Annonce

Réduire
Aucune annonce.

interview de Ouyahia accordée à la chaîne Berbère TV sera diffusée ce soir à 20h30

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • interview de Ouyahia accordée à la chaîne Berbère TV sera diffusée ce soir à 20h30

    « Ce n’est pas Massinissa qui a inscrit Tamazight langue nationale dans la Constitution mais Bouteflika ». Dans une interview accordée à la chaîne Berbère TV qui sera diffusée ce soir à 20h30 mais que TSA a pu visionner intégralement, Ahmed Ouyahia a, une nouvelle fois, défendu la candidature et le bilan du président Bouteflika. Le nouveau chef de cabinet du président, qui s’exprime en kabyle tout au long de l’entretien, affirme : « Je parle avec vous en tant que membre de campagne de Abdelaziz Bouteflika. Personne ne peut nier que dans l’histoire de notre pays, quand il était président de la République que Tamazight est reconnue dans la Constitution comme langue nationale ».
    L’ex-Premier ministre affirme que la langue est enseignée à l’école bien qu’il reste beaucoup à faire pour améliorer son enseignement. « Des efforts doivent être faits pour l’enseignement de Tamazight à l’école », a-t-il attesté avant d’ajouter que les militants de Tamazight ne doivent pas désespérer pour que cette langue devienne officielle.
    A une question sur sa volonté de voir la langue Amazigh devenir langue nationale, le responsable élude le sujet à plusieurs reprises avant de dire clairement à l’animateur : « Je ne vous répondrai pas. » En refusant de donner son avis, l’ex-Premier ministre affirme que le gouvernement est préoccupé par d’autres questions comme « le feu déclenché à Ghardaïa ».
    L’Etat n’a pas tout fait à Ghardaïa
    Concernant la crise de Ghardaïa, Ouyahia refuse de dire que l’Etat n’a rien fait tout en admettant que les autorités n’ont pas tout fait. « Si vous me dites que l’Etat est absent, je vous dis : excusez-moi, mais ce n’est pas vrai. Vous dire qu’il a tout fait ce n’est pas vrai, l’Etat n’a pas tout fait », a-t-il affirmé. M. Ouyahia explique que lorsque des affrontements ont eu lieu en 2008 entre Malékites et Ibadites, les responsables se sont déplacés et une charte d’honneur a même été signée entre les différentes parties. Toutefois, il admet que cela n’a pas suffi puisque les évènements ont repris en 2013. Il ajoute que même en 2013, des responsables, comme le ministre de l’Intérieur et le Premier ministre, se sont déplacés dans la région pour essayer de régler le conflit.
    Le chef de cabinet de Bouteflika estime que le problème dans la région n’est pas lié aux origines des habitants. « On va mettre de côté la question des Arabes et Mozabites, des Ibadites et des autres. Nous sommes un seul peuple », a-t-il attesté. Selon lui, les affrontements sont liés aux « questions socio-économiques » et au « banditisme : les Malékites et les Ibadites nous demandent de les aider à combattre ces bandes ». Ouyahia accuse aussi « la main de l’étranger » d’être à l’origine de ces conflits.
    L’entretien dure plus de deux heures durant lesquelles l’ex-premier ministre aborde de nombreux autres sujets d’actualité.

    TSA



    C'était imprévisible ...
    Aya je prends le pari, next one BRTV

  • #2
    les propos de Ouyahia sur Tamazight font réagir les réseaux sociaux
    Propos d’Ouyahia sur Tamazight : « une insulte aux morts »
    C’est une sortie fracassante qu’a faite le chef de cabinet de Bouteflika lors d’une interview accordée à Berbère TV concernant l’officialisation de Tamazight. « Ce n’est pas Massinissa qui a inscrit Tamazight langue nationale dans la Constitution, mais Bouteflika », a-t-il dit. Cette expression passe très mal sur les réseaux sociaux.
    Ali Ouhachi, qui trouve que ces propos sont une « insulte aux morts pour Tamazight », réagit sur Twitter pour dire que « Ni Massinissa, ni Bouteflika n'ont mis Tamazight dans la Constitution, ya Ouyahia, mais les 127 martyrs kabyles des événements de Tizi ». Pour Algerian Citizen, Bouteflika « l’a écrit malgré lui au prix de 127 morts en Kabylie, lui qui disait: jamais elle ne sera inscrite dans la Constitution ». Karim ne trouve pas de logique dans les propos d’Ouyahia et note : « Il existait des Constitutions à l’époque de Massinissa ? ».
    Titouah ne comprend pas pourquoi Tamazight est devenue langue nationale. « Tamazight langue nationale ? Mais cela signifie quoi au juste ? Est-ce à dire qu'avant que Bouteflika ne la « nationalise », elle était étrangère ? Et en termes concrets, qu'est-ce que cette « nationalisation » a-t-elle apporté à la langue ? », se demande-t-il sur Facebook.

    TSA

    Commentaire


    • #3
      Ouyahia une vraie Prostituée Politique et je suis gentil.
      "If you can't say anything nice, don't say anything at all."

      Commentaire


      • #4
        Pfff il faut qu'il pue ce type...il ne peut pas se tenir propre un bout de temps.. il a vite oublié qu'il a été chassé à Bouira s'il croit réussir mieux que Sellal la campagne de Boutef... Mon Dieu, qu'est ce qu'ils sont périmés ces khobzistes...
        Dernière modification par bel-court, 20 mars 2014, 16h34.
        Pas à la tique ..

        Commentaire


        • #5
          Ouyahia

          Heuresuement qu'il est kabyle le Ouyahia, autrement on nou aurait bassiné avec tout plein d'araberies ... héhéhéhé (dixit BACHI) ...
          "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

          Commentaire


          • #6
            Le coup de grâce d'Ouyahia à son clan ?

