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La Banque mondiale a annoncé, le 28 février, l’octroi d’un prêt de 1,2 milliard de dollars en faveur de la Tunisie pour aider le pays à mener à bien sa transition démocratique. Il s'agit du montant le plus important servi à ce pays depuis la révolte populaire qui a abouti à la chute du régime du président Ben Ali en janvier 2011.
Selon un communiqué publié par la Banque mondiale, le prêt comprend une tranche de 750 millions de dollars, destinée à favoriser la relance de l’économie tunisienne et la création d’emplois. 300 millions de dollars sont par ailleurs destinés à appuyer la politique de décentralisation prévue par la nouvelle Constitution tunisienne.
La vice-présidente de la Banque mondiale pour la région Moyen-Orient et Afrique du Nord, Inger Anderson, avait réaffirmé le 27 février, à l’issue d’une audience avec le président de l'Assemblée nationale constituante tunisienne, Mustapha Ben Jaâfar, l'engagement de son institution à soutenir les efforts de relance de l’économie tunisienne. Mme Anderson a, cependant, appelé à cette occasion les autorités tunisiennes à lancer des réformes structurelles touchant notamment le secteur bancaire et la politique des subventions aux produits énergétiques.
Les institutions financières internationales avaient quasiment fermé le robinet des financements à la Tunisie en 2013, année marquée par une grave crise politique et des troubles sécuritaires dans le berceau du printemps arabe.L’adoption d’une nouvelle Constitution et la formation fin janvier d’un gouvernement de technocrates à l’issue d’un dialogue entre le pouvoir et l’opposition a, cependant, remis le pays dans les bonnes grâces des bailleurs de fonds internationaux. Le Fonds monétaire international (FMI) avait ainsi débloqué le 29 janvier dernier, soit le jour même de l'entrée en fonction d’un nouveau gouvernement apolitique, un prêt 506 millions de dollars en faveur de la Tunisie
Ecofin
Selon un communiqué publié par la Banque mondiale, le prêt comprend une tranche de 750 millions de dollars, destinée à favoriser la relance de l’économie tunisienne et la création d’emplois. 300 millions de dollars sont par ailleurs destinés à appuyer la politique de décentralisation prévue par la nouvelle Constitution tunisienne.
La vice-présidente de la Banque mondiale pour la région Moyen-Orient et Afrique du Nord, Inger Anderson, avait réaffirmé le 27 février, à l’issue d’une audience avec le président de l'Assemblée nationale constituante tunisienne, Mustapha Ben Jaâfar, l'engagement de son institution à soutenir les efforts de relance de l’économie tunisienne. Mme Anderson a, cependant, appelé à cette occasion les autorités tunisiennes à lancer des réformes structurelles touchant notamment le secteur bancaire et la politique des subventions aux produits énergétiques.
Les institutions financières internationales avaient quasiment fermé le robinet des financements à la Tunisie en 2013, année marquée par une grave crise politique et des troubles sécuritaires dans le berceau du printemps arabe.L’adoption d’une nouvelle Constitution et la formation fin janvier d’un gouvernement de technocrates à l’issue d’un dialogue entre le pouvoir et l’opposition a, cependant, remis le pays dans les bonnes grâces des bailleurs de fonds internationaux. Le Fonds monétaire international (FMI) avait ainsi débloqué le 29 janvier dernier, soit le jour même de l'entrée en fonction d’un nouveau gouvernement apolitique, un prêt 506 millions de dollars en faveur de la Tunisie
Ecofin
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