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Hamrouche: AUCUNE CHANCE d’instaurer un système démocratique sans l’AVAL de l’armée

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  • Hamrouche: AUCUNE CHANCE d’instaurer un système démocratique sans l’AVAL de l’armée

    Mouloud Hamrouche : « Il n’y a aucune chance d’instaurer un système démocratique sans l’aval et le soutien actif de l’armée »

    Mouloud Hamrouche n’est pas candidat à la présidentielle 2014. L’ancien chef de gouvernement réformateur (1989-1991) est convaincu que l’armée est incontournable dans l’instauration d’un système démocratique en Algérie. « Il n’y a aucune chance d’instaurer un système démocratique sans l’aval et le soutien actif de l’armée », clame Hamrouche qui a animé, ce jeudi 27 avril, sa première conférence de presse depuis l’élection présidentielle de 1999. « Quand on parle de l’armée, on parle d’un bloc et nous en avons souvent l’image d’une forteresse (…). En fin de parcours, cette forteresse est constituée d’hommes et de femmes, d’Algériens et d’Algériennes », ajoute-t-il.

    Et dans un contexte marqué par la crise au sein du système et les luttes de clans, Mouloud Hamrouche insiste sur le rôle que doit jouer l'institution militaire dans l’élaboration d’un consensus.

    « Nous avons besoin de consensus et l’institution (militaire) participe dans l’élaboration des mécanismes nécessaires (pour ce consensus, ndlr) (…). Seule l’institution de l’armée peut jouer un rôle après qu’on ait paralysé toutes les (autres) institutions », insiste-t-il.


    « Je ne demande pas un coup d’État »

    M. Hamrouche pense que l’intervention de l’armée peut être bénéfique pour le pays.

    « Nous avons plusieurs exemples où l’intervention de l’armée a permis en fin de compte à mettre en place un système démocratique plus au moins réussi même si cela demande beaucoup de temps en effet. »

    Pour lui, l’armée algérienne a une grande responsabilité aussi dans cette quête vers le changement. Mais l’ancien militaire reconverti en politique et qui ne cache pas son affection pour l’Armée, tient à éviter les malentendus et les fausses interprétations. « Je ne demande pas un coup d’État ou que l’armée empêche le président (Bouteflika) de se représenter mais je l’appelle à sauver le pays de l’impasse », lance-t-il.

    L’ancien chef de gouvernement pense également que cette institution n’a pas à s’immiscer dans les conflits politiques. « J’appelle à la discipline et à l’application des ordres quelle que soit la situation ». « Je n’appelle pas l’armée à la désobéissance ou à la dissension », insiste-t-il.

    « J’ai pris des risques »

    Dans sa déclaration lue devant la presse, M. Hamrouche a annoncé qu’il n’est pas candidat à la présidentielle. Il s’en est même excusé auprès de tous ceux qui ont interprété sa première lettre du 17 février comme étant une déclaration de candidature.
    Quel était alors l’objet de cette déclaration ?
    Et quel sens devrions-nous lui donner à quelques semaines de la présidentielle ?

    Mais surtout pourquoi a-t-il décidé de rompre le silence après tant d’années loin de la vie publique. L’ancien chef du gouvernement se défend : « non, je ne me suis pas tu pendant quinze ans comme certains voudraient le laisser croire à travers la presse. je parle, chaque jour dans le contexte et les cercles qui me sont offerts ». Il reconnait avoir pris « des risques » dans ses dernières déclarations, en évoquant « les groupes, les minorités et les équilibres régionaux », mais ce sont là, précise-t-il, « des réalités et des spécificités du système politique en Algérie ».

    « Le régime doit changer »

    M. Hamrouche, convaincu aujourd’hui que « le régime doit changer », plaide en ce sens pour un changement « dans le calme ». « Je ne veux pas un changement avec les méthodes violentes, mais je plaide pour un changement organisé et calme» sans pour autant définir les mécanismes de ce changement.

    Ce qui est sûr par contre, c’est que Hamrouche ne souhaite jouer aucun rôle dans ce processus à qui il tient tant. « Je refuse de jouer le rôle de médiateur », souligne-t-il. La médiation suppose, selon lui, qu’il y a un problème entre deux parties.

    « Le problème réside dans le régime dans sa globalité », analyse Hamrouche, en ajoutant que le problème ne remonte pas à cinq ans ni même à quinze ans.

    « Le problème a toujours existé », a-t-il avoué, en affirmant que le moment est venu pour en finir avec ce régime, en urgence.

