Tweet
Il m’a été enseigné que la naissance se faisait dans la souffrance, et pour justifier les pleurs du nouveau né on m’a parlé de poumons. J’ai découvert une vérité autre que celle-ci, et par générosité ou par fierté me voilà partageant ma découverte avec vous. En vérité la naissance peut commencer différemment, tout comme elle peut commencer par des cris et de la douleur, elle peut également commencer avec un sourire et du bonheur, comme avec des larmes et de la quiétude, soyons concis la naissance peut se faire dans la joie.
Vous serez peut-être surpris, car il ne s’agit pas de poumons mais de cœur, il ne s’agit pas d’oxygène mais de sentiments. Les anciens disaient « prenez conseil auprès de l’expérimenté plutôt qu’auprès du médecin », et c’est par expérience que je vous parle, moi qui ai vécu une seconde naissance lorsque l’amour a rempli mon cœur. J’étais mort, je n’étais qu’une carcasse animait se mouvant entre les vivants, et Allah me ramena à la vie en utilisant l’âme de ma douce. Son âme qui n’est qu’amour me fut insufflée, aujourd’hui elle parcoure mon corps habitant chaque cellule.
Vous qui craignez d’aimer par crainte de souffrir, sachez que cela revient à craindre la vie, en cela que la vie sans amour conjugal est telle une datte douce au palais, mais n’offrant ni plaisir des yeux n’ayant jamais fleurie, ni plaisir de l’odorat n’ayant point de parfum. Par la grâce d’Allah, le présent de l’amour m’a été offert, et par ces simples mots permettez-moi de Le prier pour qu’Il vous en accorde autant si ce n’est davantage, et que ce soit dans Son respect ainsi que dans celui de sa religion l’Islam.
Vous serez peut-être surpris, car il ne s’agit pas de poumons mais de cœur, il ne s’agit pas d’oxygène mais de sentiments. Les anciens disaient « prenez conseil auprès de l’expérimenté plutôt qu’auprès du médecin », et c’est par expérience que je vous parle, moi qui ai vécu une seconde naissance lorsque l’amour a rempli mon cœur. J’étais mort, je n’étais qu’une carcasse animait se mouvant entre les vivants, et Allah me ramena à la vie en utilisant l’âme de ma douce. Son âme qui n’est qu’amour me fut insufflée, aujourd’hui elle parcoure mon corps habitant chaque cellule.
Vous qui craignez d’aimer par crainte de souffrir, sachez que cela revient à craindre la vie, en cela que la vie sans amour conjugal est telle une datte douce au palais, mais n’offrant ni plaisir des yeux n’ayant jamais fleurie, ni plaisir de l’odorat n’ayant point de parfum. Par la grâce d’Allah, le présent de l’amour m’a été offert, et par ces simples mots permettez-moi de Le prier pour qu’Il vous en accorde autant si ce n’est davantage, et que ce soit dans Son respect ainsi que dans celui de sa religion l’Islam.
Un frère
Commentaire