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MAROC-GABON ;LANCEMENT DE 4 UNITES DE FABRICATION D'AMMONIAC et D'ENGRAIS DANS LES DEUX PAYS

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  • MAROC-GABON ;LANCEMENT DE 4 UNITES DE FABRICATION D'AMMONIAC et D'ENGRAIS DANS LES DEUX PAYS

    Ce partenariat de portée stratégique a pour vocation de renforcer durablement la sécurité alimentaire du continent. Il traduit la forte volonté politique des deux Chefs d'État et s'inscrit dans le cadre de la coopération Sud-Sud, solidaire et agissante. Ce projet, constituant une véritable première à plusieurs niveaux, a pour vocation de permettre l'expression d'un authentique leadership africain dans le domaine de la valorisation agricole, sur un continent où près de 80% de terres arables ne sont pas exploitées. Il vise à produire des engrais à forte teneur en phosphate et en ammoniaque adaptés ainsi aux spécificités des différents écosystèmes que compte le sol africain, représentatif des écosystèmes existant sur d'autres continents, et valoriser dès aujourd'hui le potentiel agricole au profit du développement humain durable.
    La capacité totale de production sera de l'ordre de 2 millions de tonnes d'engrais par an dès 2018, qui seront acheminés en priorité vers les pays d'Afrique. La forte demande en engrais, adaptés et accessibles, fait que le potentiel d'exploitation pourrait être de 8 millions de tonnes par an et permettra dans le futur de réaliser plusieurs unités industrielles intégrées de ce type dans la sous-région, voire également dans l'Est africain.

    À cette occasion, Mostapha Terrab, président-directeur général du Groupe OCP, a présenté, sur écran, un exposé sur ce partenariat fondé sur le principe d'une intégration aux ressources naturelles des deux pays (phosphate et gaz).
    Cette initiative consiste à créer des unités de production d'engrais. Au Gabon : 1 unité de production d'ammoniaque (à partir du gaz gabonais), la première unité de ce type dans la région et qui alimentera en priorité les marchés limitrophes et 1 unité de production d'engrais. Au Maroc : 2 unités de production d'acide phosphorique à partir du phosphate marocain dont la source a déjà été identifiée, à savoir le bassin d'Oulad Abdoune dans la région de Khouribga, et 1 unité de production d'engrais.

    L'initiative contribuera à la création de plus 5 000 emplois directs et indirects au Gabon et au Maroc et sera accompagnée dès le départ par une approche volontariste d'anticipation des besoins en formation professionnelle des personnes impliquées.

    De même, des échanges en matière de formation académique accompagneront ce partenariat et ancreront des partages de technologie, de savoir-faire et de R&D entre les deux pays, notamment via l'Université Mohammed VI Polytechnique et son École de management industriel.
    Un dispositif d'accompagnement socio-économique viendra en appui au projet, à travers la dynamisation d'un tissu de PME/PMI et la création d'un écosystème de sous-traitance autour du projet, à l'instar de la plateforme de Jorf Phosphate Hub.

    Dès sa conception, le projet intégrera fortement la logique environnementale (énergies renouvelables, normes environnementales de dernière génération...). Pour engager ce partenariat, le Protocole d'accord, d'une durée de 9 mois, signé entre les parties marocaine et gabonaise, permettra le lancement par les deux parties des études nécessaires au démarrage de la réalisation du projet.
    L'accord de partenariat a été signé pour la partie marocaine par Moulay Hafid Elalamy, ministre de l'Industrie, du commerce, de l'investissement et de l'économie numérique, Abdelkader Amara, ministre de l'Energie, des mines, de l'eau et de l'environnement, et Mostafa Terrab, président-directeur général de l'OCP, et du côté gabonais par Régis Immongault Tatagani, ministre des Mines, de l'industrie et du tourisme, Etienne Dieudonné Ngoubou, ministre du Pétrole et des hydrocarbures, et Fabrice Nze-Bekale, directeur général de la Société équatoriale des mines
    - le matin

  • #2
    Objectivement,on peut dire que le roi propose à l’Afrique des choses très concrètes: Des cimenteries dans plusieurs pays, des milliers de logements sociaux, des financements de budgets, une usine d'engrais...je trouve que le Maroc aide les pays africains avec tout les moyens dont il dispose...et c'est très bien.

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    • #3
      et le maroc gagne quoi?

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      • #4
        et le maroc gagne quoi?
        Liv
        Le Maroc va apporter son phosphate et le Gabon va fournir le gaz naturel pour produire l'ammoniac et les engrais qui seront commercialisés dans les pays africains et les revenus partagés entre le Maroc et le Gabon..

        C'est ce qu'on appelle un partenariat gagnant - gagnant .

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        • #5
          Le Maroc et le Gabon ont signé jeudi, à Libreville, un accord portant sur la fabrication d’engrais agricoles afin d’accroitre la sécurité alimentaire en Afrique.

          Selon cet accord, une usine de fabrication d’ammoniaque sera construite au Gabon et une usine de phosphate au Maroc. L’ammoniaque et le phosphate sont les deux matières premières servant à la fabrication d’engrais agricoles.

          Ni le coût, ni les sources de financement de ce projet n’ont été communiqués à la presse.

          Selon une source gabonaise proche du dossier, la production d’engrais agricole issue de ces deux usines débuteront dans cinq ans.

          Ces engrais agricoles seront vendus en Afrique centrale et de l’ouest à des coûts raisonnables, a indiqué la source.