    « Des problèmes existent à l’intérieur du système lui-même », prévient-il.

    Une raison suffisante, selon lui pour appeler à la mobilisation. Une mobilisation qui reste toutefois liée à une action de l’institution militaire. Dans cette crise du système politique en Algérie, Hamrouche reconnait sa part de responsabilité : « tous les Algériens sont responsables, y compris moi de par des postes de responsabilités que j’ai eu à occuper dans le passé »

    Mais maintenant, Hamrouche pense qu’il faudrait passer aux solutions. Et la solution il l’a répétée : elle consiste en l’intervention de l’armée.

    L’ancien chef de gouvernement affirme n’attendre rien de la prochaine élection. « L’élection n’a jamais abouti au changement », affirme-t-il.

    Contre le quatrième mandat

    M. Hamrouche a refusé de s’étaler sur le bilan de Bouteflika, mais il a par contre affiché à travers ses réponses son refus d’accepter le projet du quatrième mandat.

    Il dit ne pas détenir « d’éléments suffisants pour comprendre les raisons qui ont mené le système à opter pour ce choix ». Il lancera un énième appel pour faire sortir le pays et le sauver de la situation du blocage. Il met en garde contre les retombées et les conséquences d’une volonté de maintenir le même régime contre vents et marées citant les exemples des pays qui ont vécu le printemps arabe.

    Mouloud Hamrouche s’interroge sur que va faire Bouteflika après le 17 avril et pourquoi le ferait-il ? Il s’interroge aussi sur la capacité de Bouteflika à continuer à gouverner l’Algérie.

    TSA

  • #2
    Qui dit l’armée dit le DRS et à sa tête Toufik (Rab Dzair) qui contrôle tout.
    Dernière modification par shadok, 28 février 2014, 09h33.
    Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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    • #3
      l'armée entant que organisation n'existe pas dans notre système arabo-algeriano-musulman.
      l'armée est le fait d'un bloc politique qui veut rafler toute la terre.
      il va en phagocytant les autres armées.

      dans le systeme arabo muslman chaque arabe est propriétaire et chaque propriétaire est un militaire. nous n'avons pas besoin de casernes. lorsque le juge léve l'application et l'execussion d'un droit, tous le monde prend son arme et sort pour l'executer.
      les armes ne seront rentrées que lorsque le droit a été appliqué. s'lil s'agit d'un vol suivi d'une fuite , il y aura une traque generale de l'Est jusqu'a louest si le voleur sera refugié au Maroc, il sera demandé au marocain de livrer sinon on continue dans le sol marocain..on le traque et si un marocain s'y oppose on l'executes car il protége un voleur...
      nous sommes pas dans cette situation mais elle peut s'ouvrir a tout moment. Dieu suit la situation et a tout moment il y aura intervention.
      le Maroc et les pays limitrophe de l'algerie doivent se positionner clairement au sujet de leurs monotheismes respectives. soit il se déclare monotheiste et il applique la chari3a, soit il ne le font pas et nous serons dans l'oblication de les envahir pour son application..
      On va s'occuper le jour venu par le flan Est tunisie et lybie tchad et niger et maritanie ensuite on reserve le grand jour au Maroc..
      N'importe quel algerien est tenu d'appliquer ce Protocole question de temps seulement

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      • #4
        priez Que dieu protege ce pays de tous ces mafieux qui n arrete pas de succer le sang des algeriens
        on ne peux pas en etre partisan sans en etre artisan

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        • #5
          bello

          Citation : l'armée entant que organisation n'existe pas dans notre système arabo-algeriano-musulman.

          ya si mohamed Les ALGERIENS sont des berbero-algeriano-musulman, LE SYSTEME MOARAB ET NON ARABE
          on ne peux pas en etre partisan sans en etre artisan

          Commentaire


          • #6
            nous sommes pas dans cette situation mais elle peut s'ouvrir a tout moment. Dieu suit la situation et a tout moment il y aura intervention.
            le Maroc et les pays limitrophe de l'algerie doivent se positionner clairement au sujet de leurs monotheismes respectives. soit il se déclare monotheiste et il applique la chari3a, soit il ne le font pas et nous serons dans l'oblication de les envahir pour son application..
            On va s'occuper le jour venu par le flan Est tunisie et lybie tchad et niger et maritanie ensuite on reserve le grand jour au Maroc..
            N'importe quel algerien est tenu d'appliquer ce Protocole question de temps seulement
            Enfin de compte vive Boutflika et vive un 4 ième mandat.
            شبابنا ساهي متزنك في المقاهي مبنك

