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La Russie, l’Europe, les Etats-Unis, l’OTAN, et bien sûr l’Ukraine dont le peuple et les partis politiques sont divisés entre l’intégration à l’Union européenne ou à la Russie et l’Union douanière. Ce sont les acteurs que les médiats mettent en relief en tant que parties actives dans la crise qui frappent l’Ukraine depuis des mois et particulièrement depuis le putsch qui a renversé le régime de Victor Ianokovitch.
Cependant un autre acteur n’est pas cité parmi les parties influentes dans la crise bien qu’il puisse être le plus influent. Il s’agit de l’entité sioniste et des organisations juives à l’intérieur et à l’extérieur de l’Ukraine.
En effet, il est établi que des éléments israéliens et juifs ont joué un rôle dans les violences qui ont été couronnées par le putsch. Des informations font état de messages adressés aux responsables israéliens, par des dirigeants d’organisations juives actives en Occident, leur demandant d’envoyer des agents entrainés en vue de protéger les institutions juives dans les villes et les villages ukrainiens.
Selon d’autres informations, «certains» Juifs natifs de l’Ukraine qui avaient émigré en «Israël» et servi dans les rangs de son armée ont regagné Kiev pour «mettre en application leur expérience militaire».
Certes, il n’est pas possible de connaître le nombre de militaires israéliens qui ont rejoint l’Ukraine. Pourtant, cette information suffit à elle seule pour démontrer que l’entité sioniste a joué un rôle militaire dans les événements qui ont secoué ce pays.
Etant donné ce dont témoigne l’histoire criminelle de l’entité sioniste qui n’hésite point de recourir aux moyens les plus ignobles pour atteindre ses buts, et étant donné le grand intérêt porté par les milieux sionistes à tout ce qui pourrait favoriser la violence et le chaos en Ukraine, on ne peut exclure l’hypothèse selon laquelle les éléments militaires israéliens sont eux qui ont tiré, seuls, ou en participation avec d’autres opposants, sur les manifestants des deux camps antagonistes. La conversation téléphonique scandaleuse entre la représentante de la diplomatie européenne, Catherine Ashton, et le ministre estonien des affaires étrangères, Urmas Paet, a prouvé qu’il y a eu recours à cette méthode «original» visant à attiser le conflit.
Certains pourraient penser que les Néo-nazis, particulièrement actifs dans la rue ukrainienne, sont plus à même de mener des actions aussi sournoises. Pourtant leur présence avec les sionistes dans la même tranchée dans cette guerre contre l’Ukraine est beaucoup plus significative que le simple fait de cerner la partie qui a tiré sur les manifestants. Cette présence rejoint ce qu’on peut qualifier de plus grande supercherie de l’histoire moderne :
L’antisémitisme et la répression des Juifs qui ne sont que des tactiques visant à couvrir l’alliance profonde entre le mouvement sioniste avec l’Allemagne impériale, puis avec l’Allemagne nazie.
La question qui se pose ici est la suivante: que veulent «Israël» et les organisations juives de l’Ukraine? Tout d’abord, l’entité sioniste trouve bon, comme l’Europe et les Etats-Unis, le fait d’affaiblir la Russie pour réduire son influence dans la région et son alliance avec l’Iran et la Syrie à laquelle s’ajoute l’éventualité d’un développement de ses relations avec l’Egypte.
Toutefois, l’intérêt porté par «Israël» et les organisations juives à l’affaiblissement de l’Ukraine parait à l’heure actuelle plus grand que celui de la Russie. L’effondrement de l’Union soviétique a déjà permis à «Israël» d’accueillir un million 500 mille immigrants russes, juifs et non juifs. Il suffit d’écouter les déclarations des responsables sionistes, israéliens et non israéliens, pour se rendre compte de l’existence d’un projet visant à provoquer une émigration juive et non juive de l’Ukraine vers «Israël».
«L’Etat d’Israël» doit s’apprêter à accueillir un million 500 mille immigrants parmi les Juifs des pays européens et de l’Ukraine. C’est un parlementaire israélien qui a lancé ces propos à la Knesset.
Comment y arriver lorsqu’on sait que les Juifs ukrainiens ne comptent que 180 à 200 milles personnes et que la situation dans les pays européens -qui ont déjà envoyé des millions de Juifs vers la Palestine occupée- ne parait pas favorable à en envoyer davantage? La seule réponse possible est que l’entité sioniste apprécie l’«importation» de citoyens non juifs pour assurer son équilibre démographique.
Il est certain que les Sionistes ne trouvent pas d’inconvénient à plonger l’Ukraine dans la fournaise d’une guerre civile ou d’une guerre dans laquelle participeraient des parties internationales comme la Russie et l’OTAN, du moment où une telle situation parait propice à créer les conditions favorables pour lancer une nouvelle vague d’émigration vers la Palestine occupée.
Les Sionistes l’ont fait par le passé en favorisant la montée du nazisme et en poussant les Nazis à persécuter les Juifs afin de les acculer à émigrer vers la Palestine pour disperser son peuple et y fonder leur Etat usurpateur.
En fait, l’émigration de l’entité sioniste vers l’étranger, le redressement de l’équilibre démographique qui tend à devenir plus favorable aux Arabes et la volonté effrénée de toujours construire davantage de colonies de peuplement, tout cela justifie à ce moment pour l’entité sioniste le fait de créer en Ukraine des conditions favorables à l’émigration vers la Palestine. Même si une telle entreprise passe par la provocation d’une guerre civile ou d’une confrontation entre les puissances nucléaires, russes et occidentales.
