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- La mesure qui est en étude, selon des sources concordantes, a pour but de permettre au gouvernement de faire face à un déficit public qui sera bien plus important que ce qui avait été prévu dans la loi de finance. Selon des propos rapportés par Bloomberg, la nouvelle taxe frappant les plus riches devrait être de 5% a indiqué le 12 mars 2014, Hany Kadry, le ministre égyptien des Finances.
Le responsable gouvernemental a ainsi indiqué, que le déficit public de l’Egypte pour l’année 2013/2014 en cours, devrait atteindre les 11 à 12% du produit intérieur brut (PIB). Un chiffre qui atteint les 14% lorsqu’on y exclu les dépenses d’investissement et les subventions du gouvernement. D’un autre côté, M. Kadry a fait savoir que les perspectives de croissance de ce PIB pour l’année en cours étaient de 2,5% au maximum, mais qu’à partir de l’année suivante, le déficit budgétaire pourrait être ramené à 10%.
L’Egypte sort difficilement des crises politiques successives qui ont débuté en 2011 avec le départ d’Hosni Moubarak qui était resté 30 ans à la tête du pays. La gestion du pouvoir par les Frères musulmans, qui lui ont pourtant succédé démocratiquement, a fait fuir les investisseurs étranger et les touristes, principales sources de devises du pays. La reprise brutale du pouvoir aux mains de Mohamed Morsi a entrainé le pays dans une nouvelle escalade de violences dont il semble sortir progressivement.
Le 11 mars dernier, EFG Hermes faisait savoir qu’il travaillait sur de nouvelles introductions en bourse, dont une imminente.
Sur le marché financier justement, l’indice EGX30 représentant les 30 entreprise les plus performantes de l’Egyptian Exchange a depuis le début de l’année, progressé globalement de 20% signe d’une reprise de confiance des investisseurs. De nombreux investisseurs internationaux se sont récemment signalé, notamment Coca-Cola qui a dit vouloir engager 500 millions $ , ou encore Arabtec qui veut construire un million de logements en Egypte
Ecofin
Le responsable gouvernemental a ainsi indiqué, que le déficit public de l’Egypte pour l’année 2013/2014 en cours, devrait atteindre les 11 à 12% du produit intérieur brut (PIB). Un chiffre qui atteint les 14% lorsqu’on y exclu les dépenses d’investissement et les subventions du gouvernement. D’un autre côté, M. Kadry a fait savoir que les perspectives de croissance de ce PIB pour l’année en cours étaient de 2,5% au maximum, mais qu’à partir de l’année suivante, le déficit budgétaire pourrait être ramené à 10%.
L’Egypte sort difficilement des crises politiques successives qui ont débuté en 2011 avec le départ d’Hosni Moubarak qui était resté 30 ans à la tête du pays. La gestion du pouvoir par les Frères musulmans, qui lui ont pourtant succédé démocratiquement, a fait fuir les investisseurs étranger et les touristes, principales sources de devises du pays. La reprise brutale du pouvoir aux mains de Mohamed Morsi a entrainé le pays dans une nouvelle escalade de violences dont il semble sortir progressivement.
Le 11 mars dernier, EFG Hermes faisait savoir qu’il travaillait sur de nouvelles introductions en bourse, dont une imminente.
Sur le marché financier justement, l’indice EGX30 représentant les 30 entreprise les plus performantes de l’Egyptian Exchange a depuis le début de l’année, progressé globalement de 20% signe d’une reprise de confiance des investisseurs. De nombreux investisseurs internationaux se sont récemment signalé, notamment Coca-Cola qui a dit vouloir engager 500 millions $ , ou encore Arabtec qui veut construire un million de logements en Egypte
Ecofin