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Ahmed Ouyahia à "Controverse" sur Dzaïr TV - Vidéo

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  • Ahmed Ouyahia à "Controverse" sur Dzaïr TV - Vidéo

    كلّ إناءٍ بما فيه يَنضَح

  • #2
    Aya un retour en arrière

    Voyons voir les mêmes diarrhées verbales, les mêmes arguments pompeux ! Le FLN ou la démagogie politicienne !





    ../..
    “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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    • #3
      La décadence : Les Berbères au marge de l'Histoire et toujours au service des autres !

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      • #4
        La décadence : Les Berbères au marge de l'Histoire et toujours au service des autres !
        Valable au seul Maroc, en Algérie ils sont partie prenante du cours de l'histoire et sont même l'essentiel. ils sont présents de tous bords, toutes philosophies et obédiences.
        وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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        • #5
          Valable au seul Maroc, en Algérie ils sont partie prenante du cours de l'histoire et sont même l'essentiel. ils sont présents de tous bords, toutes philosophies et obédiences.

          ------------------------------------------

          wah ya weddi wah !

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          • #6
            Il est toujours bon cet enfoiré !
            Jeûner c'est bien. Manger c'est mieux.

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            • #7
              Sa conclusion me laisse croire à l'hypothèse que je formule depuis quelques temps, Benflis comme candidat de remplacement sorti par surprise devant le clan maffieux des boutef. Il n'appelle pas à le soutenir, mais à voter en masse pour le changement au lieu de passer dans la rue (donc comme si il appelait à voter pour son concurrent direct).

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              • #8
                J'aurais bien aimé que le journaliste Abed Charef ait été présent avec Drareni, il l'aurait remis à sa place.




                وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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                • #9
                  Ouyahia est plus malin que le diable
                  The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                  • #10
                    Si seulement tout les associés du diable pouvait avoir son niveau, l'enfer ressemblerait un peu plus au paradis.

                    ∑ (1/i²) = π²/6
                    i=1

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                    • #11
                      Le retour d’Ouyahia scelle la trêve Redistribution des cartes dans le sérail

                      Après des semaines d’hostilités opposant des segments lourds du pouvoir, le retour d’Ahmed Ouyahia semble marquer l’aboutissement d’un accord «nécessaire» pour la survie du régime.


                      L’installation d’Ahmed Ouyahia dans le pré carré présidentiel confirme, du moins provisoirement, l’arrêt des hostilités qui ont violemment opposé deux segments importants du régime. Un clan présidentiel décidé à imposer un 4e mandat de Bouteflika face à un Département du renseignement et de la sécurité (DRS) qui aurait affiché une opposition à un passage en force.

                      La guerre portée avec fracas sur la place publique par l’inénarrable Amar Saadani, à la veille d’une élection présidentielle pleine d’incertitudes, a révélé une profonde division dans le sérail. C’est l’une des rares fois où le régime étale sans ménagement ses divergences sur l’agenda politique immédiat. A la manœuvre et à la tête du clan, le frère cadet du chef de l’Etat, Saïd Bouteflika, a convié, à travers un Saadani galvanisé, le patron des services du renseignement, le général Mohamed Mediène, dit Toufik, à quitter ses fonctions en raison de l’«échec» dans ses missions. L’intervention dans le débat public des acteurs politiques au poids considérable, tels Mouloud Hamrouche, Ali Yahia Abdennour et Ahmed Taleb Ibrahimi et de hauts gradés de l’armée, à l’instar du général Hocine Benhadid, a sérieusement fait douter les antagonistes. Elle a inquiété mais surtout précipité la signature d’une trêve entre la famille présidentielle et le chef du DRS. Sentant le risque d’une guerre ouverte, ces deux pôles du pouvoir ont vite rangé leurs armes et se sont éloignées avec moins de dégâts d’une zone de tempête qui allait tout emporter sur son passage. Pour eux, il est aussi «urgent qu’indispensable de tenir bon» jusqu’au 17 avril.

                      Les termes de l’accord devant présider à l’armistice portent essentiellement sur la reconduction à la tête de l’Etat d’un «candidat absent», extrêmement affaibli par la maladie, qui sera à coup sûr le président désigné, à peine «un quart» de président. La contrepartie négociée serait le maintien voire le renforcement du rôle du Département du renseignement et de la sécurité dans la gestion des affaires du pays. Et subsidiairement, le maintien du chef du DRS et des hommes de confiance à leur poste, du moins à court terme. «Les nouvelles générations» peuvent attendre encore avant de voir venir leur tour de prétendre à des postes de responsabilité. Mais maintenir indéfiniment la vieille garde en poste n’est pas si évident que cela puisse paraître.


