Paris soutient le droit de manifester et la liberté d’expression en Algérie
Sonia Lyes - TSA
Le ministère français des Affaires étrangères s’implique dans la situation algérienne et rappelle les principes auxquels tient Paris. « Nous voulons que soient respectées la liberté de la presse et la liberté d’expression », a expliqué, ce vendredi 14 mars, le porte-parole Romain Nadal, porte-parole du Quai d’Orsay à des journalistes, selon l’agence Reuters qui cite des propos en anglais. « Le droit de manifester pacifiquement est une partie des libertés fondamentales et nous espérons que ces libertés de base soient respectées en Algérie comme n’importe où dans le monde », a-t-il précisé.
La présidentielle du 17 avril « est un scrutin important qui doit s'inscrire dans le cadre des institutions algériennes et dans le respect des principes démocratiques », a-t-il affirmé.
Cette déclaration intervient au lendemain de l’interdiction par les autorités du rassemblement de la coordination des partis qui boycottent l’élection au monument des martyrs. Elle intervient également à la veille d’un nouveau rassemblement à Alger du mouvement Barakat ! Les précédents rassemblements de ce mouvement ont été réprimés par la police.
C’est la première fois qu’une capitale occidentale s’exprime sur les atteintes aux libertés en Algérie. Jusque-là, seules les ONG l’ont fait
Sonia Lyes - TSA
Le ministère français des Affaires étrangères s’implique dans la situation algérienne et rappelle les principes auxquels tient Paris. « Nous voulons que soient respectées la liberté de la presse et la liberté d’expression », a expliqué, ce vendredi 14 mars, le porte-parole Romain Nadal, porte-parole du Quai d’Orsay à des journalistes, selon l’agence Reuters qui cite des propos en anglais. « Le droit de manifester pacifiquement est une partie des libertés fondamentales et nous espérons que ces libertés de base soient respectées en Algérie comme n’importe où dans le monde », a-t-il précisé.
La présidentielle du 17 avril « est un scrutin important qui doit s'inscrire dans le cadre des institutions algériennes et dans le respect des principes démocratiques », a-t-il affirmé.
Cette déclaration intervient au lendemain de l’interdiction par les autorités du rassemblement de la coordination des partis qui boycottent l’élection au monument des martyrs. Elle intervient également à la veille d’un nouveau rassemblement à Alger du mouvement Barakat ! Les précédents rassemblements de ce mouvement ont été réprimés par la police.
C’est la première fois qu’une capitale occidentale s’exprime sur les atteintes aux libertés en Algérie. Jusque-là, seules les ONG l’ont fait
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