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Le Pentagone renforce son dispositif Africom en Andalousie -Des renforts de Marines US face au Maghreb

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  • Le Pentagone renforce son dispositif Africom en Andalousie -Des renforts de Marines US face au Maghreb

    L’armée américaine renforce son dispositif Africom prépositionné en Espagne. Les troupes déjà stationnées en Andalousie passent de 500 à 800 hommes et devraient atteindre un effectif de 850 soldats à partir d’avril prochain. Ce renfort intervient alors que des militaires US sont déjà en Libye.Les Etats-Unis opèrent depuis peu un mouvement de «pièces» dans l’échiquier nord-africain, avec pour dessein une présence plus accrue dans le continent noir depuis la «gifl e» somalienne qui les en a chassés. Néanmoins, les stratèges du Pentagone se montrent d’une prudence extrême en se contentant de «brèches» ouvertes dans certains pays d’Afrique du Nord, à leur tête la Tunisie. Dans l’une de ses éditions, le quotidien de l’armée américaine Stars and Stripesa révélé qu’un hélicoptère avec à son bord une cinquantaine d’offi ciers rompus dans les opérations spéciales est arrivé en février dernier dans l’Ouest de la Tunisie. Leur mission : former les troupes de l’armée tunisienne dans les tactiques de lutte contre le terrorisme. Cette opération fait suite à une dizaine de déploiements militaires américains en Afrique au cours de la dernière année, le plus souvent réduits à de « petites » missions temporaires. L’objectif est de tirer parti de l’expertise militaire américaine dans ce qui est considéré comme un « arc d’instabilité » croissante en Afrique du Nord. Un arc qui s’étend du Mali, à l’ouest, à la Somalie, à l’est, et qui, à vrai dire, enchâsse l’Algérie, seul pays de la région réfractaire à toute présence militaire américaine. Les opérations dites à « petite échelle » que mène le bras armé de l’Amérique dans le continent, l’Africa Command, refl ètent un eff ort du Pentagone d’éviter de provoquer l’anti-américanisme dans la région et de se laisser entraîner dans de nouveaux confl its après 13 ans de guerre en Irak et en Afghanistan particulièrement coûteuse, autant en argent qu’en vies humaines. Les commandants américains de l’Africom font face à des limites strictes sur les forces, ainsi que les équipements qu’ils peuvent mettre sur le sol ou dans l’espace aérien des pays de la région. La Maison-Blanche a même donné son blanc-seing aux recommandations du Pentagone, à l’automne dernier, de «dissuader» les attaques terroristes en provenance d’Afrique en installant, chez des pays alliés, des bases «modestes» sans pour autant créer une grande présence militaire. Basé à Stuttgart, en Allemagne, le commandement de l’Africom dispose d’environ 2 000 militaires et civils aff ectés à coordonner les programmes de défense des Etats-Unis dans environ 38 pays africains, bien que 5 000 hommes, voire plus, sont souvent sur le continent pour des missions de formation. C’est encore une infi me fraction comparativement aux forces combinées sous commandement central, qui supervise la guerre en Afghanistan et les bases dans le Moyen-Orient, ou sous le commandement du Pacifi que. Le commandement militaire américain travaillant en Afrique repose donc, rappelle Stars and Stripes, sur de petites équipes dont les opérations sont liées à l’expertise ou à la formation, qui, si elles ne se font pas sur le sol de pays africains alliés, s’exercent à travers des relais européens, à leur tête la France qui intensifi é sa présence et ses opérations militaires dans la région. Au Niger, par exemple, où les forces aériennes françaises sont basées à l’aéroport de Niamey, les Etats-Unis y font décoller leurs drones Reaper non armés pour recueillir des renseignements. De même qu’ils eff ectuent des vols de surveillance aérienne dans plusieurs pays d’Afrique subsaharienne jusqu’au sud du Nigeria. Trois organisations terroristes sont le principal chef de préoccupation des Etats-Unis :Al Qaïda au Maghreb islamique, qui opère dans le Nord et l’Ouest de l’Afrique, en particulier au Mali, et est considérée comme la plus grande menace pour les Américains, Boko Haram, principalement au nord du Nigeria, et Al Shabab en Somalie.« La plupart des pays dont nous nous occupons ne veulent pas d’une grande présence des Etats-Unis », a déclaré le lieutenant-colonel Robert E. Lee Magee, commandant d’une unité de 130 soldats en poste à Djibouti. Mais une nouvelle force de réaction rapide de 550 Marines, stationnés à la base aérienne de Moron, en Espagne, a été mise en place et est chargée de répondre avec célérité aux crises en Afrique du Nord et de l’Ouest. Cette force dispose de six V-22 Ospreys (des aéronefs de transport de troupes), ainsi que deux avions ravitailleurs. Le Pentagone a déclaré la semaine dernière que le gouvernement espagnol a approuvé une expansion de la force à 850 Marines en avril prochain, avec un plus grand nombre d’avions – on parle de 16 appareils. L’opération en Tunisie met en évidence un autre défi . En raison des préoccupations du gouvernement tunisien selon lesquelles la présence de soldats américains pourrait provoquer le mécontentement des populations, mais surtout celui de pays voisins, les