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            • #7
              frigoriste

              désolé pour toi frigoriste tu es arrivé trop en retards mon petit.

              nos parents ont fait leurs choix d'être arabe.
              le sujet est clos depuis l'an 630...
              on va te demander un jour de choisir soit musulman tu prends ton arme et t'aura le titre de prorété de 10 hectares de ton algerie
              soit de refusé et aussi ta part entant qu'algérien mais sans armes tu payeras la jizya..et en moment de notre coquette on te laissera pas derrière nous, on ne sait ce que tu pourra faire en notre dos. On t'embarque comme serveur de troupes. au moindre faut pas on t'exécutes..

              l'islame va devenir trops sérieux. l y a la guerre le combat pas comme cet islame de 3abaya et de fausses priérés n'importe qui est devenu un musulman parlant au nom des musulmans.chacun est libre de faire son choix mais pour ne fois le choix est assumé..

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              • #8

                Quel troll celui là !!!

                Il vient juste de s’inscrire sur notre site,

                et il troll toutes les discussions !

                Dernière modification par absent, 28 février 2014, 15h13.

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                • #9
                  Hamrouche n'a pas compris que les temps ont changé, l'ANP n'est plus que l'ombre d'elle même. On n'est plus au temps des Nezzar, Zeroual et Lamari où le haut commandement de l'ANP prenait ses responsabilités. Aujourd'hui c'est la mentalité ekhti rassi et koul wahed 3oumbahrou. Les patriotes sont marginalisés, si ce n'est pire comme celà a été le cas avec le general Ait Ourabi dit Hassan et le general Khemane. Le vice-mdn et CEM représente d'une façon honteuse l'institution militaire, un officier d'un autre temps complêtement anachronique et dépassé par les évènements si ce n'est par l'Histoire. Il n'est qu'un pantin au service du clan néo-oujda. Le CEM vice-mdn a toujours été connu pour sa mauvaise hygienne de vie, dont le corps rentre difficillement dans un battle dress. j'ai honte quand je le voie en compagnie d'officier étranger. Du fait de ses faibles capacités il ne put bénéficier de formation dans une grande école de guerre comme Frounzé à Moscou et l'école de guerre à Paris, mais seulement d'une école d'apllication secondaire d'artillerie. Pour des raisons bassement régionaliste, il trouva une oreille attentive en la personne du défunt président Chadli qui lui a fait bénéficier du grade de general en 1990 en le nommant à la tête de la 3°RM, puis de la 2°RM. Grace à l'influence de Betchine pendant les années 90s, il est propulsé à la fonction de CFT mais sans poids autre que celui de son estomac, dont l'activité principal consistait à la visite du messe des officiers, surtout quands au menu il y avait du méchoui, et quand ce n'était pas le cas il l'exigeait. Dans ses rêves les plus fou il n'aurait jamais cru pouvoir un jour devenir CEM, mais l'appétit vient en mangeant, fakhamatouhou lui offrira sur un plateaux la fonction de CEM suite à la démission de Lamari. Sa participation aux réunion de haut niveau avec des generaux de l'OTAN tourna court, tellement il faisait tache, il avait plus de 10 ans plus de que le plus agé des généraux de l'OTAN, et avait du mal à mener une discussion avec ses homologues tous bardés de diplome. De ce fait il fut contrain de déléguer pour les réunions suivantes le chef du département emploi-préparation de l'état major en la personne des généraux Amrani et Zerad. Le syndrome de la gérontocratie qui frappe les plus importantes institutions du pays n'a pas épargné l'institution militaire.

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                  • #10
                    c'est injuste de situer le problème de l'armée algerienne en la personne de gaid salah. En general tous les principaux chefs cette institution sont des khobzistes. tout le monde s'accorde que les plus corrompus, ou ceux qui sont a l'origine du malheur de ce peuple sont ceux de la SM, DRS surtout depuis l'époque Chadli.
                    Les nezzar, lamarl...sont des enfants de coeur devant les toufik, laarbi belkhir ou le cancer de l'algerie comme certains l'appelaient, ainsi que leur amis actuels, les tartag, hassen ans co.