Source: alahednews 13/03/2014
Cependant un autre acteur n’est pas cité parmi les parties influentes dans la crise bien qu’il puisse être le plus influent. Il s’agit de l’entité sioniste et des organisations juives à l’intérieur et à l’extérieur de l’Ukraine.
En effet, il est établi que des éléments israéliens et juifs ont joué un rôle dans les violences qui ont été couronnées par le putsch. Des informations font état de messages adressés aux responsables israéliens, par des dirigeants d’organisations juives actives en Occident, leur demandant d’envoyer des agents entrainés en vue de protéger les institutions juives dans les villes et les villages ukrainiens.
Selon d’autres informations, «certains» Juifs natifs de l’Ukraine qui avaient émigré en «Israël» et servi dans les rangs de son armée ont regagné Kiev pour «mettre en application leur expérience militaire».
Certes, il n’est pas possible de connaître le nombre de militaires israéliens qui ont rejoint l’Ukraine. Pourtant, cette information suffit à elle seule pour démontrer que l’entité sioniste a joué un rôle militaire dans les événements qui ont secoué ce pays.
Etant donné ce dont témoigne l’histoire criminelle de l’entité sioniste qui n’hésite point de recourir aux moyens les plus ignobles pour atteindre ses buts, et étant donné le grand intérêt porté par les milieux sionistes à tout ce qui pourrait favoriser la violence et le chaos en Ukraine, on ne peut exclure l’hypothèse selon laquelle les éléments militaires israéliens sont eux qui ont tiré, seuls, ou en participation avec d’autres opposants, sur les manifestants des deux camps antagonistes. La conversation téléphonique scandaleuse entre la représentante de la diplomatie européenne, Catherine Ashton, et le ministre estonien des affaires étrangères, Urmas Paet, a prouvé qu’il y a eu recours à cette méthode «original» visant à attiser le conflit.
Certains pourraient penser que les Néo-nazis, particulièrement actifs dans la rue ukrainienne, sont plus à même de mener des actions aussi sournoises. Pourtant leur présence avec les sionistes dans la même tranchée dans cette guerre contre l’Ukraine est beaucoup plus significative que le simple fait de cerner la partie qui a tiré sur les manifestants. Cette présence rejoint ce qu’on peut qualifier de plus grande supercherie de l’histoire moderne :
L’antisémitisme et la répression des Juifs qui ne sont que des tactiques visant à couvrir l’alliance profonde entre le mouvement sioniste avec l’Allemagne impériale, puis avec l’Allemagne nazie.
La question qui se pose ici est la suivante: que veulent «Israël» et les organisations juives de l’Ukraine? Tout d’abord, l’entité sioniste trouve bon, comme l’Europe et les Etats-Unis, le fait d’affaiblir la Russie pour réduire son influence dans la région et son alliance avec l’Iran et la Syrie à laquelle s’ajoute l’éventualité d’un développement de ses relations avec l’Egypte.
Toutefois, l’intérêt porté par «Israël» et les organisations juives à l’affaiblissement de l’Ukraine parait à l’heure actuelle plus grand que celui de la Russie. L’effondrement de l’Union soviétique a déjà permis à «Israël» d’accueillir un million 500 mille immigrants russes, juifs et non juifs. Il suffit d’écouter les déclarations des responsables sionistes, israéliens et non israéliens, pour se rendre compte de l’existence d’un projet visant à provoquer une émigration juive et non juive de l’Ukraine vers «Israël».
«L’Etat d’Israël» doit s’apprêter à accueillir un million 500 mille immigrants parmi les Juifs des pays européens et de l’Ukraine. C’est un parlementaire israélien qui a lancé ces propos à la Knesset.
Comment y arriver lorsqu’on sait que les Juifs ukrainiens ne comptent que 180 à 200 milles personnes et que la situation dans les pays européens -qui ont déjà envoyé des millions de Juifs vers la Palestine occupée- ne parait pas favorable à en envoyer davantage? La seule réponse possible est que l’entité sioniste apprécie l’«importation» de citoyens non juifs pour assurer son équilibre démographique.
Il est certain que les Sionistes ne trouvent pas d’inconvénient à plonger l’Ukraine dans la fournaise d’une guerre civile ou d’une guerre dans laquelle participeraient des parties internationales comme la Russie et l’OTAN, du moment où une telle situation parait propice à créer les conditions favorables pour lancer une nouvelle vague d’émigration vers la Palestine occupée.
Les Sionistes l’ont fait par le passé en favorisant la montée du nazisme et en poussant les Nazis à persécuter les Juifs afin de les acculer à émigrer vers la Palestine pour disperser son peuple et y fonder leur Etat usurpateur.
En fait, l’émigration de l’entité sioniste vers l’étranger, le redressement de l’équilibre démographique qui tend à devenir plus favorable aux Arabes et la volonté effrénée de toujours construire davantage de colonies de peuplement, tout cela justifie à ce moment pour l’entité sioniste le fait de créer en Ukraine des conditions favorables à l’émigration vers la Palestine. Même si une telle entreprise passe par la provocation d’une guerre civile ou d’une confrontation entre les puissances nucléaires, russes et occidentales.
Source: alahednews 13/03/2014
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