Américains opèrent loin des déserts du Sud de la Tunisie. Les Etats-Unis opèrent depuis peu un mouvement de «pièces» dans l’échiquier nord-africain, avec pour dessein une présence plus accrue dans le continent noir depuis la «gifl e» somalienne qui les en a chassés. Néanmoins, les stratèges du Pentagone se montrent d’une prudence extrême en se contentant de «brèches» ouvertes dans certains pays d’Afrique du Nord, à leur tête la Tunisie. Dans l’une de ses éditions, le quotidien de l’armée américaine Stars and Stripesa révélé qu’un hélicoptère avec à son bord une cinquantaine d’offi ciers rompus dans les opérations spéciales est arrivé en février dernier dans l’Ouest de la Tunisie. Leur mission : former les troupes de l’armée tunisienne dans les tactiques de lutte contre le terrorisme. Cette opération fait suite à une dizaine de déploiements militaires américains en Afrique au cours de la dernière année, le plus souvent réduits à de « petites » missions temporaires. L’objectif est de tirer parti de l’expertise militaire américaine dans ce qui est considéré comme un « arc d’instabilité » croissante en Afrique du Nord. Un arc qui s’étend du Mali, à l’ouest, à la Somalie, à l’est, et qui, à vrai dire, enchâsse l’Algérie, seul pays de la région réfractaire à toute présence militaire américaine. Les opérations dites à « petite échelle » que mène le bras armé de l’Amérique dans le continent, l’Africa Command, refl ètent un eff ort du Pentagone d’éviter de provoquer l’anti-américanisme dans la région et de se laisser entraîner dans de nouveaux confl its après 13 ans de guerre en Irak et en Afghanistan particulièrement coûteuse, autant en argent qu’en vies humaines. Les commandants américains de l’Africom font face à des limites strictes sur les forces, ainsi que les équipements qu’ils peuvent mettre sur le sol ou dans l’espace aérien des pays de la région. La Maison-Blanche a même donné son blanc-seing aux recommandations du Pentagone, à l’automne dernier, de «dissuader» les attaques terroristes en provenance d’Afrique en installant, chez des pays alliés, des bases «modestes» sans pour autant créer une grande présence militaire. Basé à Stuttgart, en Allemagne, le commandement de l’Africom dispose d’environ 2 000 militaires et civils aff ectés à coordonner les programmes de défense des Etats-Unis dans environ 38 pays africains, bien que 5 000 hommes, voire plus, sont souvent sur le continent pour des missions de formation. C’est encore une infi me fraction comparativement aux forces combinées sous commandement central, qui supervise la guerre en Afghanistan et les bases dans le Moyen-Orient, ou sous le commandement du Pacifi que. Le commandement militaire américain travaillant en Afrique repose donc, rappelle Stars and Stripes, sur de petites équipes dont les opérations sont liées à l’expertise ou à la formation, qui, si elles ne se font pas sur le sol de pays africains alliés, s’exercent à travers des relais européens, à leur tête la France qui intensifi é sa présence et ses opérations militaires dans la région. Au Niger, par exemple, où les forces aériennes françaises sont basées à l’aéroport de Niamey, les Etats-Unis y font décoller leurs drones Reaper non armés pour recueillir des renseignements. De même qu’ils eff ectuent des vols de surveillance aérienne dans plusieurs pays d’Afrique subsaharienne jusqu’au sud du Nigeria. Trois organisations terroristes sont le principal chef de préoccupation des Etats-Unis :Al Qaïda au Maghreb islamique, qui opère dans le Nord et l’Ouest de l’Afrique, en particulier au Mali, et est considérée comme la plus grande menace pour les Américains, Boko Haram, principalement au nord du Nigeria, et Al Shabab en Somalie.« La plupart des pays dont nous nous occupons ne veulent pas d’une grande présence des Etats-Unis », a déclaré le lieutenant-colonel Robert E. Lee Magee, commandant d’une unité de 130 soldats en poste à Djibouti. Mais une nouvelle force de réaction rapide de 550 Marines, stationnés à la base aérienne de Moron, en Espagne, a été mise en place et est chargée de répondre avec célérité aux crises en Afrique du Nord et de l’Ouest. Cette force dispose de six V-22 Ospreys (des aéronefs de transport de troupes), ainsi que deux avions ravitailleurs. Le Pentagone a déclaré la semaine dernière que le gouvernement espagnol a approuvé une expansion de la force à 850 Marines en avril prochain, avec un plus grand nombre d’avions – on parle de 16 appareils. L’opération en Tunisie met en évidence un autre défi . En raison des préoccupations du gouvernement tunisien selon lesquelles la présence de soldats américains pourrait provoquer le mécontentement des populations, mais surtout celui de pays voisins, les Américains opèrent loin des déserts du Sud de la Tunisie.
    REPORTERS.DZ
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    Les États-Unis déploieront des troupes D’AFRICOM dans 35 pays africains en 2013.
    Les États-Unis déploieront des troupes D’AFRICOM dans 35 pays africains en 2013.
    26 décembre 2012
    Les marines américains sont arrivée avec un équipement à l'ambassade des Etats-Unis à Monrovia, au Libéria (Reuters / Luc Gnago). L'armée américaine va déployer des troupes à peu près dans 35 pays africains dans l'année à venir.

