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une plainte pour interdire à Bouteflika d’exercer ses fonctions

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  • une plainte pour interdire à Bouteflika d’exercer ses fonctions

    Des juristes algériens s’apprêtent à déposer plainte contre Abdelaziz Bouteflika pour lui interdire d’exercer ses fonctions de Président de la République au regard de son état de santé détérioré et de ses capacités physiques ainsi que mentales diminuées.

    C’est du moins ce que nous apprend ce lundi le quotidien arabophone El Khabar qui ne révèle aucunement l’identité exacte de ces plaignants, mais précise que l’objectif de cette plainte est d’interdire à Bouteflika de poursuivre sa mission de Chef d’Etat en raison de son “incapacité physique et mentale” qui l’empêcher de gouverner le pays et expose ainsi l’Algérie à de nombreux dangers. Mais une telle plainte est-elle recevable ?

    Oui, nous répond sans aucune hésitation l’avocat Youcef Dilem qui est basé à Alger. D’abord, il faut savoir que cette plainte est une “action en interdiction” lancée contre Abdelaziz Bouteflika. D’un point de vue juridique, cela signifie qu’on poursuit quelqu’un en justice pour prouver qu’il incapable de disposer de sa propre personne et de prendre des décisions en raison de son aliénation mentale. Et loi algérienne détermine très clairement les circonstances de ce cas de figure. Explications : le livre deuxième du code de la famille algérien dispose dans son chapitre 5 de deux articles qui fournissent des précisions importantes concernant cette situation.

    En effet, l’article 101 stipule que tout personne personne majeure est “interdite” si elle est atteinte “d’imbécillité, démence ou prodigalité”. L’article 102 du même chapitre de notre Code de la Famille stipule, en outre, qu’une interdiction est prononcée contre une personne majeure à la demande de ses parents, une personne y ayant un intérêt ou le ministère public. “S’agissant du Président de la République, le citoyen algérien est considéré comme une personne y ayant un intérêt. Les décisions et les lois signées par le Chef de l’Etat ont un impact direct sur la vie du citoyen. Et si le Président est atteint d’une incapacité mentale, il pourrait être interdit. En tout cas, la législation algérienne en vigueur permet de lancer une action en interdiction contre Abdelaziz Bouteflika”, assure enfin Maître Youcef Dilem

  • #2
    Mais en tant que président de la république, il doit avoir une sorte d'immunité qui le protège et le dispense de ce genre de procès...
    Je ne sais pas si je ne dis pas de bêtises !

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    • #3
      appel aux jeunes algériens sortez de chez vous, le frère Homo Said Bouteflika est votre prochain vise président (ya lahchoouma alikoum ) Algérie risée, qu'elle honte, la nouvelle monarchie de la famille Bouteflika (le roi est mort vive le roi)
      Éclairer les nations encore obscures.

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      • #4
        Keche slah à nous envoyer .....wella ghir tssekhen fel bendir

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        • #5
          @zoromoro
          Des juristes algériens s’apprêtent à déposer plainte contre Abdelaziz Bouteflika pour lui interdire d’exercer ses fonctions de Président de la République au regard de son état de santé détérioré et de ses capacités physiques ainsi que mentales diminuées
          les juristes n'ont aucune compétence pour juger de l'état de santé de BOUTEFLIKA dont le dossier à la candidature a été accepté par le Conseil Constitutionnel , Haute Instance juridique. Et encore moins de porter plainte contre lui.
          Dans leur domaine, ils pourraient par contre poser les bonnes questions au Président de ce Conseil pour avoir son avis sur le scandale public provoqué par un Président malade ,qui passe plus de temps dans des hôpitaux français qu'à Alger - et savoir pourquoi il ne déclenche pas la procédure de l'empêchement prévue par la Constitution.

          Les médecins, en passant par leurs syndicats et leur code de déontologie et eu égard à l'éthique médicale et le scandale public , peuvent se prononcer, exiger de vérifier la validité du certificat médical délivré au citoyen BOUTEFLIKA et conseiller au moindre doute une expertise .S'ils se taisent c'est qu'ils pensent que SELLAL n'insulte pas leur intelligence et que le Président est apte à gouverner. Par leur silence , ils contre signent en masse le certificat médical délivra par un de leurs confrères à BOUTEFLIKA .

          alors jeune Docteur zoromoro et si vous oubliez les prétentions des juristes et que vous nous donnez votre avis de toubib sur le cas su malade BOUTEFLIKA et de l'attitude des membres de votre profession ?

          merci de répondre au déprimé que je suis.

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          • #6
            je dis chaque algérien doit déposé une plainte contre Bouteflika et sa bande pour escroquerie et être privé de ses droits de citoyen.
            http://www.youtube.com/watch?v=HXmdqtJJ_0o
            Dernière modification par wilams, 10 mars 2014, 21h39.
            Éclairer les nations encore obscures.

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            • #7
              cette démarche n'a de sens que si nous avions une justice indépendante et des institutions qui se respectent,or lorsqu'on voit le président du conseil constitutionnel,celui-là même qui disait à la television française qu'un 4ème mandat de Boutef serait une blague,recevoir et accepter toute honte bue sa canditature on ne peut qu'être pessimiste quant aux suites qui seront données à cette démarche...

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              • #8
                Mais une telle plainte est-elle recevable ?
                Oui, nous répond sans aucune hésitation l’avocat Youcef Dilem qui est basé à Alger
                Une sacrée famille les Dilem
                D'abord un caricaturiste .. et ensuite un clown

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