Nous y sommes nés, nous y avons été logés, blanchis, nous y avons construis notre structure affective : c’est la maison paternelle !
Quelle qu’ait été son ambiance, elle a marqué notre première vision du monde. C’est la maison dans laquelle nous avons grandi entourés de la tendresse pour nous développer et y vivre des moments heureux.
Elle symbolise l’enfance et le climat de celle-ci, ainsi que les échanges, parfois conflictuels mais toujours enrichissants, avec les parents et les autres membres de la famille.
Elle symbolise aussi une solidarité face au monde extérieur.
La maison familiale renvoie essentiellement à la mère. C’est elle qui, par sa qualité d’écoute, d’accueil, par l’intérêt qu’elle porte à la constante amélioration de son « nid », va participer activement au climat de vie.
La maison dispose, aussi, d’un endroit où toute la famille se retrouve pour partager la nourriture. En ce qui me concerne, je conserve bien au fond de ma mémoire l’odeur de cuisine familiale, l’atmosphère chaleureuse et rassurante née de la présence et de la sollicitude de mes parents et de mes frères et sœurs.
La maison qui m’a vu naître, vieille de plusieurs siècles, se trouve dans un petit village reculé de kabylie.
A chacune de mes visites, beaucoup trop rares à mon goût, des pans entiers de nostalgiques souvenirs envahissent ma mémoire, accompagnés d’un sentiment de mélancolie devant la perception du temps qui passe.
Qu’elle soit petite ou grande, modeste ou cossue, rurale ou citadine, la maison de nos parents aura imprimé de manière indélébile notre mémoire.
Certains ont encore la chance d’y habiter ou de la visiter plus ou moins régulièrement, d’autres n’ont plus jamais aucun contact avec elle.
Je vous invite à nous faire part de vos impressions et de vos émotions quant à l’image que vous avez en mémoire de cet espace qui a bercé notre enfance.
Quelle qu’ait été son ambiance, elle a marqué notre première vision du monde. C’est la maison dans laquelle nous avons grandi entourés de la tendresse pour nous développer et y vivre des moments heureux.
Elle symbolise l’enfance et le climat de celle-ci, ainsi que les échanges, parfois conflictuels mais toujours enrichissants, avec les parents et les autres membres de la famille.
Elle symbolise aussi une solidarité face au monde extérieur.
La maison familiale renvoie essentiellement à la mère. C’est elle qui, par sa qualité d’écoute, d’accueil, par l’intérêt qu’elle porte à la constante amélioration de son « nid », va participer activement au climat de vie.
La maison dispose, aussi, d’un endroit où toute la famille se retrouve pour partager la nourriture. En ce qui me concerne, je conserve bien au fond de ma mémoire l’odeur de cuisine familiale, l’atmosphère chaleureuse et rassurante née de la présence et de la sollicitude de mes parents et de mes frères et sœurs.
La maison qui m’a vu naître, vieille de plusieurs siècles, se trouve dans un petit village reculé de kabylie.
A chacune de mes visites, beaucoup trop rares à mon goût, des pans entiers de nostalgiques souvenirs envahissent ma mémoire, accompagnés d’un sentiment de mélancolie devant la perception du temps qui passe.
Qu’elle soit petite ou grande, modeste ou cossue, rurale ou citadine, la maison de nos parents aura imprimé de manière indélébile notre mémoire.
Certains ont encore la chance d’y habiter ou de la visiter plus ou moins régulièrement, d’autres n’ont plus jamais aucun contact avec elle.
Je vous invite à nous faire part de vos impressions et de vos émotions quant à l’image que vous avez en mémoire de cet espace qui a bercé notre enfance.
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