    Les Soldats basée à Fort Riley, Kansas 2e brigade », 1st Infantry Division vont commencer une formation en Mars 2013 afin de préparer un projet qui va envoyer des troupes pour pas moins de 35 pays africains, selon l'Associated Press. A cause d’une menace croissante de groupes extrémistes, y compris ceux ayant des liens avec Al-Qaïda, le ministère de la Défense espère installer des soldats américains à l'étranger afin de préparer les troupes locales pour d'éventuelles crises futures et pour que les tensions ne dégénèrent.

    Pas plus tôt que ce mois-ci, les sources du DoD ayant des connaissances d'initié ont déclaré au Washington Post que les troupes américaines seront bientôt en route vers le Mali afin de contrecarrer la menace émergente des extrémistes islamistes, dont Al-Qaïda. Avec les dernières nouvelles du Pentagone, cependant, le Mali sera l'un des nombreux pays africains qui accueilleront les troupes américaines dans l'année à venir. Selon l'Associated Press mise à jour cette semaine, les soldats seront envoyés à l'étranger pour la nouvelle année afin d'aider seulement avec la formation et l'équipement des efforts, et ne sont pas nécessairement autorisés à participer aux opérations militaires. Si le Pentagone demander aux troupes de s'engager dans la bataille, cependant, le secrétaire à la Défense pourrait signer un ordre qui permettrait cela.