            Le font-il exprès ?!
            Après Sellal qui insulte les Chaouis, Ouyahia insulte tous les amazighs.
            Par ses propos il enfonce Boutef et ses acolytes.

            Je ne comprends pas si c'est une stratégie pour se discréditer ou de la bêtise pure et simple.
            "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
            Socrate.

            Commentaire


            • #7
              Le clan Boutef n'a besoin ni de Chaouis ni de Kabyles, ni Mozabites, ni personne pour gagner. ou dezzou ma3ahoum héhéhé

              Commentaire


              • #8
                Dans ce cas ils cherchent le pourrissement. Le déluge après eux... C'est toujours mieux que de se faire poursuivre.
                "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
                Socrate.

                Commentaire


                • #9
                  On dirait que ouyahia craint beaucoup l'après boutef (sans boutef éventuellement) , on dirait qu'il a très peur que l'histoire lui demande des comptes à lui et ceux du clan , on sent qu'il supplie le kabyle à reconnaitre ce que le pouvoir a fait pour lui de positif ( ex. l'enseignement de l'amazigh) afin de le dissuader à s'aligner , c'est à croire maintenant que le pouvoir tremble à l'idée d'être jugé un jour ou l'autre .
                  Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
                  (Paul Eluard)

                  Commentaire


                  • #10
                    Envoyé par bel-court

                    Pfff il faut qu'il pue ce type..
                    .

                    Un Amazigh !

                    *même celui -la t énerve ,,,????
                    A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                    Commentaire


                    • #11
                      à force de rejeter tous, Boutef, ouyahia, benflis, tawfik, zeroual ... faut mieux les ramasser et les mettre dans un avion malysian airlines, direction la mer indienne
                      La haine aveugle

                      Commentaire


                      • #12
                        Par Ouyahia :

                        On le dit impopulaire , il ne dit pas le contraire , il endosse et se retire .
                        Il va et revient ..

                        Selon les observateurs :

                        Est -il une énigme d un système ou un mystère d un destin ?????

                        @mahjoub


                        Ouyahia a une dette à régler ...

                        Tu vas la comprendre à la volée !!!
                        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                        Commentaire


                        • #13
                          Bonjour Phil

                          J'avais dis ça, j'ai rien dit moi


                          Mais ça se confirme, la diarrhée* est un mal mouradien


                          *Verbale s'entend


                          ../..
                          “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

                          Commentaire


                          • #14
                            29/01/2011, 20h31
                            Un caractère acharné


                            Il ne parle pas, il ment. Cet homme ment comme d’autres respirent. S’il annonce une intention honnête méfiez vous, s’il affirme prenez garde, s’il fait un serment tremblez. Tel est le caractère acharné de monsieur Ahmed Ouyahia un génie au service du mal.
                            Avec la fatuité de l’égoïste condescendant pour les opinions qu’il juge en deçà de son esprit, il se vante d’être l’homme des idées quant en réalité il se préoccupe surtout de survivre à tout les changements. Ce comportement erratique est guidé par l’obsession de rendre des services au puissant du moment…maître d’œuvre de méthodes expéditives qui empêchent tout examen sérieux de textes faisant litière au profit de l’arbitraire : il a pour règle servitude, obéissance et silence.
                            Annoncer une énormité dans un discours, se récrier, la désavouer avec indignation, jurer ses grands dieux, déclarer son honnêteté, puis au moment où on se rassure, où l’on rit de l’énormité en question, il l’exécute. Grâce à cette façon de procéder il dispose toujours à son service d’une grande force qui ne rencontre en lui-même aucun obstacle intérieur dans ce qu’on appelle la suggestion d'une conscience. Il pousse alors son dessein et son destin à travers tout et sur n’importe quoi et il atteint son but. Devant les injonctions propices au reniement il recule quelque fois mais jamais devant l’effet moral de ses actes.
                            Dans ses entreprises qui sont nombreuses, on peut citer en exemple la crise de la Kabylie, dont le règlement a nécessite une aide de ceux qu’on appelle les hommes de service. S’ils n’étaient pas disponibles, il pouvait les fabriquer un billet de banque en main. Il les a rencontrés du côté de certaines espèces sous forme de personnages regroupés autour de la cause. Il ne lui restait alors qu'à animer le centre et le sort selon cette mystérieuse loi d’intérêt pour aboutir aux résultats qu'on connaît.
                            A travers certaines périodes de l’histoire, il y' a des pléiades de grands hommes tandis qu'en d’autres temps il y a aussi d'autres pléiades de chenapans et Ouyahia qui a les moyens et les clefs du coffre fort sait toujours persuader. Aujourd’hui encore on les voit allégrement passer d’un bord à l’autre quant il n y' a à enjamber que le fossé de la honte.
                            Une chose est également frappante dans le comportement de Si Ahmed. De toutes les qualités qu’on lui reconnaît il y' a cette capacité de nous aveugler sur la réalité, ce talent de bonimenteur qui nous fait prendre des vessies pour des lanternes, et celle de l’illusionniste dont on connaît les tours mais qui nous entourloupent toujours. Cet art de trouver des solutions aux faux problèmes ou de régler de vrais problèmes avec de fausses solutions est une manière de rajouter des légendes à sa légende.
                            Non, cet homme ne raisonne pas, il calcule. Il n’a pas de caprices mais des besoins de satisfaire des envies. Sans ce genre d’individus les dictatures seraient fades.


                            Arezki HAMOUDI
                            Détenu de la cause berbère des années 70

                            Commentaire


                            • #15
                              Ouyahia, il se disait homme au service de l'état, il se confirme esclave au service des destructeurs de l'état.

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X