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ALGERIE-COREE DU SUD: Signature d'un accord pour le développement de l'aquaculture

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  • ALGERIE-COREE DU SUD: Signature d'un accord pour le développement de l'aquaculture

    Un accord portant projet de développement des industries de transformation dans le domaine de l'aquaculture a été signé jeudi à Alger entre le ministère de la Pêche et des ressources halieutiques et l'Agence coréenne de coopération internationale (KOICA).

    Le projet vise à garantir le développement durable des industries liées à l'aquaculture, le transfert de l'expérience coréenne aux opérateurs algériens et la mise en place d'un plan marketing pour les produits du secteur.

    Le Secrétaire général du ministère de la Pêche, Mustapha Lagha a salué les résultats positifs des précédents projets conjoints entre les deux pays notamment la campagne d'évaluation de la richesse halieutique en Algérie à travers le navire scientifique relevant du ministère.

    M. Lagha a rappelé, dans une déclaration, les deux projets de culture de la crevette dans l'eau de mer à El-Marsa (Oran) et à Hassi Ben Abdallah (Ouargla) qui concerne la culture de la crevette dans l'eau douce.
    Les deux projets ont permis, selon lui, d'améliorer les techniques de pisciculture tant en mer que dans le cadre de la pêche continentale avec la participation du Centre national de recherches et de développement de la pisciculture.

    Pour sa part, le représentant de la KOICA en Algérie, M. Chon Gyoung Shik a fait savoir que le projet, objet de l'accord (2014-2017), permettra aux cadres algériens du ministère, pêcheurs et investisseurs privés de tirer profit de l'expérience coréenne en matière d'aquaculture.

    M. Gyong a précisé que 38 experts seront envoyés par la Corée pour mener une action conjointe avec le ministère dans le cadre de ce programme en plus de l'organisation de sessions de formations au profit de 60 cadres, chercheurs et opérateurs algériens.

    La partie coréenne devra accompagner l'industrie d'aquaculture à travers des investissements notamment à Skikda et Ouargla en tenant compte des projets pilotes réalisés par les deux partenaires.

    "La pêche est une activité limitée du fait de la raréfaction à l'avenir de la richesse halieutique à l'avenir. C'est pour cette raison que nous avons juger utile de s'orienter vers l'aquaculture dans l'eau douce et l'eau de mer pour éviter un e dépendance absolue de la pêche", a-t-il expliqué.


    Ahlem L . 14-03-2014



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  • #2
    Voila des accords digne d'intérêt!
    Lors de mon dernier voyage, en rendant visite à la famille, j'ai remarqué qu'il n'y avait plus de jardin et tout est bétonné!! Je n'ai pu m'empêcher de leur dire que c'était la plus grosse bêtise. Apparemment c'est comme partout hélas! Les algériens doivent retrouver leurs vieilles habitudes. Il y a à peine 50 ans les gens avaient des poules, donc des oeufs, des lapins, des petits carrés de salade, ail, oignons.. Planter des arbres, toujours en planter! Un citronnier, un oranger...C'est une occupation saine et rentable pour la famille et pour la nature. Des fleurs embellissaient les entrées, le bord des fenêtres: plus rien! Tout est laid!
    Pour les contrats cités ci-dessus (j'en sais quelque chose), c'est à encourager et à multiplier: utiliser les bords de mer, les plans d'eau (barrages et lacs), des piscicultures en montagne...

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    • #3
      J'aimerais lire un jour que le ministère de l’environnement se déplace en hollande , en Italie, suisse , en Angleterre ou en Allemagne pour coopérer et échanger des compétences avec ces pays afin de s'occuper un peu de tout ce qui est verdure, espaces verts , jardins dans les cités , fleurs aux balcons, dans les terrasses, et ce , en Algérie ... au lieu de s'occuper que de bouffe !
      Dernière modification par ACAPULCO, 14 mars 2014, 20h15.
      Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
      (Paul Eluard)

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      • #4
        Exactement! Il faut les inonder de ce genre d'initiatives. La prochaine fois, en Algérie, je vais essayer de rester un mois ou deux et répéter autant de fois qu'il faut tout azimut!
        Comme j'ai déjà entamé une discussion sur le sujet, avec un maire d'une petite ville de l'algérois, je vais essayer de pousser le bouchon pour voir.
        - Trier les déchets ménagers,
        - Planter des haies à la place des murs (grosse affaire),
        - Nettoyer les rues tous les jours,
        - Sensibiliser la population, sans oublier surtout les commerçants à nettoyer leurs devantures, avant la pénalisation.
        Un marchand de fruits et légumes avec son étal à côté d'une décharge: berk!
        Et dire que dans les années 70, celui qui s'amusait à jeter un papier dans les rues d'Alger risquait une amende!
        Une banderole au niveau de la grande poste:" cracher par terre, c'est cracher sur son pays"!!!!!!!!!!Rouhi y a Elâsima, rouhi!

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