au profit d’un candidat qu’il a lui-même choisi et il mettra à sa disposition toute la machine électorale. Le vrai problème tourne autour de l’avenir de ce pays. Comment va faire l’Algérie dans quelques mois, le jour ou elle ne pourra plus payer ses importations ? ».
Lotfi Boumghar, directeur de communication du candidat Ali Benflis : « Nous ne considérons pas les propos d’Abdelmalek Sellal comme étant une déclaration officielle de candidature. Parce qu’un tel acte ne peut se faire par procuration. C'est étonnant que cette annonce soit faite par le président de la Commission de préparation de l’élection présidentielle, qui est censé rester neutre dans le cas de ce scrutin. La position de Benflis sera connue après l’annonce officielle de la candidature par le président Bouteflika ».
Farouk Abousiradj, chargé des affaires politiques au MSP : « Quand nous avons décidé de boycotter l'élection présidentielle, notre diagnostic de la situation était précis. Nous avons dit que l'élection était fermée et ne représente aucunement un défi politique. Nous n'avons pas lié la décision du boycott à la candidature du Président. Sa décision de se représenter ne fait que renforcer la décision du boycott ».
Nouara Djaafar, cadre du RND : « Nous avons accueilli cette annonce avec beaucoup de satisfaction. Le secrétaire général du parti a renouvelé aujourd'hui l'appel du RND au président de la République pour se représenter afin de garantir la stabilité du pays ».
Mohamed Hadibi, chargé de communication du Mouvement Ennahda : « Concernant la forme, le président Bouteflika n'a pas annoncé personnellement sa candidature. C'est lui qui devait le faire et non le Premier ministre Sellal. Mais sur le fond, le président Bouteflika a annoncé sa candidature à vie le jour où il a violé la Constitution en 2008 (suppression de la limitation des mandats présidentiels). Et puis sa candidature ne change pas grand chose sur la scène (politique), c'est le système qui prend les décisions ».
Amar Saâdani, secrétaire général du FLN : « On n’est pas surpris par cette annonce. Au FLN, nous avons toujours dit que le Président est candidat à la présidentielle, c'est notre candidat et nous n'avons pas d'autres commentaires à faire »
Mohcine Belabès, président du RCD : « Il y a eu déjà des ministres et des chefs de partis qui ont annoncé la candidature de Bouteflika à la présidentielle. Tant que Bouteflika ne l’a pas annoncé lui-même, ce n’est pas une information. De toute façon, avec ou sans Bouteflika, nous boycottons ces élections parce qu’il y aura une fraude massive comme durant les précédentes élections. Le pouvoir refuse la mise en place d’une commission indépendante de contrôle des élections et les règles sont toujours les mêmes. »
Moussa Touati, président du Front national algérien : « Après cette annonce, on souhaite voir le président sur le terrain pour mener sa propre campagne électorale. Serait-il en mesure de le faire? La Constitution révisée par ce même président lui permet de briguer un quatrième mandat. Je n’ai pas l’intention de me retirer de cette course électorale »
Sofiane Sakhri, porte-parole de Jil Jadid : « Le candidat, Sofiane Djilali, annoncera son retrait vendredi prochain, lors d'une réunion du conseil national du parti. Notre position est claire. Nous sommes contre le quatrième mandat et on ne peut pas continuer la course si le président se présente. Car il est clair aussi qu'il va gagner grâce à la fraude électorale. On ne vit plus un processus électoral normal, l'Algérie est en train de vivre un coup d'État »
TAJ : « Tajamou amal Al Djazair félicite le peuple algérien à l'occasion de l'annonce de la candidature du président de la République (...) », indique le parti du ministre du Transport, Amar Ghoul. Dans son communiqué, TAJ renouvelle son appel aux Algériens et en particulier aux candidats, aux hommes politiques, la société civile et aux médias pour faire de la présidentielle 2014 "une fête démocratique".
Source: TSA
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