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La transformation du processus électoral en processus de coup de force contre la République se confirme et vient de prendre de nouvelles dimensions.
Pendant que le Président consacre ses dernières énergies à comploter contre son pays, à tenter de réunir de nouveau ses hommes de main, pour exécuter les sales besognes, ses ministres insultent nos parents et son directeur de campagne allume le feu du régionalisme le plus abject.
Alors que le conflit s’exacerbe à Ghardaïa entre communautés, et après avoir traité de « chardhima » certains manifestants du Sud, voilà Monsieur Sellal faisant de mauvais mots sur les Chaouis.
Dans le climat de tension générale, de suspicion envers le pouvoir, de rejet du 4ème mandat d’un homme malade mais protecteur des Chakib Khellil, Saadani et autres délinquants de la République, des ministres et autres laudateurs du clan présidentiel allument les feux de la fitna, exactement comme ils l’ont promis : nous ou le chaos, vous acceptez que l’Algérie soit à nous ou alors le pays se transformera en Syrie, Libye ou pire !
Après 15 ans de règne, Monsieur Bouteflika aura réussi à sélectionné une classe politique servile mais dangereuse pour l’unité de la nation, à dilapider les deniers publiques et à nous transformer en une farce ridicule aux yeux du monde.
Désormais, l’Etat est menacé d’effondrement moral final, prélude à de très graves événements.
Alger le 15 mars 2014
Le Président du parti
Soufiane Djilali
Pendant que le Président consacre ses dernières énergies à comploter contre son pays, à tenter de réunir de nouveau ses hommes de main, pour exécuter les sales besognes, ses ministres insultent nos parents et son directeur de campagne allume le feu du régionalisme le plus abject.
Alors que le conflit s’exacerbe à Ghardaïa entre communautés, et après avoir traité de « chardhima » certains manifestants du Sud, voilà Monsieur Sellal faisant de mauvais mots sur les Chaouis.
Dans le climat de tension générale, de suspicion envers le pouvoir, de rejet du 4ème mandat d’un homme malade mais protecteur des Chakib Khellil, Saadani et autres délinquants de la République, des ministres et autres laudateurs du clan présidentiel allument les feux de la fitna, exactement comme ils l’ont promis : nous ou le chaos, vous acceptez que l’Algérie soit à nous ou alors le pays se transformera en Syrie, Libye ou pire !
Après 15 ans de règne, Monsieur Bouteflika aura réussi à sélectionné une classe politique servile mais dangereuse pour l’unité de la nation, à dilapider les deniers publiques et à nous transformer en une farce ridicule aux yeux du monde.
Désormais, l’Etat est menacé d’effondrement moral final, prélude à de très graves événements.
Alger le 15 mars 2014
Le Président du parti
Soufiane Djilali