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Le président du parti Jil Jadid, Sofiane Djilali avertit que la chute du régime serait imminente et n’est qu’une question de jours, de semaines, de mois ou deux à trois années au maximum en affirmant que les signes annonciateurs de cette chute commencent à apparaître.
S’exprimant au cours d’une conférence à l’université de Tizi Ouzou à l’invitation des étudiants, il a estimé qu’actuellement un rapport de forces non équilibré est en cours entre une génération qui touche à sa fin de règne et celle n’ayant pas les mêmes repères et le dernier mot reviendra à l’actuelle génération.
Pour lui, le changement qui interviendra au plus tard dans deux ans sera l’œuvre de l’”élite nationale”. Néanmoins, Sofiane Djilali avertit que les prochains jours seront “longs” et porteurs de “surprises” dont il est impossible de les prévoir.
Il a souligné que l’Algérie d’aujourd’hui n’est plus celle des années passées et le système est certes fort par ses moyens répressifs et l’argent du pétrole mais “faible politiquement” et incapable de proposer un programme politique pour sortir le pays de la crise qui le secoue.
Pour conclure son intervention, le président du Jil Jadid a soutenu que la “réélection du président Bouteflika, “inapte à gouverner”, signifierait l’entame de l’Algérie dans une “spirale de violence” et d’un “putsch”.
Algérie1
S’exprimant au cours d’une conférence à l’université de Tizi Ouzou à l’invitation des étudiants, il a estimé qu’actuellement un rapport de forces non équilibré est en cours entre une génération qui touche à sa fin de règne et celle n’ayant pas les mêmes repères et le dernier mot reviendra à l’actuelle génération.
Pour lui, le changement qui interviendra au plus tard dans deux ans sera l’œuvre de l’”élite nationale”. Néanmoins, Sofiane Djilali avertit que les prochains jours seront “longs” et porteurs de “surprises” dont il est impossible de les prévoir.
Il a souligné que l’Algérie d’aujourd’hui n’est plus celle des années passées et le système est certes fort par ses moyens répressifs et l’argent du pétrole mais “faible politiquement” et incapable de proposer un programme politique pour sortir le pays de la crise qui le secoue.
Pour conclure son intervention, le président du Jil Jadid a soutenu que la “réélection du président Bouteflika, “inapte à gouverner”, signifierait l’entame de l’Algérie dans une “spirale de violence” et d’un “putsch”.
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