    "S’ils le veulent pour (militaire) des opérations, la brigade est notre première solution de sourcing, car ils sont prêts», le général David Rodriguez, le chef de l'US Army Forces Command. "Mais cela doit revenir au secrétaire de la défense pour obtenir un ordre d'exécution." En outre, l'Associated Press dit que les soldats américains se rendront en particulier en Libye, au Soudan sud, en Algérie et au Niger dans le but de se préparer à toutes les avances d'Al-Qaïda et groupes alliés.

    Les américains permettront également de former et d'équiper les forces au Kenya et en Somalie, paraît-il, dans le but de faire face à des militants d'al-Shabab. Malgré les troupes déployées à plus de la moitié des pays d'Afrique, cependant, l'Associated Press rapporte que l'Oncle Sam va essayer d'éviter de donner l'impression que les États-Unis ne cherchent à laisser une empreinte importante sur tout le continent.

    «Le défi que nous avons est de toujours de comprendre le système du pays», explique Rodriguez. "Nous ne sommes pas là pour leur montrer notre système, nous sommes là pour faire que leur système fonctionne. Voici ce que leur armée ressemble, et voici ce que nous avons besoin de les montrer à faire."

    Traduction Afrohistorama Communication

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    • #3
      Ils ont peur pour fakhramatouhou 1er, il va dégagé et les yankées ont interet à voir ailleurs car ce pays c'est pas la lybie et le vietnam à coté c'est de la .....

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      • #4
        Ils ont peur pour fakhramatouhou 1er, il va dégagé et les yankées ont interet à voir ailleurs car ce pays c'est pas la lybie et le vietnam à coté c'est de la .....
        Apparemment ça serait même la 4ème armée du Maghreb ...... Euh hé pardon du monde .....
        " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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        • #5
          Quand une ruche déborde de miel. Elle attire les ours.
          C'est ce qui se passe dans notre région, l'Algérie s'arme à coup de milliards de dollars. Elle est passée des armes défensives à un arsenal offensif.
          Soit, elle l’utilise tt cet armement quelque part sinon les GI sont là pour l'aider à vider ses hangars.
          Rappelez vous l'Irak, la lybie...

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          • #6
            On va leurs envoyé leurs fakhamatouhou, prix nobel de l'intelligence pour leurs MIT, quand à notre arsenal on le garde pour les sousfifre qui revent de faire la besogne de sidi obama.

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            • #7
              Un autre article sur ce sujet ..

              A vous de décrypter ...ce que disent les ba bouches au sujet du Pentagone renforce son dispositif Africom en Andalousie

              LES ANDALOUS COMPRENNENT LE SIGNAL
              [qyote] Que faire d'une information comme l'accroissement du nombre de marines basés en Andalousie en préposition pour une éventuelle intervention dans un pays d'Afrique du Nord ? Tout et n'importe quoi ! Les médias marocains ont tenté, en 2013, d'en faire vulgairement un moyen de marquer un «point» contre le voisin : cette force a été mise en place en prévision d'une crise grave en Algérie. Bien entendu, il y a eu une source au Pentagone pour mettre tout le monde sur un pied d'égalité : le champ d'intervention de la force spéciale, c'est l'ensemble de l'Afrique du Nord. Et au cas où des diplomates et des citoyens auraient des ennuis, cette force pourrait, si Washington l'autorise, se passer de l'accord des gouvernements locaux. Avis donc à tous les gouvernements de la zone !

              Aujourd'hui, ceux qui contestent aux Algériens le droit de s'indigner contre le quatrième mandat pourraient faire comme les médias marocains il y a un an : dire que c'est l'Algérie qui est «ciblée». Ils pourraient même fabriquer des connexions entre la contestation en Algérie et la base militaire américaine de Moran. C'est en Andalousie. Ceux qui mettent en avant la «situation sécuritaire aux frontières» pour défendre la présumée «stabilité» pourraient croire que c'est facile à amalgamer. Et que les «Andalous comprendront le signe». Sauf que de nombreux Algériens qui aiment l'andalou n'ignorent pas que c'est un discours creux. Après tout, l'Algérie officielle n'est-elle pas l'amie officielle des Etats-Unis ? Elle n'aurait de ce fait rien à craindre. Un autre usage possible de l'information serait de dire que l'Algérie, en raison de la manière dont se «décide» la présidentielle et le statuquo, entre dans une situation de clivage qui rend nos «amis» américains inquiets.

