Tweet
Ministre délégué en charge de la Ville, François Lamy a effectué jeudi une visite de travail à Rabat. Une première depuis l’éclatement de la crise diplomatique entre Rabat et Paris.
La crise née entre Rabat et Paris, après la convocation musclée dans la capitale française du chef du contre-espionnage marocain Abdellatif Hammouchi, serait-elle déjà de l’histoire ancienne?
A voir le silence régnant des deux côtés et le caractère on ne peut plus "normal" de la visite de travail qu’a effectuée le ministre français en charge de la ville, François Lamy, il faut croire que c’est bien le cas. Au menu, une rencontre avec le ministre de l’habitat Nabil Benabdellah et une convention de financement, à hauteur de 300.000 euros (près 3,5 millions de dirhams), entre une filiale de la Caisse de dépôt et de gestion (CDG) et l'Agence française de développement (AFD) portant sur le projet d'éco-cité Zenata, située entre Casablanca et Mohammedia.
Il s’agit du premier déplacement d’un haut responsable de ce pays au royaume depuis l’interruption de la coopération judiciaire entre les deux pays. On s’en souvient, une visite dans le royaume de Nicolas Hulot, l'envoyé spécial pour la planète du président français, a été reportée sine die, "à la demande du Maroc".
L'incident semble peu à peu oublié, en attendant une remise à plat, tel que demandée par Rabat, des sources du différend entre les deux pays. A préciser que la France est le premier partenaire économique du Maroc, ainsi que le premier investisseur, et les liens sont particulièrement denses entre les deux pays. Autant dire qu’entre Rabat et Paris, et crise ou pas crise, la règle c’est "business as usual
H24
La crise née entre Rabat et Paris, après la convocation musclée dans la capitale française du chef du contre-espionnage marocain Abdellatif Hammouchi, serait-elle déjà de l’histoire ancienne?
A voir le silence régnant des deux côtés et le caractère on ne peut plus "normal" de la visite de travail qu’a effectuée le ministre français en charge de la ville, François Lamy, il faut croire que c’est bien le cas. Au menu, une rencontre avec le ministre de l’habitat Nabil Benabdellah et une convention de financement, à hauteur de 300.000 euros (près 3,5 millions de dirhams), entre une filiale de la Caisse de dépôt et de gestion (CDG) et l'Agence française de développement (AFD) portant sur le projet d'éco-cité Zenata, située entre Casablanca et Mohammedia.
Il s’agit du premier déplacement d’un haut responsable de ce pays au royaume depuis l’interruption de la coopération judiciaire entre les deux pays. On s’en souvient, une visite dans le royaume de Nicolas Hulot, l'envoyé spécial pour la planète du président français, a été reportée sine die, "à la demande du Maroc".
L'incident semble peu à peu oublié, en attendant une remise à plat, tel que demandée par Rabat, des sources du différend entre les deux pays. A préciser que la France est le premier partenaire économique du Maroc, ainsi que le premier investisseur, et les liens sont particulièrement denses entre les deux pays. Autant dire qu’entre Rabat et Paris, et crise ou pas crise, la règle c’est "business as usual
H24
Commentaire