Selon une étude publiée ce jeudi et rapportée par le journal 20 Minutes, les Algériens figurent dans le quatuor de tête, avec 5,3% des biens acquis par des étrangers non-résidents à Paris et sa région (Ile-de-France), à égalité avec les ressortissants britanniques. Ils sont classés derrière les Italiens (19,7 % des acheteurs étrangers), les Chinois (7,1 %) et les Américains (7 %).
L’étude ne fournit aucune indication sur la provenance des fonds. Officiellement, la loi algérienne sur la monnaie et le crédit est claire : il est interdit de transférer de l’argent à l’étranger pour des investissements ou des acquisitions immobilières. Cette loi empêche des entreprises algériennes d’investir légalement à l’étranger. Mais elle ne semble pas efficace quand il s’agit d’acquisitions immobilières dans l’une des capitales les plus chères du monde.
TSA
L’étude ne fournit aucune indication sur la provenance des fonds. Officiellement, la loi algérienne sur la monnaie et le crédit est claire : il est interdit de transférer de l’argent à l’étranger pour des investissements ou des acquisitions immobilières. Cette loi empêche des entreprises algériennes d’investir légalement à l’étranger. Mais elle ne semble pas efficace quand il s’agit d’acquisitions immobilières dans l’une des capitales les plus chères du monde.
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