                      Ouyahia, garant d’un accord


                      C’est justement dans ce contexte qu’intervient la désignation de l’«ennemi intime» du chef de l’Etat, Abdelaziz Bouteflika, Ahmed Ouyahia, au névralgique poste de directeur de cabinet de la présidence de la République. Il est le garant de l’accord signé entre les deux segments du régime en conflit. En plus de sa mission de combler une réelle vacance du pouvoir, conséquence de la maladie durable du locataire d’El Mouradia, l’ancien chef de gouvernement aura un regard direct sur la gestion des affaires courantes au sein du palais présidentiel et un avis prépondérant sur les décisions à prendre. Une reprise en main des leviers du pouvoir.

                      Ahmed Ouyahia, que l’on dit jouissant d’une proximité avec le patron du DRS, «le frère Toufik», aura désormais entre les mains les clefs de la «Maison» vacante qui jusque-là était gardée par le frère cadet du Président, Saïd Bouteflika, qui bénéficie depuis des années de la proximité familiale et surtout du retrait du frère aîné pour asseoir, puis renforcer sa capacité d’influence et d’action. Vice-roi ou vizir, le très spécial conseiller du président a réussi à l’ombre des quinze ans de règne de Bouteflika à créer «une contre-société et une petite république» pour reprendre l’expression de Djamel Zenati. Le journaliste français, Nicolas Beau, avait même assuré sur un plateau de télévision, début du mois en cours, que Saïd Bouteflika se serait «rendu à l’Elysée et au Quai d’Orsay pour exprimer la disposition d’Alger à aider Paris à mettre en tenaille les djihadistes». L’information a certes été démentie par le porte-parole du ministère des Affaires étrangères français, cependant elle renseigne sur le rôle «central» et la liberté d’action du frère cadet, selon plusieurs lectures. Un mouvement qui n’est pas pour rassurer l’autre pôle du pouvoir que représente le DRS.

                      La nomination d’Ahmed Ouyahia – un homme connu pour son caractère bien trempé – pourrait probablement mettre un terme ou du moins réduirait la capacité d’influence du «frère» au sein de l’institution présidentielle qui reste la colonne sûre dans l’architecture du régime. Finie la «gestion familiale» ? Vraisemblablement. Avec un Président malade, un Ouyahia solidement soutenu aura sans doute les coudées franches pour «dicter sa loi». Mais une question reste posée. Signée dans l’urgence et sous la contrainte, «la trêve résistera-t-elle à l’épreuve de l’après-17 avril ? 

                      Hacen Ouali
                      The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                      • #12
                        la question de la participation de l'Algérie à des sommets ou mini sommets régionaux ou internationaux n'est pas une question "vitale" pour l'Algérie. Quand les projecteurs du capitalisme devenu ennemi du libéralisme se braquent sur des thèmes qui ne sont pas un enjeu pour la démarche politique initiée, on ne voit pas l'intéret de débattre de ces futilités. Si les chinois se melent à ces jeux de dupe, à l'inverse de la Russie (SOUVERAINETE idéologique plus qu'ethnique), c'est leur problème.

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                        • #13
                          Les Berbères au marge de l'Histoire et toujours au service des autres !
                          Ouyahia n'a rien de berbère.. il le dit ouvertement pour ceux qui veulent comprendre.. dire prêt à honorer Boutef,, c'est honorer sa poche.. il l'envoie au cachot quand il veut et le ressort quand il veut.. j'ai du mal à croire que Boutef trouvera même dans la rue un esclave comme Ouyahia.
                          Pas à la tique ..

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                          • #14
                            Ce qui sous-entend qu'un berbère a plus de mérite qu'un non berbère......... c'est vraiment n'importe quoi.
                            Vive le Polisario ! ....... Haba man haba, wa kariha man kariha

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                            • #15
                              pffff arrête de faire dire aux gens ce qu'ils ne disent pas.. tout individu qui travaille pour ce pouvoir est indigne et réduit à l'esclave.. qu'il soit berbère ou pas ..
                              Pas à la tique ..

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