          Les autres accords seront signés vendredi lors du forum économique entre les deux pays.

          blablabla......................................... ...................

          StarAfrika
          "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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          • #6
            FinancieAfrika 21 August, 2013


            Olam va investir 750 milliards de F CFA dans une usine d’engrais au Gabon


            Le Groupe Olam ( SINGAPOUR ) envisage de construire une méga-usine d’engrais d’Olam à l’île Mandji (Sud-Ouest) laquelle sera alimentée par le gaz produit dans cette ville. Le retard dans sa construction serait dû, en partie, à la lenteur des négociations avec les fournisseurs de gaz dont Perenco et Total Gabon.

            Les travaux de construction de la future usine de production d’engrais de l’île Mandji, à dix kilomètres de Port-Gentil commenceront fin 2013 ou début 2014. Le groupe singapourien Olam, maître d’œuvre de ce projet à 2 milliards de dollars, peine en effet à signer un accord définitif avec Technip, sélectionné en octobre 2012 pour concevoir et construire l’ouvrage. Technip a réalisé l’an dernier l’étude de Front-end engineering and design (FEED) de l’usine, dont la production serait de 2 200 tonnes d’ammoniaque par jour et de 3 850 tonnes d’urée. En attendant de signer un accord définitif avec le groupe français, Olam a attribué au néerlandais Boskalis un contrat de dragage des rivages de Mandji, afin de préparer la construction d’un quai de près de 250 mètres de long. Celui-ci permettra d’accueillir les cargos pour exporter la production. Les diverses études sont terminées ainsi que le défrichage du terrain et le montant des investissements opérés à ce jour s’élève à près de 17 milliards de F CFA sur un investissement total estimé à 750 milliards de F CFA.
            Si l’usine d’engrais sera implantée à Port-Gentil, Olam Gabon a besoin de plantations pour sa matière première à Mouila, dans le département de la Ngounié. Après les populations du Nord du Gabon qui contestaient les projets de la multinationale singapourienne Olam, ce sont celles du sud du Gabon, dans la province de la Ngounié, qui protestent également contre le projet Olam.
            Le complexe de production d’urée (engrais), dénommé Gabon Fertilizer Company (GFC), qui fait également l’objet d’un accord avec la République gabonaise, doit être financé sur fonds propres par le Groupe Olam associé au groupe indien Tata Chemicals et à l’Etat gabonais, et par des financements externes internationaux. Dans sa phase de production, ce projet créera 350 emplois, selon Gupta Gagan, Directeur général d’Olam Gabon. Le Groupe Olam avait établi en 2010 avec le Gouvernement Gabonais un partenariat gagnant-gagnant basé sur des accords de développement de plusieurs projets comprenant, des Zones Economiques Spéciales, des plantations de palmier à huile et d’hévéa et une usine d’engrais. Le Gabon qui envisage la revitalisation de son agriculture, a placé ses espoirs sur le Groupe Olam pour mettre en « musique » la politique du président Ali Bongo Ondimba en matière d’industrialisation de la filière agricole. Car depuis plus de deux décennies, l’essentiel des besoins alimentaires du Gabon sont importés. Les populations gabonaises concernées par un emploi fondent de sérieux espoirs pour l’amélioration de leurs conditions de vie, notamment ceux résidant aux abords des zones où Olam Gabon est établie.
            Pour faire avancer son projet de Gabon Fertilizer Company, Olam Gabon a signé un premier investissement de 1,5 milliard de dollars dans la Zone franche de l’île Mandji en 2010 avec le groupe indien Tata Chemicals pour la construction d’une usine d’engrais. Mais le projet a pris du retard. En mars 2013, les administrateurs de la Société financière internationale (SFI), la filiale de la Banque mondiale spécialisée dans les prêts au secteur privé, auraient pu voter un projet de prêt pour la future usine d’engrais gabonaise d’une valeur oscillant entre 150 et 200 millions de dollars américains. Au vu des retards accumulés par le projet, le vote a été repoussé.
            Fin avril 2013, le ministère gabonais de l’Economie annonçait à Libreville, que le groupe singapourien Olam International avait décidé de ramener à moins de 50% sa participation dans l’usine de production d’urée Gabon fertilizer company (GFC) détenue à hauteur de 62,9% par Olam, 25,1% par l’indien Tata Chemicals et 12% par l’Etat gabonais.
            "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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            • #7
              blablabla......................................... ..................
              T'AARROU
              Et tu nous contredis avec un concurrent ..Singapourien !!

              Et ton pays ma mahalla lahou mina al i3rab dans l'affaire .?

              A part faire preuve de jalousie !!

              Allah yester !!
              Dernière modification par Serpico, 06 mars 2014, 23h57.

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              • #8
                Objectivement,on peut dire que le roi propose à l’Afrique des choses très concrètes: Des cimenteries dans plusieurs pays, des milliers de logements sociaux, des financements de budgets, une usine d'engrais...je trouve que le Maroc aide les pays africains avec tout les moyens dont il dispose...et c'est très bien.
                .

                @rodmaroc

                trés bien , le Roi M6 va à la conquête de l Afrique par la distribution des livres du coran ..et des projets douteux ??

                en laissant benkirane de traiter avec le peuple marocain .. DE SERRER LA CEINTURE ?

                c est ça la vérité , le Maroc avance ...en reculant !!
                A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                • #9
                  le coût du projet est de 2," milliards de dollars



                  http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=311211
                  Dernière modification par haddou, 07 mars 2014, 09h11.

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