Le ministre français des Affaires étrangères Laurent Fabius a reconnu, dimanche, qu'"il y a eu des dysfonctionnements dans la façon dont les choses ont été ordonnancées" concernant la plainte déposée par une association française contre le Directeur général de la surveillance du territoire (DGST) pour une accusation de "complicité de torture" au Maroc.
"Il y a eu des dysfonctionnements dans la façon dont les choses ont été ordonnancées. Il aurait fallu prévenir les intéressés. Les choses auraient dû se faire de manière plus diplomatique", a relevé le chef de la diplomatie française qui était l'invité de l'émission "Le Grand Rendez-vous", diffusée sur Europe1/I-télé/Le Monde.
"J'espère que tout ça va s'apaiser. Nous y travaillons", a-t-il indiqué, soulignant que "la France et le Maroc sont des amis et le resteront".
Evoquant les propos attribués à l'ambassadeur de France à l'ONU, M. Fabius a indiqué qu'ils sont "sans objet" et qu'ils sont contestés par le diplomate lui-même qui a des témoins.
"Nous devons trouver des solutions pour éviter ce genre d'incidents, nous y travaillons avec mon collègue marocain", a-t-il dit.
media24
"Il y a eu des dysfonctionnements dans la façon dont les choses ont été ordonnancées. Il aurait fallu prévenir les intéressés. Les choses auraient dû se faire de manière plus diplomatique", a relevé le chef de la diplomatie française qui était l'invité de l'émission "Le Grand Rendez-vous", diffusée sur Europe1/I-télé/Le Monde.
"J'espère que tout ça va s'apaiser. Nous y travaillons", a-t-il indiqué, soulignant que "la France et le Maroc sont des amis et le resteront".
Evoquant les propos attribués à l'ambassadeur de France à l'ONU, M. Fabius a indiqué qu'ils sont "sans objet" et qu'ils sont contestés par le diplomate lui-même qui a des témoins.
"Nous devons trouver des solutions pour éviter ce genre d'incidents, nous y travaillons avec mon collègue marocain", a-t-il dit.
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