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Je suis la main!
Je suis la main qui brandit l’étendard des refus de toutes les oppressions afin de rompre tous les jougs, enlever toutes les entraves et défaire tous les bâillons.
Je suis la main qui salue et souhaite la bienvenue à toutes les âmes avides de l’autre et cheminent patiemment en quête des parcelles d’humanités enfouies dans le mystère des coeurs.
Je suis la main qui coud les pans de l’amitié, raccommode les déchirures des incompréhensions et tisse la toile des alliances sources de reconnaissance de l’autre dans toute sa diversité et ses différences.
Je suis la main qui dit les mots lorsque la langue ne sait plus ou ne peut plus donner souffle et vie aux phrases qui tressent les liens entre les hommes et les femmes engagés sur le chemin des connivences.
Je suis la main guerrière et belliqueuse maniant fusil qui crache des mots terribles semant la mort et la désolation sur leur passage.
Je suis la main guerrière et belliqueuse maniant fusil qui crache des mots terribles semant la mort et la désolation sur leur passage.
Je suis la main qui donne, je suis la main qui offre.
Je suis la main qui salue, je suis la main qui souhaite la bienvenue.
Je suis qui manie le calame, la plume et invente la vie.
Je suis main mise, je suis main courante, je suis main baladeuse.
Je suis main de maître.
Je suis main de velours dans un gant de fer.
Je suis main de fer dans un gant de velours.
Je suis la main au doigt attestateur de l’unicité du Seigneur des mondes, créateur de toutes les mains qui se joignent pour prier au coeur des nuits de silence.
Je suis la main qui sèche les larmes des êtres blessés par vie et ses contingences.
Je suis la main qui caresse la joue rose d’un enfant dont les gazouillis réconcilient avec la mélodie des origines et la voix de la source.
Je suis la main qui creuse la terre, sème le blé, je suis la main qui pétrit le pain, je suis la main qui le distribue à tous ceux qui ont faim.
Je suis la main sur le cœur qui offre sans réserve, je suis générosité.
Je suis la menotte de cet enfant exploité cruellement au fond d’ateliers sordides où il perd ses heures d’insouciance.
Je suis la menotte des cireurs de chaussures noircies par la poussière de la vie qui les ignore et les désespère.
Je suis la main qui brandit l’étendard des refus de toutes les oppressions afin de rompre tous les jougs, enlever toutes les entraves et défaire tous les bâillons.
Je suis la main qui salue et souhaite la bienvenue à toutes les âmes avides de l’autre et cheminent patiemment en quête des parcelles d’humanités enfouies dans le mystère des coeurs.
Je suis la main qui coud les pans de l’amitié, raccommode les déchirures des incompréhensions et tisse la toile des alliances sources de reconnaissance de l’autre dans toute sa diversité et ses différences.
Je suis la main qui dit les mots lorsque la langue ne sait plus ou ne peut plus donner souffle et vie aux phrases qui tressent les liens entre les hommes et les femmes engagés sur le chemin des connivences.
Je suis la main guerrière et belliqueuse maniant fusil qui crache des mots terribles semant la mort et la désolation sur leur passage.
Je suis la main guerrière et belliqueuse maniant fusil qui crache des mots terribles semant la mort et la désolation sur leur passage.
Je suis la main qui donne, je suis la main qui offre.
Je suis la main qui salue, je suis la main qui souhaite la bienvenue.
Je suis qui manie le calame, la plume et invente la vie.
Je suis main mise, je suis main courante, je suis main baladeuse.
Je suis main de maître.
Je suis main de velours dans un gant de fer.
Je suis main de fer dans un gant de velours.
Je suis la main au doigt attestateur de l’unicité du Seigneur des mondes, créateur de toutes les mains qui se joignent pour prier au coeur des nuits de silence.
Je suis la main qui sèche les larmes des êtres blessés par vie et ses contingences.
Je suis la main qui caresse la joue rose d’un enfant dont les gazouillis réconcilient avec la mélodie des origines et la voix de la source.
Je suis la main qui creuse la terre, sème le blé, je suis la main qui pétrit le pain, je suis la main qui le distribue à tous ceux qui ont faim.
Je suis la main sur le cœur qui offre sans réserve, je suis générosité.
Je suis la menotte de cet enfant exploité cruellement au fond d’ateliers sordides où il perd ses heures d’insouciance.
Je suis la menotte des cireurs de chaussures noircies par la poussière de la vie qui les ignore et les désespère.
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