              On peut, en forçant le trait comme le font les propagandistes en général, à partir de ce fait concocter toutes les lectures qu'on veut, genre c'est à cause du «4ème mandat» ou des «adversaires de la stabilité». Pourtant, ni l'existence de bases américaines en Espagne et ailleurs dans notre environnement, ni les risques sécuritaires aux frontières ne doivent être pris à la légère. A condition de voir plus large et d'admettre que l'intérêt de l'Algérie n'est absolument pas réductible à celui du régime ou à un de ses clans. C'est cette confusion qui est dangereuse. Quand on essaie d'alarmer les Algériens en donnant pour exemple la Libye, la Syrie ou l'Ukraine, on fausse totalement la perspective.

              On oublie,
              par exemple, que Kadhafi était «l'ami» de ceux qui sont venus le faire tomber et que son régime était une calamité, pour la Libye comme pour les voisins. Pour la Syrie, c'est le même regard biaisé qui tente de faire oublier que le régime de Bachar Al-Assad s'est tellement fermé aux Syriens qu'il a créé d'énormes boulevards pour l'action des étrangers.

              L'économiste Omar Aktouf, scandalisé par l'usage qui est fait actuellement du terme de la stabilité, a rappelé opportunément le conseil de Machiavel : «Prince, si tu crains la révolution, fais-la !».

              Les Andalous comprendraient dans ces conditions le signal (Al-Andalous Yefhamou Al Ichara), selon la chanson. Pas les «stabilisateurs» dont l'argument se résume à un «honnis soient ceux qui ne nous aiment pas !» (Inaal Li Ma Yhabnache), ce stade suprême de l'argument creux !

              Le quotidien d Oran [/quote]
              A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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              • #8
                Quand une ruche déborde de miel. Elle attire les ours.
                C'est ce qui se passe dans notre région, l'Algérie s'arme à coup de milliards de dollars. Elle est passée des armes défensives à un arsenal offensif.
                Soit, elle l’utilise tt cet armement quelque part sinon les GI sont là pour l'aider à vider ses hangars.



                excellente l'analogie ...............

                et c'est meme pas les GI , mais l'US Airforce .


                Rappelez vous l'Irak, la lybie...
                on s'en souvient .....
                " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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                • #9
                  Le Pentagone renforce son dispositif Africom en Andalousie -Des renforts de Marines US face au Maghreb


                  je dirais plus justement;en face de l'algerie!!

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                  • #10
                    Der,
                    l’Andalousie se trouve en face du maroc,et non pas en face de l’Algérie, mais j'avoue que cette présence dégage une odeur nauséabonde a l'image du réré
                    rabi yastar, ça risque de se propager, aucun moyen de protection n'est envisageable.

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                    • #11
                      nous on les a en face


                      derriere aussi :mon vieux:
                      Halliburton and Coe;
                      ca te dis rien;sinon;regarde un peu plus loin;le mali;par exemple

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                      • #12
                        2 bassins
                        pas grave ,ce n'est que l'analyse D'ELWERRA,

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                        • #13
                          meme pour le mali on est en face

                          je te le fais pas dire;
                          les deux faces sur le même coté;

                          allah yehsen µa3wankom

                          Commentaire


                          • #14
                            non sur des cotes opposes



                            hou la la;

                            je vous plains alors;;

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                            • #15
                              @deux bassins
                              fais gaffe, soit sur tes gardes,je te suggère de te fournir en masque a oxygène, sait-on jamais , une attaque est probable , et ça risque de sentir fort..

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