Abdelmalek Sellal, Directeur de campagne du candidat Abdelaziz Bouteflika, a décliné mardi le programme économique de Bouteflika devant les membres du Forum des chefs d’entreprises (FCE).
Il commencera par revenir sur sa blague qui a provoqué de nombreuses réactions, en jurant sa bonne foi. « Moi je suis à la fois Chawi , Kbaili, Snouci, mais Algérien avant et après tout » martèlera t-il en ajoutant que dans son dictionnaire personnel « le mot mal et rancœur n’existent pas ».
Il s’en prendra aussi aux médias et à certains hommes politiques qui ont surdimensionné sa boutade.
Abdelmalek Sellal a réservé la primeur d’une confidence aux patrons en leur avouant que « le président Bouteflika veut mourir en moudjahid pour l’Algérie ».
Sur le même registre il ajoutera que c’est « nous » qui l’avons pressé pour accepter de briguer un quatrième mandat. Sellal ne précisera pas néanmoins qui se cache derrière ce « nous ». Mais dans tous les cas, il estime que la candidature de Bouteflika, dans un contexte actuel « est un garantie de stabilité et de continuité ».
Après avoir décliné les grandes lignes du programme économique de son candidat, Rédha Hamiani a réagi en affirmant en trouvant le programme intéressant, mais lui reproche son « incapacité » à donner suite sur le terrain aux propositions. Il citera les dernières recommandations de la tripartite qui sont pour le moment des vœux pieux.
Par Lila Ghali Algérie 1
Il commencera par revenir sur sa blague qui a provoqué de nombreuses réactions, en jurant sa bonne foi. « Moi je suis à la fois Chawi , Kbaili, Snouci, mais Algérien avant et après tout » martèlera t-il en ajoutant que dans son dictionnaire personnel « le mot mal et rancœur n’existent pas ».
Il s’en prendra aussi aux médias et à certains hommes politiques qui ont surdimensionné sa boutade.
Abdelmalek Sellal a réservé la primeur d’une confidence aux patrons en leur avouant que « le président Bouteflika veut mourir en moudjahid pour l’Algérie ».
Sur le même registre il ajoutera que c’est « nous » qui l’avons pressé pour accepter de briguer un quatrième mandat. Sellal ne précisera pas néanmoins qui se cache derrière ce « nous ». Mais dans tous les cas, il estime que la candidature de Bouteflika, dans un contexte actuel « est un garantie de stabilité et de continuité ».
Après avoir décliné les grandes lignes du programme économique de son candidat, Rédha Hamiani a réagi en affirmant en trouvant le programme intéressant, mais lui reproche son « incapacité » à donner suite sur le terrain aux propositions. Il citera les dernières recommandations de la tripartite qui sont pour le moment des vœux pieux.
Par Lila Ghali Algérie 1
Commentaire