L’Algérie en perdant CHADLI avait laissé échapper la chance d’une libéralisation de la société et de l’instauration d’une démocratie impulsée par le FIS.
Le risque engendré par la politique des islamistes n’avait rien de ce que la décennie noire a couté au pays.
Les niais qui veulent nous persuader que le possédant et le dictateur peuvent renoncer à leurs droits , modérer leurs appétits ou concéder une partie de leur pouvoir, par des revendications pacifiques contribuent à maintenir la situation d’un état sans chef qui dans une économie d’un consumérisme effréné et une volonté des décideurs de piller l’Algérie.
Rien ne s’obtient sans le prix de ce sang que prétendent nous éviter les suppôts des égorgeurs de nos enfants. Quand la gangrène atteint le stade avancé de l’Algérie seule l’amputation s’impose avec les risques sociaux que cela engendre, la période d’instabilité qui s’en suivra, les nouvelles injustices et les malheurs que les voisins ne nous éviteront pas. L’acquisition de la démocratie dans les états libres ne s’est obtenue que par ce prix.
CHADLI décédé, le FIS diabolisé, les Algériens n’ont oublié ni les promesses garrotées ni le sacrifice de milliers de leurs enfants. Il suffit de la moindre étincelle, quelques manifestations et quelques morts pour que le pays s’enflamme. Les islamistes réoccuperont les rues dans un combat face aux blindés de leurs bourreaux, sous la vidéo du monde entier dans une communauté internationale marquée par les graves événements qui se déroulent en Ukraine et qui voit l’occident affronter les pays ex communiste et le DRS enfant de l’ex KGB
Le risque engendré par la politique des islamistes n’avait rien de ce que la décennie noire a couté au pays.
Les niais qui veulent nous persuader que le possédant et le dictateur peuvent renoncer à leurs droits , modérer leurs appétits ou concéder une partie de leur pouvoir, par des revendications pacifiques contribuent à maintenir la situation d’un état sans chef qui dans une économie d’un consumérisme effréné et une volonté des décideurs de piller l’Algérie.
Rien ne s’obtient sans le prix de ce sang que prétendent nous éviter les suppôts des égorgeurs de nos enfants. Quand la gangrène atteint le stade avancé de l’Algérie seule l’amputation s’impose avec les risques sociaux que cela engendre, la période d’instabilité qui s’en suivra, les nouvelles injustices et les malheurs que les voisins ne nous éviteront pas. L’acquisition de la démocratie dans les états libres ne s’est obtenue que par ce prix.
CHADLI décédé, le FIS diabolisé, les Algériens n’ont oublié ni les promesses garrotées ni le sacrifice de milliers de leurs enfants. Il suffit de la moindre étincelle, quelques manifestations et quelques morts pour que le pays s’enflamme. Les islamistes réoccuperont les rues dans un combat face aux blindés de leurs bourreaux, sous la vidéo du monde entier dans une communauté internationale marquée par les graves événements qui se déroulent en Ukraine et qui voit l’occident affronter les pays ex communiste et le DRS enfant de l’ex KGB
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