Plusieurs manifestants ont été arrêtés, ce dimanche 23 février, par la police près de la Grande poste à Alger où ils devaient tenir un rassemblement pour exiger notamment la levée effective de l’état d’urgence en Algérie et l’annulation de la loi sur les associations, a-t-on constaté sur place.
Ceux qui ont refusé de suivre les agents de l'ordre ont été violemment embarqués dans les fourgons de la police devant les conduire au commissariat. Deux photographes affirment avoir été empêchés, par la police, de filmer la scène. « Les policiers nous ont empêchés de prendre les photos des arrestations, mais sans user de violence. Ce n’était pas brutal », affirme Souhil. B., photographe à El Watan.
Un important dispositif policier a été mis en place en prévision de cette manifestation, organisée notamment par la Coordination nationale des familles des disparus, le bureau du centre du Comité national pour la défense des droits des chômeurs, le mouvement du 8 mai 1945, d’autres militants appartenant au mouvement islamiste Rachad et des sympathisants du numéro 2 de l'ex-Fis, Ali Benhadj.
TSA
Ceux qui ont refusé de suivre les agents de l'ordre ont été violemment embarqués dans les fourgons de la police devant les conduire au commissariat. Deux photographes affirment avoir été empêchés, par la police, de filmer la scène. « Les policiers nous ont empêchés de prendre les photos des arrestations, mais sans user de violence. Ce n’était pas brutal », affirme Souhil. B., photographe à El Watan.
Un important dispositif policier a été mis en place en prévision de cette manifestation, organisée notamment par la Coordination nationale des familles des disparus, le bureau du centre du Comité national pour la défense des droits des chômeurs, le mouvement du 8 mai 1945, d’autres militants appartenant au mouvement islamiste Rachad et des sympathisants du numéro 2 de l'ex-Fis, Ali Benhadj.
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