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Le moral d'Israel atteint en plein coeur par les succès de l'Iran et de la Résistance

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  • Le moral d'Israel atteint en plein coeur par les succès de l'Iran et de la Résistance

    Amertume et déception sioniste face aux succès de l’Iran et l’axe de la résistance

    Par Akil Cheikh Hussein

    Dans les confrontations qui, depuis 1948, opposent le camp arabe et l’entité sioniste, il y a lieu de dire que cette entité peut se frotter les mains de satisfaction et de joie devant le bilan de ses acquis. Cependant, cette réalité ne concerne pas tous les événements qui ont eu lieu. Cette entité se mord les doigts jusqu’au sang par courroux et par peur face aux développements qui constituent une menace pour son existence même.

    Premièrement, la joie israélienne s’explique bien par le fait que le fameux «conflit israélo-arabe» a cédé la place, dans le jargon diplomatique, à un conflit «israélo-palestinien» qui, sous l’un de ses aspects, s’est transformé en conflits «palestino-palestiniens», et «palestino-arabes» qui s’ajoutent aux conflits «arabo-arabes».

    C’est dans ces conditions que l’entité sioniste a pu réaliser de grands sauts en avant au niveau de l’expansion de ses colonies de peuplement, et marquer des points sur la voie du concept et de la réalité de la judaïsation de l’Etat, alors que l’Autorité palestinienne se contente de haleter derrière l’issu de négociations absurdes qui ressemblent à un repaire à partir duquel la Palestine ne fait qu’encaisser morsures après morsures.

    Aux pays arabes qui voient les drapeaux israéliens flotter dans leurs airs, où ceux qui entretiennent avec «Israël» des relations indirectes, on a assisté à l’émergence de camps arabes, régimes, organisations terroristes et parties civiles, qui agissent franchement sous les signes de l’alliance stratégique avec «Israël».

    Quant aux pays arabes qui n’ont pas rejoint la ruée vers la paix et l’alliance directe ou indirecte, ils sont tous aux prises avec la destruction apportée par le «Printemps arabe» et ses prolongements takfiris et terroristes qui se consacrent à l’action effrénée en vue de liquider la Résistance que l’entité sioniste s’est avérée incapable de liquider et dont la liquidation constitue le plus grand des rêves israéliens.

    C’est là que s’arrêtent les limites de la joie israélienne et commencent celles du courroux et de la peur. Du courroux en raison de son entrée dans l’ère de la défaite dont les prémisses ont commencé à apparaître lorsqu’en 1982, l’invasion israélienne s’est heurtée à la résistance d’une partie du peuple du Liban, le plus petit des pays arabes, et le plus réputé par l’adoption d’une partie de libanais de l’idée de la soumission sous la couverture de la thèse «la force du Liban réside dans sa faiblesse».

    Et de la peur, avec et après le retrait israélien du Liban et l’effondrement du mythe de l’armée israélienne prétendue invincible, en 2000, et, en 2006, ainsi que les évolutions ultérieures avec lesquelles la totalité de la Palestine occupée était devenue à la portée des armes de la Résistance.

    Quant à la montée en force du Hezbollah grâce à sa contribution dans la lutte contre l’offensive israélienne, déguisée sous le masque de la soi-disant révolution syrienne, elle a transformé l’équation de «la prise par la résistance de la Galilée et d’au-delà de la Galilée» en une menace pour Israël sérieusement posée sur la carte de la confrontation.

    Certes, cette peur ne peut que s’amplifier avec la résistance de la Syrie durant trois longues années d’une guerre qui peut être considérée comme l’une des plus féroces parmi les guerres contemporaines, puis avec son passage d’une victoire à une autre, elle qui était supposée ne tenir que pour quelques semaines ou, au plus, pour quelques mois.

    Qu’il s’agisse de la résistance de la Syrie ou des victoires de la Résistance au Liban et en Palestine (la plus récente est l’opération ‘Briser le silence’ menée par les Brigades d’al-Aqça), les Israéliens savent bien que c’est la République Islamique d’Iran qui a joué un rôle principal dans le changement des rapports de force et, par conséquent, dans le balayage des équations défaitistes au profit de la détermination à la libération totale de la Palestine usurpée.

    Si l’entité sioniste pouvait, depuis la victoire de la Révolution Islamique en Iran, dormir tranquillement dans la soie des sanctions, des guerres et des permanentes menaces dirigées contre l’Iran qui n’a fait que progresser sur tous les plans, la conviction des Etats-Unis et de leurs alliés européens et arabes qu’il est dans leur intérêt de s’arranger avec l’Iran, a poussé les Israéliens au bout de l’hystérie.

    Juste après la signature de l’accord en vertu duquel les Grandes puissances ont reconnu le droit de l’Iran de disposer d’un programme nucléaire pacifique, Netanyahu, dont le pays possède un arsenal de plusieurs centaines d’ogives nucléaires, a déployé toutes ses capacités en matière de gesticulation et fourberie en criant en vain sa colère face au monde: «Aujourd'hui, le monde est devenu beaucoup plus dangereux parce que le régime le plus dangereux du monde a réalisé une étape importante vers l'obtention de l'arme la plus dangereuse au monde»!

    En vain également, l’entité sioniste a lancé beaucoup de cris au sujet de l’inertie de l’Occident face à la prétendue interception par «Israël» d’un bateau chargé d’armes iraniennes destinées à Gaza.

    La presse et les sites internet israéliens ont dénoncé l’«hypocrisie européenne» en voyant la haute responsable de la politique extérieure de l’UE, Catherine Ashton, baptisée «Farida», la haute responsable de la propagande anti-israélienne, et traitée de tous les noms, effectuer une visite en Iran. Le comble tout en se voilant la tête et en «couvrant de honte» la tête de l’Europe et du monde libre, le jour même où le monde entier célébrait la Journée Mondiale de la Femme…

    De l’amertume, de la déception mais beaucoup de grossièretés et de vulgarités sont les armes ultimes qui sont à la disposition de l’entité sioniste face à quiconque oserait transgresser les «lois» israéliennes au sujet de l’obligatoire animosité envers l’Iran et l’ensemble de l’axe de la résistance! Le reste est facile à imaginer.

    Source: alahednews
    18-03-2014

  • #2
    Avec la montée de l'Iran comme puissance régionale reconnue et son aide efficace à la Résistance en Syrie, en Palestine et au Liban, l'entité sioniste a perdu énormément de sa "puissance" (qui d'ailleurs n'a jamais existé) sauf sa puissance de fourberie et de corruption qui demeure intacte.

    A mon avis, le monde occidental tourne le dos d'une manière progressive et douce à cette entité qui est devenu un poids, un fardeau pour ces alliés du cancer sioniste.

    Seul les régimes arabes, à part la Syrie, demeurent dans une longue torpeur et inconscient des conséquences à venir de leur attitude de soumission sur leur koursi.

    La Palestine ne peut être libérée d'abord que par ses propres enfants ensuite avec le soutien de la résistance (qui englobe l'Iran dans ce camp).

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