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La situation politique et socioéconomique du pays est des plus incertaines. Elle est porteuse du meilleur comme du pire.
La mobilisation de l’ensemble des acteurs politiques et sociaux est un impératif», soulignent d’anciens cadres du FFS dans un communiqué signé, entre autres, par Mustapha Bouhadef et Djamel Zenati, animateurs du Mouvement pour la construction de l’alternative démocratique (MCAD).
«Notre objectif est de nous entretenir avec Barakat et la Ligue des droits de l’homme afin de former un mouvement qui rassemblera d’autres acteurs pour dénoncer la mascarade électorale du 17 avril. Les anciens militants du FFS de 1963 refusent aussi d’abdiquer devant cette situation catastrophique que connaît notre pays», nous a expliqué Cherif Melbouci, ancien cadre du plus vieux parti de l’opposition, qui précise qu’une rencontre des animateurs du MCAD est prévue pour le 22 mars, à 10 h, à Tizi Ouzou. Par ailleurs, notons que le MCAD a été initié l’année dernière par des cadres, militants et sympathisants du FFS «soucieux de prolonger le combat politique autour des idéaux du parti». Il s’agit «d’un mouvement politique, mais qui n’a pas vocation à être ou devenir un parti politique».
Rappelons aussi que le MCAD plaide pour «la rupture avec l’autoritarisme dans ses différentes variantes et pour la construction de l’alternative démocratique». Il s’agit, selon ses initiateurs, d’un mouvement rassembleur qui travaille à «la convergence de toutes les forces politiques et sociales qui fondent leur action dans les valeurs démocratiques». Enfin, les animateurs du MCAD s’inscrivent dans «une opposition sans concession au système en place et écarte toute possibilité de réforme de l’intérieur d’un système déliquescent».
Hafid Azzouzi
Source : El-Watan DZ du lundi 17 mars 2014.
P.
La mobilisation de l’ensemble des acteurs politiques et sociaux est un impératif», soulignent d’anciens cadres du FFS dans un communiqué signé, entre autres, par Mustapha Bouhadef et Djamel Zenati, animateurs du Mouvement pour la construction de l’alternative démocratique (MCAD).
«Notre objectif est de nous entretenir avec Barakat et la Ligue des droits de l’homme afin de former un mouvement qui rassemblera d’autres acteurs pour dénoncer la mascarade électorale du 17 avril. Les anciens militants du FFS de 1963 refusent aussi d’abdiquer devant cette situation catastrophique que connaît notre pays», nous a expliqué Cherif Melbouci, ancien cadre du plus vieux parti de l’opposition, qui précise qu’une rencontre des animateurs du MCAD est prévue pour le 22 mars, à 10 h, à Tizi Ouzou. Par ailleurs, notons que le MCAD a été initié l’année dernière par des cadres, militants et sympathisants du FFS «soucieux de prolonger le combat politique autour des idéaux du parti». Il s’agit «d’un mouvement politique, mais qui n’a pas vocation à être ou devenir un parti politique».
Rappelons aussi que le MCAD plaide pour «la rupture avec l’autoritarisme dans ses différentes variantes et pour la construction de l’alternative démocratique». Il s’agit, selon ses initiateurs, d’un mouvement rassembleur qui travaille à «la convergence de toutes les forces politiques et sociales qui fondent leur action dans les valeurs démocratiques». Enfin, les animateurs du MCAD s’inscrivent dans «une opposition sans concession au système en place et écarte toute possibilité de réforme de l’intérieur d’un système déliquescent».
Hafid Azzouzi
Source : El-Watan DZ du lundi 17 mars 2014.
P.
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