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                    • #11
                      je sais pas si T au courrant mais Belkhir et Lamari sont trois pieds sous terre, et je ne croie pas qu'ils aient la capacité de ressucité. Donc Gaid salah a une responsailité totale et entière, s'il avait encore un peu de respect pour l'uniforme qu'il porte il aurait du prendre sa retraite il ya plus de dix ans. Mais il se croie indispensable.

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                      • #12
                        La démocratie

                        mes chers amis...

                        Il faut arrêter de penser que l'armée ou un homme quel qu'il soit vienne instaurer la démocratie .

                        la démocratie d'abord ça doit être une revendication permanente de toute la société et principalement de ceux qui y croit , qui croient fermement que c'est le seul système de gestion de la société qui est apte a nous faire avancer vers le progrès ect...


                        La démocratie ne s’octroie pas ...elle s'arrache par le combat si possible pacifique et intelligent conte toutes les parties ou forces qui l'entrave son instauration ou son développement dans le pays. et ce ne peut être que l'oeuvre de tous ceux qui la veulent.

                        quel est la situation présente de la démocratie en algerie? ben la démocratie FORMELLE est là puisque nous avons une constitution démocratique perfectible bien sure . la démocratie formellement est là à traVers la présente constitution qui n'est pas parfaite sur nombre de points et qu'il faudra revisiter pour la debarrasser de tous les pièges qu'elle tend à la démocratie de l'interieur ... il y en a.

                        La démocratie formelle est là mais pas la réelle.... elle n'est pas encore pleinement inscrite dans notre quotidien et dans le quotidien de nos institutions.quine sont pas democratiques ...parce que la démocratie à ses ennemis mais aussi et surtoiut parce que la démocratie ce n'est pas uniquement un texte (la constitution ) avec une suite d'articles juridique.

                        La democratie est d'abord UNE CULTURE.

                        et cette culture démocratique nous ne l'avons pas. il faut la construire dans la société Algérienne. et une culture ça se construit sur des générations , chacune y apportant sa contribution et le lieu de ce travail de construction c'est d'abord l’école publique et la famille.
                        la democratie française s'sqt construite patiemment depuis la révolution de 1789. cela n'est ps tombé du ciel ni arrvée dans la main d'un homme providentiel.

                        la democratie s'apprend etil faut forcer ceux qui ont le pouvoir de decision à l'apprendre. les forcer par le combat pacifiqque et patient.




                        Dernière modification par khoya, 28 février 2014, 23h42.

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                        • #13
                          Il faut arrêter de penser que l'armée ou un homme quel qu'il soit vienne instaurer la démocratie
                          on ne demande pas à l'armée d'instaurer la démocratie, ce n'est pas sa mission.
                          Mais on exige d'elle et surtout de son chef actuel Gaid Salah de ne pas la faire intervenir dans le jeux clanique au bénéfice du clan néo-oujda car ceci menace sa cohésion, c'est irresponsable de sa part. Guenaizia a fait preuve de courrage et de responsabilité en refusant de jouer à ce jeux dangereux qui menace la stabilité du pays.

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                          • #14
                            l'ANP n'est plus que l'ombre d'elle même.
                            Faut croire que non. Boumedienne n'avait pas commis son putsch parce que c'était les militaires qui gouvernaient, mais il l'a fait pour sauver le pays, selon sa conception des choses. Y aura toujours des militaires qui ne seront pas d'accord avec ce ridicule 4e mandat et cette vente aux enchères de l'Algérie. Dans le cas contraire, le mal sera plus profond que ce qu'on peut imaginer.

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                            • #15
                              Bonjour!

                              on ne demande pas à l'armée d'instaurer la démocratie, ce n'est pas sa mission.
                              Mais on exige d'elle et surtout de son chef actuel Gaid Salah de ne pas la faire intervenir dans le jeux clanique au bénéfice du clan néo-oujda car ceci menace sa cohésion, c'est irresponsable de sa part. Guenaizia a fait preuve de courrage et de responsabilité en refusant de jouer à ce jeux dangereux qui menace la stabilité du pays.
                              oui sans doute que ce n'est pas sa mission constitutionnelle.(art. 25 de la constitution) mais il y a le formel et la réalité.
                              "la muette" n'a pas été si muette que ça jusqu'à ce jour. elle ne parle pas mais elle a toujours agi ....et cela n'est pas un secret .. dans quel sens ..chacun à son idée et son appréciation mais l'essentiel est que les choix fondamentaux pour la nation retournent au peuple dans sa diversité et que la souverainté populaire ne soit plus un décor dans la constitution.

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